Critique littéraire " les fleurs du mal "
Résumé : Critique littéraire " les fleurs du mal ". Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar Cheikh Chevalier • 22 Novembre 2021 • Résumé • 980 Mots (4 Pages) • 413 Vues
La fille sous emprise
Ce roman intitulé « La fille qu'on appelle », est un roman narratif écrit par Tanguy Veil.
C'est un auteur romanesque du 21ème siècle qui a grandit en Bretagne avant d'aller vivre a Nantes, puis a Orléans. Pour lui, l'écriture est un moyen de mettre à la lumière du jour de événements dont les gens ne parlent pas forcément.
Viel retrace à travers ce roman, la vie d'une jeune femme de 20 ans et celle de son père qui sont dans une situation assez modeste sans trop d'argent et des difficultés pour subvenir à leurs besoins. La jeune femme n'a pas de logement, et son père pour aider celle-ci et pour pouvoir gagner un peu d'argent deviens chauffeur du maire de la ville. Maire qui abusera de son pouvoir sur le père et commettra des actes non consenti sur la jeune femme.
La femme de 20 ans aura également des problèmes avec son passé qui vont la rattraper et elle décidera d'aller porter plainte pour diffusion de photos compromettantes qu'elle a pris quelques années plus tôt à la police, qui sera totalement insensible à sa plainte, et qui semble atténuer la gravité de ce qu'elle a subît.
Ce livre semble également être nourrit par les événements qui se sont passé ses dernières années : les nombreuses affaires de viols de chantages, d'abus sexuelles, de violences nottement dans les quels sont impliqué d'importants personnages politiques, d’où l'utilisation du maire comme figure d'abus de pouvoir dans ce roman.
Comme dit précédemment, le roman est centralisé sur 3 personnages principaux.
Nous avons tout d'abord, au début de ce roman cette « jeune fille qu'on appelle »,
qui n'est autre que Laura, la jeune fille du boxeur Max le Corre.
Laura est une jeune femme d'une vingtaine d'années qui paraît plutôt belle et qui depuis son plus jeune âge séduit beaucoup d'hommes.
Elle subit, à son arrivée au lycée le vampirisme du monde de la mode et va se lancer dans le mannequinat à seulement 17 ans afin de gagner de l'argent.
Cette période ne s'est pas bien passée, raison pour laquelle elle retourne auprès de son père à ses 20 ans.
Elle aura par la suite des problème avec cette période lycéenne car les photos qu'elle avait pris ont été imprimées sur de grandes affiches et collé dans la rue.
Cette jeune femme présente tout au long du roman, par sa parole assez assumée, apparaît également comme une contradiction. Elle est intelligente, lucide, mais impuissante à la fois.
J'aime beaucoup ce personnages et j'ai vite été attaché à celle-ci car j'ai eu peu « pitié » d'elle de part sa situations compliquée et instable. Tanguy Viel ne la décris pas beaucoup mais fait d'elle une sorte de victimes auquel que le lecteur a envie d'aimer et de soutenir
Nous avons ensuite son père, Max le Corre. C'est un boxeur en fin de carrière qui reviens d'une longue traversée du désert qui a durée près de quinze ans. C'est également le chauffeur de la ville ( plus précisément le chauffeur du maire ). Il compte sur ce maire pour aider sa fille financièrement ainsi que pour son intégration sociale ( trouver un métier ainsi qu'un logement )
Le père de Laura est également un personnage très ambivalent qui est aussi plein de force et de faiblesses. Les deux personnages se tiennent dans un même rapport de difficulté à être souverains de leurs propres corps, lui par mélancolie, et elle par fragilité.
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