Dissert eco

1789, il rejoignit le Club des Jacobins.

Menacé après la fusillade du Champs, il logea chez Duplay qui lui avait fait cette proposition. Il resta dans cette maison jusqu'à sa mort.

Avec la clôture de la session parlementaire, il rentra dans l'Artois ou il fut accueilli avec enthousiasme.

Rentré a Paris, le 28 Novembre, il dut s'impose aux Jacobins et en devint le Président le même jour.

Face à la menace de La Fayette, Robespierre proposa aux Jacobins,le 11 Juillet 1792, un projet d'adresse aux Fédérés des 83 Départements. Après des pétitions et des votes de l'Assemblée. Le 1er Robespierre revint sur sa décision du 29 Juillet pour demander une « convention nationale dont les membres seront élus directement par les Assemblées primaires et ne pouvant être choisis parmi ceux de l'Assemblée Constituante ni de la Première Législature ». Le 7 Aout, Pétion vient demander à Robespierre d'user de son influence sur le directoire insurrectionnel pour différer l'insurrection dans le but de laisser l'Assemblé étudier la question de la déchéance du roi. Il accepte puis revins sur sa décision, le lendemain.

Deux faux attentats furent perpétrés contre Robespierre.

Le 1er est dù à Henri Admirat qui, le 22 mai 1794 aurait suivi Robespierre et n'aurait pas réussi à le croiser, Admirat a alors déchargé en vain plusieurs coups de pistolets.

Il fut donc arrêté, mis au secret et exécuté sans avoir donner d'explications en public.

Le 2nd a eu lieu le 23 mai 1794, Cécile Renault avait quitter sa maison de l'île de la Cité avec des garnitures pour sa robe qu'elle allait emmener à sa couturière. C'est rue des Deux-Ponts que la jeune femme disparut mystérieusement pour réapparaître quelques heurs plus tard dans les locaux de la police politique.

La police politique a alors cherché à prouver qu'elle voulait assassiner Robespierre. Plus tard, suite à des procès-verbaux d'intérogatoire signés d'une croix, Cécile Renault aurait avoué s'être rendue chez Robespierre dans la rue Saint-Honoré. Cecile Renault ne s'expliqua ni sur ses motivations ni sur l'acte lui-même qui reposait uniquement sur la déclaration d'Agents du Comité de sureté générale et du Tribunal Révolutionnaire. Elle et sa famille furent condamnés à mort sans avoir non plus d'explications.

Robespierre fut également la cible de collègues de la Convention.

Puis, des conflits opposèrent les membre du Comité de salut public. Robespierre n'apparut plus aux réunions après le 11 juin. Mais il continua à participer aux séances de la Convention et des Jacobins, où il était soutenu.

Après un long silence, Robespierre se rendit finalement devant la Convention, où il mit au jour les attaques dont il a été victimes et proposa de modifier la Composition des Comités de salut public et de sureté générale et de subordonner le second au premier, le 26 Juillet.

D'abord applaudi, ce discours fut rejeté par la Convention.

Le 27 Juillet 1794, Robespierre fut interdit de s'exprimer à la Convention et invectivé de toutes parts quand un des représentants « à mauvaise conscience » Louchet, qui était proche de Fouché, demanda le décret d'accusation contre lui. La proposition fut voté à main levée et Robespierre arrêté avec Saint-Just et Couthon. Augustin Robespierre et Lebas se joignirent aux groupe et furent emmenés par les gendarmes. Mais aucune prison n'accepta le groupe et ils se retrouvèrent alors tous libre à l'Hôtel de ville de Paris. La commune de Paris avait fait sonner le tascin et s'apprêtait à l'insurrection, mais Robespierre tergiversa à donner l'ordre du soulèvement. Alors affolés, les députés votèrent la mise hors-la-loi de celui-ci, ce qui équivalait à la mise à mort sans procès.

Une troupe dirigé par Barras fit irruption dans l'hôtel de ville de Paris vers 2 heures du matin, sans avoir eu beaucoup de résistance.

Lors de cette