Feminin

rra pas comme les autres porter les mêmes vêtements car ceux-ci ne sont pas crées pour des morphologies différentes que celles en « vogue ». De même une femme, actuellement « ronde » se trouvera mise de coté, en prenant toujours l’exemple du vestimentaire, les « grandes tailles » sont mise a part dans les magasins et non pas mélangés avec les autres. De surcroit, les femmes qui ne répondent pas aux critères morphologiques, se voient en plus discriminer par rapport à leurs emplois. En effet, l’observatoire des discriminations a mené une enquête en 2005 qui révèle qu’une personne obèse reçoit 3 fois moins de réponse positive qu’une femme « normale ». En Amérique, le journal of applied psychology a démontré par une étude que les femmes très minces perçoivent annuellement 15 000€ de plus que les femmes qui ont le poids standard. Ce qui conduit bien sur la plupart des femmes a entrer dans ce « moule » afin de pouvoir faire partie de la masse, cela par le biais de régimes, de chirurgies souvent très dangereuses et couteuses. Cela se relativises ces dernières années, ont peut en effet par exemple citer une émission américaine « top modèle USA » où des femmes apprennent le métier de top modèle, et par le biais de notes se font éliminer une a une afin qu’a la fin de la saison il n’en reste qu’une. Dan cette émission, pour la première fois cette année, une femme « ronde » a pu participer, et rester jusqu’aux quarts de finale. De même que depuis le début des années 2008, on est élue en plus de miss France une miss ronde (ce n’est pas le même organe d’élection, ni les même responsabilités entre les deux misse), qui ne répond pas aux critères morphologiques mais qui est considérée tout de même comme une personne avec des atouts féminin, exploités a son avantage. Et enfin, depuis l’affaire de la mort d’Isabelle Caro, à cause de l’anorexie, maladie souvent due à des régimes excessifs, on remet en cause le critère de maigreur des canons de la beauté féminine actuels. Selon Bourdieu la femme se définie elle-même par ce que les autres voient d’elle, elle n’est donc selon lui que le reflet d’un regard d’autrui. C’est autrui qui construit la féminité.

Le paraître féminin, un monde de contraintes

La femme, dans notre société ne doit pas seulement entrer dans une classification morphologique, elle doit également porter des attributs plus ou moins contraignants et douloureux. En effet, une femme, qui est vêtue d’un tee shirt large, et d’un pantalon de survêtement, avec des cheveux très courts ou en pagaille, avec des bottes de caoutchouc aux pieds, sans bijoux ni maquillage, ne sera pas considéré par la majorité des gens comme « féminine », on peut être une femme sans le critère féminin. Donc pour être féminine, une femme, doit posséder certains critères de féminité. Au XIIIV ème siècle, les femmes portaient des robes longues, sous lesquelles il y avait un corset qui la plupart du temps empêchait celles-ci de respirer correctement tellement il fallait qu’il soit serré. Elle ne devait pas avoir de coups de soleil ni de bronzage (cela était réservé au paysanne qui subissaient les rayons du soleil lors de leur travail dans les champs) pour cela la gente féminine de l’époque se poudrait le visage avec de la poudre blanche, symbole de propreté et de pureté. Puis, surtout après la seconde guerre mondiale, les femmes ont commencé à porter des jupes, ou des robes plus courtes, celle-ci s’arrêtaient au niveau des genoux on le voit notamment sur des photos prises lors de la libération de la France en 1945. De même depuis cette époque les femmes ont commencé à porter des pantalons autrefois réservé aux hommes. Une femme pour être caractérisé de féminine doit également comme le dit une citation qui ressort couramment de la bouche de tous « il faut souffrir pour être belle »(issus du conte de la petite sirène écrit par Andersen, paroles de la grand-mère envers sa petite fille qui souffre des bijoux que l’on est en train de lui apposer) on remarque que le mot belle est au féminin, donc la souffrance, la beauté, et le féminin sont des termes en lien. Cella s’illustre par les talons portés par les femmes, qui n’ont jamais été plus confortables qu’esthétiques, de même que les soins esthétiques actuels par exemple un homme qui ne se rase pas, n’au pas le même impact au niveau social qu’une femme qui ne s’entretiens pas. Or le fait de s’entretenir n’est pour la majorité des cas qu’esthétique. Enfin, au niveau financier, actuellement une femme coute 3,5 fois plus cher au niveau de l’entretien physique qu’un homme. La féminité est donc une contrainte financière et esthétique, qui engendre certains désagréments, propre aux personnes féminines. Qui veulent entretenir cette qualification de féminin

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Evolution sociale de la femme

Vers un principe d’égalité homme/femme

La position des personnes féminines dans la société n’a pas toujours été celle qui est actuellement, on va de plus en plus vers une égalité entre le masculin et le feminin. Est cité comme féminin les femmes, mais aussi les transsexuels ou les personnes de sexe masculin ayant un fort penchant pour faire transparaître physiquement les caractéristiques d’une femme, par exemple : Vincent Mac Doom reconnu pour ses multiples maires de chaussures a talon, ses coiffures et tenues féminines. Dune part la femme en tant que telle a longtemps été soumise a l’homme, jusque avant la seconde guerre mondiale, les femmes n’avaient pas le droit de travailler, ni de dépenser l’argent du ménage sans autorisation, et encore moins de quitter le ménage de façon définitive (de divorce était prohibé). La femme était donc réservée a entretenir ma maison, élever les enfants, et prendre soin de son époux. L’époux quand a lui disposait de plus de libertés, notamment le droit de prendre des décisions avec le droit de vote, apparus en 1789 (suffrage censitaire indirect) mais également les hommes ont toujours pu être au pouvoir de la nation contrairement aux femmes. Mais depuis 1944 les femmes ont acquis le droit de vote, de même que désormais il doit y avoir dans les groupes de représentants un nombre égal d’hommes et de femmes, même si cela est encore difficile à mettre en place. Par rapport a l’expression, les femmes ont commencé a s’exprimer par le biais des romans « féminin » on peut citer la comtesse de Ségur, ces romans, ont été longtemps méprisés et étaient considérés comme de la lecture de bas étage, mais on été au XXème siècle remis a leur place de même que certaines auteur ont longtemps publié sous un pseudonyme masculin par exemple au 19ème Daniel Stern était le pseudonyme de Marie D’Agoult ; auteur de « trois journées dans la vie de marie Stuart » . Enfin, jusque au début du XX ème siècle, les seuls chercheurs scientifiques étaient des hommes, Marie Curie fut une des premières femmes scientifique, a faire une découverte majeure, et publier celle-ci sous son vrai nom, et en tant que femme. Actuellement, on tend vers une homogénéisation des conditions entre homme et femmes même si il reste encore des différences (un homme gagne en moyenne 1,5 fois plus qu’une femme à diplôme et emplois équivalent). Quand aux personnes qui ont la particularité d’être féminine en apparence, mais sont des hommes, ces personnes ont très longtemps été rejetés de la sociétés, ils ont été considérés comme commettant des crimes contre la dignité humain lors de la renaissance, lors de la seconde guerre mondiale ils sont enfermés dans des camps de concentration et d’extermination, ce n’est que récemment que le fait d’être transsexuel ou homosexuel commence a être accepté, même si les transformations esthétiques sont encore prohibée en France ainsi que les mariages entre deux personnes de même sexe, mais l’on va a l’échelle mondiale vers une plus grande acceptation de ce phénomène depuis toujours, présent, mais caché et prohibé pendant des siècles.

Le travail, intégration de la femme a la société

La société, qui est en constante évolution , a permis aux personne féminines, d’acquérir des droits pareils a ceux des personnes masculine, mais cela a permis aussi d’avoir les même devoirs, notamment envers le travail, qui est un lieux également de socialisation des individus La femme a longtemps été jugée comme un être faible, cela pourrait se justifier par le fait que dans la société dans laquelle nous vivons a longtemps été régie par le Bible où lors de la création, la femme a cédé et a croqué dans le fruit défendu. Depuis le XXème siècle les femmes ont été autorisées à travailler, ce qui leur a retiré cette qualification de « fragile » désormais, une femme peut aller combattre le feu, avec les hommes. Mais elle devra passer les mêmes épreuves également que les hommes, alors qu’ils ne sont pas construits naturellement pareil, une femme, possède une masse musculaire moins importante que les hommes, ce qui rend l’accès et la pratique de certaines profession plus difficile. Mais cet accès ne leur est plus interdit grâce aux revendications des mouvements féministes. Depuis que la femme n’est plus cloîtrer a l’intérieur de son foyer, la notion de féminin a changé car la femme, a pus se socialiser avec d’autres femmes, mais aussi avec d’autres hommes. La femme qui était autrefois soumise a l’homme, est dans certains cas son supérieur hiérarchique au travail. Le féminin n’est donc