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Fiche auteur Madame de La Fayette

Fiche : Fiche auteur Madame de La Fayette. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoires

Par   •  29 Janvier 2020  •  Fiche  •  372 Mots (2 Pages)  •  721 Vues

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Marie-Madeleine Pioche de La Vergne, comtesse de La Fayette, née le 18 mars 1634 à Paris et morte le 25 mai 1693 dans la même ville, est une femme de lettres française. Considéré comme précieuse du plus grand rang (femme qui se donne du prix, spéciale = intellectuel), cette femme ne fut pas connu pour sa beauté, mais pour son intelligence et son esprit. De caractère civil et obligeant, elle fut railleuse mais quand même aimé par la plupart. Dans son cercle, on retrouve Madame de Sévigné, une épistolière française, une intime ami ainsi que François de La Rochefoucauld, écrivain, moraliste, mémorialiste et militaire français du XVIIᵉ siècle avec qui elle eut une relation mystérieuse qui est mitigé entre amitié ou amour. En 1655, Marie-Madeleine épouse, à l’âge de 21 ans, un Auvergnat de trente-huit ans, François Motier, comte de La Fayette, avec qui elle vivra une vie assez éloigné et dont elle aura deux fils. Sa personnalité s’est dérobé au fils des années, a 19 ans, elle attesta être bien contente d’éviter l’amour mais son mariage deux ans plus tard est contradictoire. Ce personnage difficile a cerné est d’autant plus mystérieux, elle ne signa jamais ses romans par son nom et laissa planer l’ambiguïté jusqu’à sa mort. Cette femme de lettres acquit une culture or norme au fil du temps, elle apprit le latin, l’espagnol, l’italien, et écrivait des vers dans ces langues. Son humeur noire et mystérieuse participe à son image de femme d’affaires.

La Comtesse de Tende : 1718 : posthume

La Princesse de Montpensier : 1662 : 28 ans

La Princesse de Clèves : 1678 : 44 ans

Zaïde : 1669 : 35 ans

Ces œuvres sauf Zaïde ont le même scenario : une femme mariée à un homme qu’elle n’aime plus et qui s’éprend d’un autre. Sauf que l’évolution au fil de ses trois œuvres (La Comtesse de Tende considéré comme étant la première et la Princesse de Clèves, son œuvre ultime) est que le protagoniste s’éloigne de l’amant et se rapproche du salut éternel, le personnage est maitre de son destin. Une réelle polémique a était créé autour de la Princesse de Clèves : Comment en 1678, une femme de vertu ose annoncer à son mari qu’elle en aime un autre.

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