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Harmonie Du Soir

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OPPES PAR BAUDELAIRE

DONNEZ DES EXEMPLES!

II- La musicalité exacerbée

Cette forme permet donc, de donner au poème une musicalité particulière.

La répétition des mêmes vers parvient, par la reprise de formules quasi magiques, à rendre sensible l'ivresse envoûtante du soir. De plus, le nombre réduit de rimes (en "-ige" et "-oir") souligne la présence obsessionnelle du soir, véritable motif sonore de tout le poème. La structure du poème semble mimer son contenu. Le mouvement circulaire du pantoum reprend sur le plan musical l'ivresse du tournoiement de la valse.

Le champs lexical de la musique: “vibrant”, “air” (polysemie: la chanson, et l'atmosphere), “violon”: fondé sur la comparaison paradoxale, afflige et attriste la musicalité: le violon est personnifié. Il connote la mélancolie et la musicalité spleenéeneN.

“Le vi/olon” marque une dierese importante: une unitée divisée en deux, qui est ici utilisée pour rendre le vers musical. Avec cet instrument par excellence “Le”, on nous donne une notion de dédoublement dans l’unité. autres exemples ?

Ensuite nous pouvons observer avec la connotation de la danse: “tournent, valse”: spirale avec le rythme de la valse qu’il se tisse un lien avec la musique et la circularité sur soi-même.

La reprise des sonorité des vers du pantoum et les allittérations dans le premier et dans le quatrième vers, bercent litteralement le lecteur.

Il nous semble que le poéte veut purifier >> justifiez et étourdir la douleur >> justifier à travers la musique.

Un autre élément qui sert à déterminer le rythme de cette poésie est la comparaison faite avec le coeur, qui “frémit comme un coeur qu’on afflige”. Mais aussi les pauses à l’hémistiche “ voici venir les temps vibrant sur sa tige” qui marque mieux encore la cadence du rythme.

petite phrase de conclusion partielle à ajouter

III- Une dimension mystique…

Sa structure et une partie de son champ léxical religieux “ostensoir, encensoir…”, nous font penser à une priere magique incantatoire. Cela nous donne l’impression que le poète veuille nous faire entrer dans une sorte de transe, un peu comme s’il voulait nous “enchanter”, au sens propre du terme, au rythme de sa poésie.

In nous décrit une nature bien particulière: raréfiée, choisie, vue dans sa singularité : “chaque fleur” ou dans son essence “parfums, sons” qui s’entremèle ici avec la religion.

citer comparaison.

Avec la comparaison du soleil: où? commentez la palce dette comparaison >> effet d’acmé (qui nous rappelle l’encens), Baudelaire reprend un thème du romantisme (le coucher du soleil) mais sous une forme tragique, celle d’un suicide, d’une noyade et sa description insiste particulièrement sur sa nature mystique et nous découvrons ainsi différents aspects de la poésie baudelairienne.

Nous remarquons entre-autre, une concordance entre la nature décrite et l’état d’âme du poete.

“melancolique” et “langoureux”: pas tres energique, on s’abandonne au theme de l’amour : quel amour? amour pour qui? pour quoi? pour arriver à une dimension mystique particulière.

Nous remarquons la présence d’éléments de “Spleen” comme l’ abandon, la tristesse, le sentiment d’épuisement.

Le temps dominant est de la poésie est le present qui insiste sur la permanence du souvenir. “luit” aspect ceremonial de la poesie.

On découvre un ultériuer aspect romantique ici, avec le thème du soir: le crépuscule. A revoir: voir ci-dessus La mort du soleil est symbolique: la lumiere disparait pour laisser place à l’ombre.

Le poète cherche aussi à nous entrainer dans un vertige spleenéen dans un élan mystique et à travers le paysage, il projette son état d’âme et énonce ses sentiments d’une façon tout à fait particulière.

IV- … qui nous mene vers un état d’âme ambigu

Baudelaire avec beaucoup d’allusions : VAGUE aux sentiments (citer exEmples) nous mène à un état de languissement, de tristesse: c’est un être qui souffre et qui trouve du plaisir dans le chagrin, le plaisir du mal.

La subjectivité de l’auteur n’est que très peu présente dans cette poésie. Ses sentiments n’apparaissent qu’en trasparence et le seul élément qui relève réellement du lyrisme sont le “ton” et le “moi” du dernier vers. Pronoms personnels qui sont absents tout au long du poème.

Nous voyons comment “le violon fremit comme un coeur qu’on afflige”,car la musicalité est en premier plan.

L’utilisation de l’article indefini pour parler du coeur devient l’arme derrière laquelle le poète cache ses sentiments. Le masque de l’impersonnel, indeterminé lui sert à cachers sa douleur, mais elle est si intense que nous la percevons très fortement malgré la musicalité omnipresente de la poésie.

Un autre élément, tout aussi important, est la communion de toutes

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