Into The Wild, Signification Citation

andeur de cette constitution végétale. Malgré le temps et l'évolution de la technologie cette force reprendra toujours le dessus sur nous les Hommes, c'est ce que Christopher McCandless apprécie et se sera l'une de ses raisons qui le poussera à partir. Christopher pars dans un endroit que personne, aucun être humain n'a réussi à maîtrisé.

III - L'appel à la liberté p63

« En Buck, la bête primaire et dominatrice était puissante, et dans les dures conditions de sa vie errante, elle ne fit que grandir encore. Mais c'était une croissance cachée. Sa toute nouvelle aptitude à la ruse lui donnait aisance et maîtrise de soi. » Jack London , L'appel de la foret.

L' Homme une fois livré à lui même dans la nature redevient peu à peu une bête sauvage. Même si cette force ne se voit pas il en sort enrichi car il possède à la fois la

force animale et la conscience humaine. Christopher McCandless une fois qu'il fut

temps pour Christopher à vivre seul dans la nature, il fut obligé de s'adapter a la vie sauvage.

IV - Le désir de partir p94

« Il y avait quelques livres... L'un d'eux, La progression du pèlerin, parlait d'un homme qui quitte sa famille, on ne sait pas pourquoi. Je l'ai beaucoup lu,ici et là. C'était intéressant, mais difficile. » Mark Twain, Les aventures de Hucklerry finn.

La décision du jeune homme n'est pas une décision qu'il a pris a la légère, en effet cette pensé fut mûrement réfléchit. Il comprit les paroles de Mark Twain parce qu'il quitte effectivement ses parents sans leurs donner de raison. Cette séparation fut brutal, difficile mais vitale. Christopher ne prit jamais compte de la douleur qu'il a provoqué en quittant, et en abandonnant ses proches. En aucun cas il ne se rendra compte à quel point il fut aimé et comment sa disparition a fait de ses proches des gens meilleurs.

V- L'isolement et l'abandon de tout attache à la vie réelle p119

« Pendant plusieurs semaines, Waterman s'attarda dans les environs du refuge de Sheldon Mountain, une petite cabane perchée sur le bord du glacier de Ruth, au cœur de la Chaîne. Une de ses amies, Kate Bull, qui grimpait dans les parages à la même époque, raconta qu'il était fatigué et qu'il prévenait moins de précautions que d'habitude. Il se servit d'une radio qu'il avait empruntée à Cliff [Hudson] pour l'appeler et se faire apporter des vivres. Puis il rendit la radio en disant : « Je n'en aurai plus besoin. » Cette radio était le seul moyen d'appeler du secours. »

Glenn Randll, Point de rupture.

Christopher McCandless pensait ne plus avoir besoin de la société mais pourtant nous nous rendrons compte au cours de l'étude de ce roman. Qu'il il fut à un certain moment où il aurait voulut avoir encore un contact avec l’extérieur . Comme dans l'extrait du livre, il aurait, aimer pouvoir appeler les secours quant-il était sur le point de mourir, et que la rivière ne lui permettait pas de faire demi-tour.

VI- Le goût de la liberté p 128 .

« Quant à savoir à quel moment je rendrai visite à la civilisation, je peux dire que ce ne sera pas de sitôt, je pense. Je ne suis pas las de la nature ; au contraire, je jouis toujours plus intensément de sa beauté et de la vie errante que je mène. Je préfère la selle de mon cheval aux, voitures des villes, le ciel étoile à un toit, la piste incertaine et difficile qui conduit vers l'inconnu à n'importe quelle chaussée pavée et la paix profonde de la vie libre au mécontentement qu'engendrent les villes. Dans ces conditions, me blâmes-tu de rester dans cet endroit auquel je sens que j'appartiens, où je suis seul avec l'univers autour de moi ? Il est vrai que la compagnie de gens intelligents me manque, mais ceux avec lesquels je peux partager ce qui a tant d'importance pour moi sont si peu nombreux que j'ai appris à m'en passer. Il me suffit d'être environné par la beauté...

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