L'Organisation Universitaire Du Burkina
Rapports de Stage : L'Organisation Universitaire Du Burkina. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoiresde l’UO, l’UK a intégré l’École normale supérieure de Koudougou déjà existante (ENSK). L’université de Koudougou accueille déjà plus de 3 300 étudiants à la rentrée 2006-2007, et comprend deux UFR, un IUT et l’ENS. Les établissements privés. Université St Thomas d’Aquin de Ouagadougou (USTA). Créée en 2004, cette Université accueille aujourd’hui environ 600 étudiants et propose des formations dans quatre filières différentes, trois facultés et un institut. Université Catholique d’Afrique de l’Ouest, Unité Universitaire de Bobo-Dioulasso (UCAO, UUB). Ouverte à la rentrée 2005-2006, cette université comprend 6 écoles. L’effectif actuel est de 250 étudiants environ. Parallèlement à ces deux universités, une trentaine d’instituts privés dispensent des formations professionnelles dans le secteur tertiaire (secrétariat, banque, finances, assurances, comptabilité) et dans le secteur informatique à Ouagadougou et à Bobo-Dioulasso (niveau BTS ou licence professionnelle). Une École Supérieure de Génie Civil, établissement privé catholique, vient d’être créée à Kaya en décembre 2006 (niveau technicien supérieur).
II- Organisation des études, enseignements dispensés
Les établissements publics Université de Ouagadougou.
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UFR Langues, Arts et Communication (LAC) UFR Sciences Humaines ((SH) UFR Sciences Juridiques et Politiques (SJP) UFR Sciences Économiques et Gestion (SEG) UFR Sciences Exactes et Appliquées (SEA) UFR Sciences de la Santé (SDS) UFR Sciences de la Vie et de la Terre (SVT) Institut Burkinabè des Arts et des Métiers (IBAM) Université Polytechnique de Bobo-Dioulasso École Supérieure d’Informatique (ESI) Institut du Développement Rural (IDR) Institut Universitaire de Technologie (IUT) Institut des Sciences Exactes Appliquées (ISEA) Institut des Sciences de la Nature et de la Vie (ISNV) Institut Supérieur des Sciences de la Santé (IN.S.S.A) Université de Koudougou École Normale Supérieure (ENS) UFR Sciences Économiques et Gestion UFR Lettres et Sciences Humaines Institut Universitaire de Technologie Les établissements privés Université St Thomas d’Aquin, Ouagadougou Faculté des Sciences Économiques et de Gestion (FASEG) Faculté de Sciences Juridiques et Politiques (FSJP) Faculté de Médecine Institut Supérieur des métiers du Tertiaire (ISMT) Université Catholique d’Afrique de l’Ouest – Unité Universitaire de Bobo-Dioulasso École supérieure de Biologie (ESB) École supérieure de Sciences Juridiques et Politiques appliquées au Développement École supérieure d’Économie du Développement (ESED) École supérieure de Sciences Humaines Appliquées au Développement (ESSHAD) École supérieure de Technologie et Informatique (ESTI) École supérieure de Management et de Marketting (ESMM)
III- Principaux atouts du système d’enseignement supérieur
Depuis 2005 les universités publiques burkinabè se sont engagées dans une réflexion relative à l’harmonisation des diplômes progressivement délivrés dans le système LMD : enseignement modulaire, mobilité des étudiants, amélioration des conditions d’étude. Ces universités participent activement au REESAO (Réseau pour l’excellence de l’enseignement supérieur en Afrique de l’Ouest) regroupant 6 pays et 15 universités. L’enseignement supérieur burkinabé a dû faire face à un accroissement exponentiel des effectif étudiants : 374 en 1974, 1 600 en 1980, 3 500 en 1990, 8 000 en 2000, plus de 34 000 en 2007. La construction de nouvelles infrastructures (amphithéâtres, salles de cours), et la création d’universités délocalisées en province sont les réponses choisies pour faire face à cette augmentation rapide et brutale de la population étudiante.
IV- Coopération existante avec les établissements d’enseignement supérieur français
La coopération française au Burkina Faso dans le domaine de l’enseignement supérieur a toujours été très active : assistance technique, financement de partenariats avec des universités françaises, bourses d’études diplômantes (masters 2 et thèses), bourses de séjours scientifiques de haut niveau, appui à la recherche par les projets CORUS. La composante 1 du projet FSP RESEAU en cours (Renforcement de l’enseignement supérieur et de l’action universitaire, 2007-2011, voir ci-après), se prête moins au développement des partenariats, qui se sont toutefois renforcés dans le cadre des activités 1.5, 1.9. En revanche, la composante 2 (activités 2.1 et 2.2) visant la formation de nouveaux enseignants-chercheurs,
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mais surtout celle des classes d’âge intermédiaire préparant l’habilitation à diriger des recherches (HDR) afin d’assure la relève du corps universitaire a activement contribué au renforcement de ces partenariats. Les partenariats avec des universités françaises, certains étant plus vivants que d’autres, sont recensés dans le tableau ci-dessous. Pays Universités de : Amiens, Aix Marseille, Angers, Besançon, Bordeaux 2, Bordeaux 3 (Université Michel de Montaigne), Bretagne Sud (UBS), Caen, Clermont 1, Clermont Ferrand II (Blaise Pascal), de Technologie de Compiègne, Clermont Ferrand II ,Créteil , ENS de Fontenay aux Roses, François Rabelais de Tours ,Grenoble 2, Institut de Paléontologie humaine de Paris , Institut Supérieur des Matériaux et Mécaniques Avancées (ISMANS), Lille 3, Limoges (Institut d’épidémiologie neurologique et de neurologie tropicale), Lyon I (Claude Bernard), Lyon II (Université Lumière) , Lyon III , Maine (Le Mans), Poitiers (univ et ESIP), Marseille 1, Marseille 2 , Marseille 3 , Montpellier I, Montpellier II Sciences et Techniques , Montpellier III, Nantes, Nice et Reims, Nîmes, Orléans ,ORSTOM (IRD) Paris I, Paris III –Sorbonne Nouvelle , Paris 6, Paris Diderot / Paris 7, Paris 8 (Institut universitaire de Tremblay), Paris 12-Val-de-Marne, Paris 13, Pierre Marie Curie, Pau, Perpignan, Picardie Jules Verne (UPJV), Poitiers Pôle Universitaire Montpelliérain, Rennes I, Rouen, Strasbourg I (Louis Pasteur), Strasbourg II (Marc Bloch), Toulon Sud, Toulouse III, Toulouse le Mirail, Toulouse, Limoges, Rouen, Toulouse, Grenoble, Tours (François Rabelais)
France
Il est important de rappeler les partenariats soutenus avec les grands établissements français tels que le CNRS, l’IRD, le CIRAD, l’INRA, l’INSERM, le MHN, l’EHSS, l’INALCO, …
V- Principales coopérations universitaires avec les établissements d’enseignement supérieur des autres pays
Il est difficile de donner un bilan exhaustif de ces coopérations universitaires, on peut cependant donner les exemples de coopération suivants : Pays Allemagne Autriche Belgique Universités de : Bayreuth ,Francfort, Heidelberg, Institut Frobenius , (Service allemand de développement) DAAD Université de Vienne Bruxelles (Université Libre de), Bruxelles (Université Saint Luc de), Bruxelles (Communauté Française de) Louvain (Université catholique de), Namur (Faculté de Droit de) Donetsk Université Autonome de Madrid Morehouse School of Medecine Bari, Brescia, Firenze, Padoue, Rome (Vergata), Sassari, Sapienza, Turin, Tor Vergata Bibliothèque universitaire de Groningen, Groningen Amitié Patrice Lumumba, État de Volgograd Linköping, Uppsala Neuchâtel Laval, Laval – AUF, Mc Gill, Montréal, École Polytechnique de Montréal, Moncton, Québec à Chicoutimi , Québec à Montréal, Sherbrooke Québec Alabama, Alabama (Tuskegee Institute), Boston, Géorgie, IowaMichigan (Ann Arbor), Texas (Technical University), UCLA / Davis Ambassade de la République de Chine (Taiwan) A.V.K Group of Institutions (Bengaluru) Ambassade du Japon
Danemark Espagne Grande Bretagne Italie Pays-Bas Russie Suède Suisse Canada États Unis d’Amérique Chine Inde Japon
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Réseau Japon, Thailande, Inde, Indonésie,
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