La Bruyère, explication de texte

Dans la 1ère phrase nous notons 11 verbes soit 11 propositions. Celle-ci comporte 4 relatives caractérisant l’homme et 4 autres caractérisant les assimilations que l’auteur fait de l’homme aux animaux. Nous remarquons une série de propositions courtes, juxtaposés et/ou coordonnées, toutes chevillées par une série de connecteur logiques. Il y a une utilisation de substitue lexicaux : « géant », « pièce rare » introduit par des comparaisons avec « comme » répété. Les phrases suivantes sont des phrases interrogatives. On retrouve un ou deux verbes dans chacune des interrogations, ce qui fait une ou deux propositions par questions. Les deux premières questions commencent de manière différente, une conjonction de coordination et un pronom, et les deux suivantes comment par le verbe « être ». La phrase suivante est composée de 4 propositions, avec une proposition juxtaposée et deux propositions subordonnées circonstancielles introduit par « comme ». On a ensuite 5 propositions, avec la première composé d’une énumération de noms ; « légèreté », « folies », « caprices ». Nous avons ensuite 4 propositions avec l’apparition de dialogue. La suite des phrases est une énumération d’exemple tels que la phrase précédente, avec la présence de dialogue, visant à montrer que l’homme peut avoir des points de vue très contradictoires, sur un même thème global.

Nous retrouvons ensuite le retour de phrase interrogative, avec la disparition des dialogues, et la dernière interrogation composée de 7 propositions. Pour finir, on retrouve jusqu’à la fin une seule et même phrase composée de 18 verbes, soit 18 propositions. Elle comporte des propositions relatives subordonnées, juxtaposées et coordonnées. On retrouve 6 propositions subordonnées relatives et 3 propositions conjonctives, le reste étant des propositions juxtaposées.