La condition ouvrière au XIXème siècle

ce aux syndicats. Néanmoins, ces grèves vont entraîner l’intervention de la police. Souvent, ces interventions se terminent avec de nombreux grévistes tués pour défendre le peu de droit qu’ils disposent.

De plus, l’attitude de la bourgeoisie face aux revendications des ouvriers ne leurs font ni chaud ni froid. Ceux-ci n’ont aucune pitié pour leurs ouvriers. Tout ce qui les intéresse, c’est l’argent. Suite à cela, les bourgeois se moquent d’eux au théâtre en représentant la misère des ouvriers qui ne savent ni écrire ni lire. Malgré les revendications, les patrons décident de leurs rendre la vie encore plus difficile en ne laissant entrer que les femmes et les enfants. C’est à ce moment-là que Daens se présente aux élections pour devenir député. Celui-ci se fait élire grâce aux soutiens des socialistes et des libéraux. Il va désormais mettre tous les ouvriers sur le bon chemin pour sortir de la misère et vivre dans de meilleures conditions. Cependant, il va se mettre la bourgeoisie à dos.

Pour finir, l’attitude de l’état face à la problématique ouvrière est toute aussi déplorable que celle de la bourgeoisie. Car pour ne pas que Daens soit élu, l’état a truqué les élections en déclarant les voix pour le prêtre comme « non-valide ». Néanmoins, Il a quand même été élu. Celui-ci va établir une démocratie et va faire entendre les idées de chaque ouvrier. Malgré cela, les ouvriers vont se diriger vers les socialistes qui eux vont leurs offrir des droits.

En conclusion, on constate que les conditions de vie et de travail n’étaient pas exceptionnelles durant le XIXème siècle. On voit aussi que l’état et la bourgeoisie ne les respecte pas et ne les aides pas.