La responsabilité sociétale des entreprises
Compte Rendu : La responsabilité sociétale des entreprises. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoiresec les communautés de la chaîne d’approvisionnement
•Soutenir les communautés locales
•Protéger l’environnement
•Stimuler la demande pour les produits responsables
•Créer un milieu de travail agréable
•Unis nos forces pour le changement
Van Houtte a désormais un but défini en matière de responsabilité sociale : devenir un des chefs de file en matière de responsabilité sociale dans le secteur compétitif dont il fait partie en s’appuyant sur la fierté, la passion et le dévouement des gens.
Le développement durable : c’est la gestion rationnelle des ressources humaines, naturelles et économiques qui vise à satisfaire les besoins fondamentaux de l’humanité. Le développement durable implique plusieurs conditions : la conservation de l’équilibre général, le respect de l’environnement, la prévention de l’épuisement des ressources naturelles, la diminution de la production des déchets et enfin la rationalisation de la production et la consommation d’énergie.
Publié en 1987 par la Commission mondiale sur l’environnement et le développement des Nations Unies, le Rapport Brundtland, du nom de la présidente de la commission, la Norvégienne Gro Harlem Brundtland. Ce rapport définit la politique nécessaire pour parvenir à un « développement durable » avec comme concept : « Le développement durable est un mode de développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs ».
Exemple :
L'objectif d'une entreprise qui intègre le développement durable à sa stratégie et son fonctionnement est d'assurer un développement maintenu dans le temps, respectueux d ’un système de valeurs sociales et environnementales, dans dans une logique de progrès continu, tout en impliquant des acteurs internes et externes à l'entreprise.
L'entreprise va mettre en œuvre une démarche de développement durable pour de nombreuses raisons :
• Prévenir et maîtriser les risques environnementaux et sociaux
• Innover, dégager un avantage de marché, une différenciation et une augmentation de la valeur de la marque
• Prendre en compte les besoins des clients/consommateurs de manière plus globale et plus pérenne
• Anticiper ou se conformer aux contraintes réglementaires
• Réduire ses coûts
• Valoriser son image et préserver son crédit dans la société
• Mobiliser le personnel pour s ’engager dans une démarche volontaire et responsable
• Répondre aux attentes et renforcer ses relations avec ses parties prenantes
• Réduire la pression citoyenne, des ONG et associations
• Innover, être performante
• etc
L’investissement socialement responsable (ISR) : est un investissement individuel ou collectif effectué selon des critères sociaux, environnementaux, éthiques et de gouvernance d'entreprise sans occulter la performance financière. l’investissement socialement responsable se définit comme la composante financière du concept de développement durable par lequel l’investisseur, au lieu de s’intéresser limitativement aux critères financiers (rentabilité et risque) utilise également dans sa décision d’investissement des critères extra-financiers ; en l’occurrence les critères à caractère éthique, de gouvernance, social et environnemental. Le premier ISR de l’économie moderne remonte à 1971.
Exemple :
Amundi, leader dans la gestion d’actifs, se veut aussi acteur de progrès et d’évolution de son environnement. Le groupe s’est fixé l’objectif ambitieux de développer très significativement ses encours ISR (Investissement Socialement Responsable) et d’élargir son offre de fonds thématiques à forte utilité sociale.
Nos 3 principes de gestion ISR
1- Les émetteurs les moins bien notés au sein de leur secteur, soit les émetteurs notés E, F et G sont exclus des portefeuilles ISR. Cette exclusion écarte les émetteurs aux pratiques ESG contestables afin d’éviter un risque financier et de réputation pour l’investisseur.
2- En relatif, la note ESG moyenne d’un portefeuille ISR doit être supérieure ou égale à la note de son univers de référence ou de son benchmark. Cela signifie qu’en comparaison avec leurs concurrents, sont sélectionnés les émetteurs les plus avancés dans leur démarche de développement durable.
3- La note ESG du portefeuille reflète un seuil exigeant dans la prise en compte des critères ESG par les émetteurs. Elle doit être supérieure ou égale, dans l’absolu, à la note C.
Le Global Compact : Le Pacte Mondial invite les entreprises à adopter, soutenir et appliquer dans leur sphère d'influence un ensemble de valeurs fondamentales, dans les domaines des droits de l'homme, des normes de travail et de l'environnement, et de lutte contre la corruption. En d'autres termes, c'est seulement dans les domaines qui les concernent que l'on requiert des entreprises de véritables évolutions.
Droits de l'homme
o Principe 1 : Les entreprises doivent promouvoir et respecter les
droits de l’homme reconnus sur le plan international;
o Principe 2 : Les entreprises ne doivent pas se faire complices de
violations des droits fondamentaux.
Normes de travail
o Principe 3 : Les entreprises devraient respecter l’exercice de la
liberté d’association et reconnaître le droit à la négociation collective;
o Principe 4 : Élimination de toutes les formes de travail forcé et
obligatoire;
o Principe 5 : Abolition effective du travail des enfants;
o
o Principe 6 : Élimination de la discrimination en matière d’emploi
et d’exercice d’une profession.
Environnement
o Principe 7 : Promouvoir une approche prudente des grands
problèmes touchant l’environnement;
o Principe 8 : Prendre des initiatives
...