Le dormeur du val
Commentaire de texte : Le dormeur du val. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar marieblfr • 27 Septembre 2015 • Commentaire de texte • 336 Mots (2 Pages) • 1 342 Vues
LA NATURE LIEU DE PAIX
-Décor apésant : ts les éléments nécessaires à la vie. L’eau, la lumière, la terre et l’air
-Lumière associée à la pluie (liquide) évocation du paradis lumière qui tombe du ciel
- 1er vers tout est en mouvement, lumière sensation bruits
- Nature en mouvement et personnifiée = chanter, accrocher, fière, follement. C'est la nature qui est vivante et non l'homme
-Scène très calme prodigue une sensation de malaise
-Le poète demande à la nature de bercer « chaude
ment » le soldat car il a « froid » antithèse qui montre que le bien-être, la sécurité sont dans la nature.
LA MORT S'IMMICANT DOUCEMENT DANS LE PORTRAIT DU SOLDAT
- Dormeur privé de sensation
- Nuque dans l’eau ? Étrange
- Bouche ouverte ? On peut en déduire qu’il ne respire plus
- Tête nue ? On enlève souvent son chapeau (ici son casque) au passage d’un cercueil
- « jeune » aspect contre nature de cette mort, un homme jeune ne meurt pas, plus loin il est même comparé à un enfant
-Allitération en [n] et en [f] « les parfums ne font pas frissoner sa narine » pour amplifier le fait que le soldat ne réagis pas à la nature en ajoutant un frisson qui n'existe pas.
- Soldat est donc en position de faiblesse, suscite la révolte, une sensation d'injustice car dans une nature acceuillante
LUTTE PERMANENTE ENTRE LA VIE ET LA MORT
- Dès le début «trou » qu’on peut associé à un tombeau et on le retrouve à la fin « deux trous rouges »
-Follement 2 sens folie humaine ou bien signe d’insouciance
- « Les haillons D'argent », « Souriant comme […] un enfant malade », « trou de verdure », lutte permanente entre le chaud et le froid. Des contraires mis en forme ensemble de manière à ne jamais laisser le lecteur tranquille. A le laisser toujours s'inquiéter. Quand un terme le rassure le suivant l’apeure.
- Endroit où il fait bon de vivre, mais où la vie est impossible où la mort habite. Rapport avec le péché originel.
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