Les Implications De La Conscience Morale Personnelle Et Communitaire Dans La Guérison De l'Imfamies Du Monde Contemporain

solution morale, l’anomie, l’imfamie qui affecte profondément la conscience de l’homme contemporain nécessite une renforcement guérisant de la conscience éclésielle. L’imfamie de la conscience communitaire se découvri dans l’espace chrétien comme lutte antichristique. Cette lutte antichristique c’est la mistère de la sacrilège de qui parle L’Evangile, une anomie morale qui cherche détruire la tissu morale du monde, les fondations éternelles de l’existence par le Parole divine et par la force unitive de l’Amour. La constatation d’état conflictuelle de notre conscience morale, entre la loi chrétienne, qui l’anime, et l’état de sans loi de l’existence profane de la modernité post-chrétienne, apporte devant nous la nécessité d’une réaction thérapeutique de la conscience éclésielle, pour récupérer et sauver en Christ l’éspaces culturels et sociaux de limite.

La désespoir de notre faiblesse est dépassé en Christ par l’effort humble de la récupération des fondements traditionnelles chrétinnes de l’existence communitaire Cette probleme m’a condui vers le lutte de mon ouvrage et m’a inspiré vers une vaste récherche théoretique.

L’ouvrage a été structuré dans trois parties principaux: la prémiere partie établi le cadre théoretique de l’analyse de la conscience morale, dans ses déterminations théologique-patristique et psycho-sociologique; la deuxième partie analyse l’état de maladie de la conscience, tandis que la troisième partie aborde possible méthodes spirituelles pour guérison des péchés de nos jours. À cette trois partie j’ai ajouté une analyse sur nihilisme, comme signe distinct de l’imfamie du monde contemporain, et aussi un chapitre de conclusions finals.

Le chapitre I analyse la fondation, la structure et la dynamique de la conscience morale, dès l’étendue philocalique-patristique du terme jusqu’à l’analyse psycho-sociologique contemporaine. L’idée dès laquelle part ce chapitre de l’ouvrage est que dans la connaissance d’ètat de santé nous avons en fait la premiere prémisse de la guérison.

Le source de la débat théorique sur la conscience morale je le trouve dans la connaissance philocalique-patristique, qui est elle-même une fome et une ètat de la conscience morale. La connaissance philocalique-patristique atteind les limites transcendantes de la conscience humaine, elle est fondé sur le grâce divine. Le grâce divine, de la vie en Christ decouvre celle cachées de la foundation et de sa transformation divine-humaine. La connaissance par le grâce divine, fondé eucharistique, c’est une meditation qui suivrit le cours de la prière, quand la conscience est mise devant du Dieu. Cette normalité par le grâce divine, quand la conscience se met devant du Dieu, nous donne l’éntendue de soi-même, la connaissance de soi et le fait de devenir en Dieu. D’ailleurs ce processus divine-humaine de la connaissance de soi-même c’est le premier pas de la guerison de soi. L’existence christique nous donne la mesure entiere de notre santé et de notre normalité.

L’analyse patristique part dès le sort en laquelle Saint Athanasie le Grand applique la théologie de La Saint Trinité à le niveau de la personne humaine et de la sa structure spirituelle, puis suivrent les développements sémantiques et les nuances laquelles le concept de la conscience morale l’a aux Pères Capadociens et aux Pères Philocaliques et sourtout au Saint Basile le Grand, au Saint Grégoire le Théologien, au Saint Maxime le Confesseur, au Saint Grégoire Palamas et au Saint Symeon le Nouveau Théologien. Ce premier chapitre presente la foundation et l’ouvrage théandrique de la conscience morale, développe l’idée de la configuration et de la vibration trinitaire de ses contenus, en rapport avec les notions patristique de sagesse et coeur, et puis continue avec la dynamique d’intégration spatiale-temporelle de la conscience morale. Les problemes de dynamique spirituelle sont intégré dans ce trois niveaux existentielles : edenique, adamique et christique.

Le chapitre I continue avec la presentation de la conscience morale dans la dèbat de la psychologie morale moderne et contemporaine. L’analyse scientifique du processus de la conscience est aussi une forme de la connaissance avec les implications vastes au niveau personnel et communitair. Le démarche scientifique atteste sans doute une sécularisation de la connaissance, la conscience personnelle découvre qu’elle se fait tributaire à deux conceptions, souvent contraires, de la connaissance de soi, une d’origine religieuse et une d’origine laïque-scientifique. Une problème fondamentale de la connaissance et du démarche scientifique est justement l’absence ou plutôt l’omission volontaire du modèle réel, véritable et accompli de la concience morale. Voilà pourquoi on arrive à une connaissance déviée et à les prémisses fausses de la guérison. D’ailleurs la normalité, la santé psychique, dans la perception scientifique point n’a pas certains repéres précis, elle se modele statistique, d’après la medie de la société , d’ici provenant le risque que les déviations majeures d’une société qu’elles conduisient à une fausse perception sur l’état de maladie ou santé spirituelle.

La psychologie participe à la construction de l’image sur la nature humaine, à une vision sur le monde caracteristique pour une certain société, à un certain moment historique. L’image sur l’homme laquelle la psychologie la édifie a une autorité exceptionnel dans la société et dans la culture contemporaine. La psychologie scientifique a désiré se libérer de la tradition culturelle chrétinne mais aujoud’hui on constate une variation de position par rapport à la revelation chrétienne. Dans ma ouvrage j’ai abordé quelques des thémes significatives que jalonnent la comprèhension de la conscience morale dans la psychologie moderne et contemporaine : les préconcepts religieuses ; la comprehension des notions du : soi, ego, personne, esprit ; la liberté et la trancendance de la conscience morale ; l’intersubjectivité trinitaire et l’archétip du Père réfléchi dans la conscience morale ; l’elements de structure et dynamique de la conscience morale. La psychologie répond en géneral aux questions concernant l’état adamique de la conscience, marquée par les conflits interieure, mais est près incapable de percevoir la mistère de la christianisation de la conscience morale. Le langage psychologique s’accorde avec les troubles d’argile de la créature de l’extérieur du Corps et Sang du Christ, mais, dans la mesure de séparation de la Vérité-Dieu incarné, ne peux pas rendre et éclaircir la dynamique eucharistique de la grâce de Dieu en homme, qui fait la rédemption de l’homme, son retour et son union à Dieu, son salut final en Christ.

Le chapitre I lui finit le démarche théorique par présentation de la conscience morale communitaire dans l’interférence des préoccupations de la sociologie et de la théologie roumaine. Dans la réalisation de cette partie j’ai suivri la possibilité de réaliser une interférence entre la vision scientifique de la sociologie et la vision théologique, pour trouver une solution guérisante des maladies de la société contemporaine. J’ai choisi comme thème centrale de la débat le concept de communauté, parce qu’il peut étre un concept passerelle entre la morale théologique chrétienne et la sociologie. Ce concept réunis dans soi-même les mondes différents, voila pourquoi il me permet d’aborder une vaste gamme des problèmes : dès la source religieuse –éclésiale de la conscience communitaire, avec sa dynamique traditionelle et ses fruits culturelles, jusqu’à l’anomie social et à l’aliénation personnelle. La démonstration théorique cherche montrer que la conscience religieuse éclésiale est la foundation de la conscience communitaire et puit suivrit sa développement par la conscience familiere et l’angajament ethnique-national. Le chapitre débat puis le soi communitair dans l’intersubjectivité trancendante, la conscience anthropo-géographique et la conscience historique.

Le chapitre II presente une diagnostic de la société contemporaine, par le rapport de la soi communitair avec l’ètat de normalité christique. La connaissance d’ètat de maladie se fait dans la dialectique loi-imfamie, dès niveau personnel au niveau communitair. Le concept de maladie spirituelle est abordé interdisciplinaire, partant de la notion de santé spirituelle chrétienne et arrivant à le concept de santé mentalle, dans la psychologie et psychiatrie. La maladie spirituelle se manifeste au niveau de l’entiere communauté, voici pourquoi nous pouvons parlons d’une perception théologique de l’imfamie, comme un péché élargi du niveau personel au niveau communitair, mais aussi d’une perception sociologique de la pathologie spirituelle, par la notion d’anomie.

Dans l’identification des l’imfamies du monde contemporain, par la filière théologique je parti dès fondations d’étre en Christ. L’autorité paternelle conférée par loi divine à la conscience morale decouvre dans l’obeissance de loi une vocation de l’adoption divine. Vivre dans le loi chrétien, ça signifie une vibration de Saint Esprit, qui découvre l’amour comme dynamique de loi dans la conscience humaine. L’amour c’est la dynamique, la poulsation de la vie, qui pénétre, par la conscience morale, dans l’home entier, âme et corps.

La détériation de l’autorité paterne chrétienne dans la dialectique postmodèrne