Les effets de la fiction littéraire et ses aspects génériques
Cours : Les effets de la fiction littéraire et ses aspects génériques. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar melly03874 • 6 Novembre 2017 • Cours • 500 Mots (2 Pages) • 936 Vues
I. Les effets de la fiction littéraire
En littérature, comme un peu partout, on aime catégoriser les gens. Là, nous pouvons distinguer : le merveilleux, le fantastique et le réalisme magique. Ces trois catégories ont un grand lien de parenté parce que Freud appel « l’autre scène ». Cette « autre scène » n’est pas régit par le principe de réalité. D’autre part, il faut noter que le monde onirique est présente dans le monde littéraire depuis toujours. On la retrouve chez Homère L’illiade et l’Odyssée, dans tous les romans de chevaleries, avec Rablet, avec J. Swift.
Ce qui nous amène à noter que la littérature propose des mondes imaginaires, et nous amène à la problématique : Pourquoi l’homme a-t-il besoin de cet imaginaire ?
Paul Glaudert répond : l’invention et la fantasmagorie permet de supporter le réel en ajoutant des points magiques. On peut donc dire que la fonction de cette littérature est d’enchanter le monde au sens propre et figuré.
II. Les aspects génériques
Le merveilleux commence généralement par « Il était une fois », et on est transporter dans un temps non défini, dans un décor de foret, de château peuplé de créatures merveilleuses : dragons, fées, animaux doués de paroles, sorcières, etc. En littérature, le merveilleux ne s’incarne donc en toute logique dans le conte. Le conte traverse les siècles et les continents, et c’est tout d’abord transmit oralement et il se colporte. Le conte a été écrit assez tardivement (XIX° siècle). Par exemple, il y a 72 versions du « Petit chaperon rouge ».
Exemple de merveilleux :
• « Alice au pays des merveilles » de Lewis Carrol en 1865
• Andersen : « La reine des neiges », « La petite sirène »
Dans les contes d’Anderson la fin des contes se termine souvent très mal.
Le fantastique est l’irruption du surnaturel dans un cadre tout à fait réaliste. Ces phénomènes sont dérangeants, voir effrayant. L’irrationnel provoque l’hésitation et le doute tant pour le lecteur que pour le narrateur. Le fantastique provoque un sentiment d’étrangeté, parfois voisin de la folie. Il n’y a pas de moral, mais il y a un vrai questionnement sur les règles de la société et humaines.
Exemple de fantastique :
• « Dracula » de Bran Stocker
• « Frankeistein » de Marry Shelley
• « Les histoires extraordinaires » d’Edgar Poe
Le réalisme magique se fixe pour but de créer de nouvelles mythologies. Il ignore le rationalisme, qui
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