Les souvenirs, le temps qui fuit.

LES SOUVENIRS

Le temps qui fuit

Les souvenirs permettent de nous connaître, ils sont importants pour notre vie. De plus, ils permettent de remémorer son passé, plus souvent son enfance ou encore les moments qui nous ont marqué jusqu’à présent.

Ce corpus est composé de trois textes et une chanson, notamment une poésie Les regrets de Du Bellay « Heureux qui comme Ulysse » en 1958, un extrait du roman Du côté de chez Swann de Marcel Proust en 1913, et « Quand vous serez bien vieille, sonnet pour Hélène de Ronsard en 1978. Puis, une chanson de Renaud, Mistral Gagnant en 1985. Il s’agit ici de se demander si les souvenirs restent malgré le temps. Pour se faire, nous verrons dans un premier temps le temps qui passe. Puis, nous évoquerons dans un deuxième temps la présence de souvenirs.

I.

Les souvenirs, le changement, le quotidien nous donnent l’idée que le temps a passée.

Le regret est une réaction émotionnelle consciencieuse et négative concernant des actes et comportements personnels du passé. Tel est le point de départ dans le poème de Du Bellay, qui ressent un certain regret, manque en relation avec son pays natal. Son entourage, sa famille est vue sous un aspect sentimental.

L’idée de regret est également présente chez Ronsard, la jeune fille va être confrontée à un regret dans sa vie future.

La nostalgie, traduisant un sentiment de tristesse causée par l’éloignement du pays natal. Il s’agit d’un regret attendri ou un désir accompagné de mélancolie.

Ce qu’évoque Renaud dans sa chanson, regrette son enfance. D’après lui le temps passe, toute chose devient éphémère. Le temps perd sa valeur.

Ensuite, Du Bellay, présente la nostalgie en rapport avec le manque de son pays natal. De plus, Marcel Proust, illustre l’idée de nostalgie à travers les sens, plus particulièrement le gout, l’odorat, le toucher.

II.

L’enfance, la période de la vie humaine qui va de la naissance à l’adolescence est évoquée dans ce corpus. Proust, dans du Côté de chez Swann, parle de son enfance. La vision de la madeleine le fait retomber dans son enfance. Il se rappelle de sa famille et des endroits fréquentés lors de son enfance.

L’idée de saisir les moments présents car nous n’avons aucune idée de ce qui va se passer le lendemain. Cette idée de carpe diem est présente chez Ronsard qui dans son dernier tercet, assure que les instants présents ne seront pas regrettés.

La rose, symbole de la beauté qui n’est pas éternelle fait référence à Helene, qui ne détient pas une beauté éternelle. Et Ronsard lui offre l’immortalité avec ce poème « Quand