Pauca Meae
Fiche de lecture : Pauca Meae. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar ehrvt • 17 Avril 2017 • Fiche de lecture • 1 633 Mots (7 Pages) • 13 356 Vues
PAUCA MEAE
I.
Janvier 1843 : Début de l'année de la mort de Léopoldine.
II. 15 Février 1843
Victor Hugo est triste de voir que sa fille allait partir avec un homme, il voit sa petite fille le quitter pour aller dans une autre famille. C'est beau de voir comment un père tient à sa fille.
Dans l'église, 15 Février 1843 : Ce lieu et cette date font référence au mariage de Léopoldine avec Charles Vacquerie
4 Septembre 1843
C'est le jour de la mort de Léopoldine, donc c'est dur pour V.Hugo. Il doit être triste, se poser des questions, vouloir être seul. V.Hugo a le cœur brisé. V.Hugo ne sait pas quoi dire.
III. Trois ans après
V.Hugo ne veut voir personne, ne veut pas que l'on prenne de ses nouvelles et veut par dessus tout être seul. Il est extrêmement triste et est énervé contre Dieu. Il pense que c'est la faute de ce dernier et qu'il est égoïste. Il a besoin d'exprimer ce qu'il ressent et de dire ce qu'il pense c'est pour cela je pense, que ce poème est très long.
Novembre 1846 : C'est à cette date qu'il se remet à écrire. Mais c'est aussi en cette année que la fille de sa maîtresse meurt.
IV.
L'auteur exprime sa tristesse et son deuil. Mais il exprime aussi le fait que sa fille ne le quitte pas, il entend des bruits qu'elle faisait de son vivant ou il entend même sa voix.
Jersey, Marine-Terrace, 4 septembre 1852 : En 1852, le poète a été exilé à Jersey.
V.
V.Hugo se remémore des souvenirs. D'abord ceux en tête à tête avec sa fille puis ceux avec tous ses enfants ainsi qu'avec sa femme.
Novembre 1846, jour des morts: Il écrit ce poème le jour de la fête des morts.
VI.
V.H. Raconte encore des souvenirs heureux qu'il a de lui seul avec sa fille et termine sur deux vers sombres.
Villequier, 4 septembre 1844 : Le lieu cité est le lieu ou a périt Léopoldine.
VII.
C'est encore des souvenirs, V.H. a besoin de se remémorer les doux moments passés avec sa fille.
Octobre 1846
VIII.
V.H. est en pleine remise en question et se demande à qui il appartient.
Villequier, 4 septembre 1845 : C'est la date du deuxième anniversaire de la mort de Léopoldine.
IX.
V.H. exprime un souvenir familial ou il met en avant sa défunte fille. Ce souvenir était répété tout les matins pendant une période, c'est quelque chose d'important.
Villequier, 4 septembre 1846.
X.
L'auteur fait beaucoup de comparaisons, il se compare à des hommes exerçant des professions bien différentes mais qui ont tout de même un point commun : ils cherchent quelque chose dans le ciel.
Avril 1847.
XI.
L'auteur parle du cycle de la vie, à peu près jusqu'à la moitié du poème, c'est gai et cette moitié passée c'est triste et il parle de la mort.
11 juillet 1846, en revenant du cimetière : c'est le jour de l'enterrement de sa belle fille.
XII. A quoi songeaient les deux cavaliers dans la forêt
V.H. nous montre son point de vue par rapport à la mort mais on a aussi un deuxième point de vue, « celui d'un ami » mais c'est peut être un point de vue qui lui appartient et il ne sait pas lequel choisir.
Octobre 1853 : C'est daté d'environ un mois après la mort de sa fille
XIII. Veni, vidi, vixi
L'auteur n'a plus goût à la vie, il veut mourir, dit au seigneur qu'ila assez vécu et il lui demande de le laisser mourir. Il parle aussi des malheurs qui l'ont touchés.
Avril 1848.
XIV.
Il parle du moment ou il irait voir sa fille sur sa tombe.
3 septembre 1847 : Cette date va avec le titre « demain dès l'aube » puisque Léopoldine est morte un 4 septembre donc il dit qu'il va aller sur sa tombe le jour de la fête de sa mort.
XV. A Villequier
V.H. s'excuse au près de Dieu et dit qu'il ne le pensait pas comme ça mais qu'il le comprend quand même.
Villequier, 4 septembre 1847 : C'est le quatrième anniversaire de la mort de Léopoldine.
XVI. Mors
V.H. parle de la mort, il décrit ses actes. On la voit tuer les enfants et pleins d'autres personnes sur son passage laissant les familles atterrées.
Mars 1854
XVII. Charles Vacquerie
Pas compris
Jersey,4 septembre 1852 : Pour les neuf ans de la mort de Léopoldine et de Charles
1)
Le 4 septembre 1843 est la date de la mort de sa fille Léopoldine (noyée).
Cela signifie que le narrateur est désarmé, il ne sait pas quoi dire et il n'y a pas de mots assez puissants pour décrire ce qu'il ressent.
Ces poèmes sont à une place logique : le II montre ce qui se passe avant la mort de Léopoldine (se qui rend triste V.H. car sa fille part avec un homme) et le III montre comment se sent V.H. après la mort de sa fille (atterré et mal il ne veut voir personne).
2) (Sous chaque descriptions)
3)
Je pense que ce recueil est construit dans un ordre chronologique (en fonction des titres).
-Tout d'abord, il y a « Aurore » : C'est le début de la journée donc je pense que ça représente le début de la vie de Léopoldine.
-L’Âme en fleur : C'est l'évolution de la fleur, je pense que ça représente l'enfance de Léopoldine et son évolution (mentale et physique).
-La lutte et les rêves : Je pense que ça représente l'adolescence de la jeune fille ~elle grandit et elle change, elle est face à des ''combats'' d'adolescentes et elle commence à avoir des rêves, à avoir des envies que plus jeune elle n'avait pas.
- Pauca Meae : Signifie ''quelques vers pour ma fille''. Il représente le moment après la mort de Léopoldine. Le titre signifie que les poèmes écrits par V.H. sont dédiés à sa fille.
- En marche : Je pense que ça représente l'évolution de V.H. par rapport à la situation dans laquelle il est et à l'évolution de ses sentiments.
-Au bord de l'infini : Je pense que V.H. est face à la mort d’où le mot ''infini'' car la mort est un monde infini mais inconnu aussi.
Pauca Meae est un transition entre les deux parties du recueil, Pauca Meae lie la vie de Léopoldine au moment d'après sa mort. C'est un moment marquent pour V.H. donc il est importent et il est plus apparent si il est au milieu. C'est une place symbolique et significative.
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