Rodomontade amoureuse
Commentaire de texte : Rodomontade amoureuse. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar jjpk • 30 Juillet 2024 • Commentaire de texte • 2 029 Mots (9 Pages) • 72 Vues
Devoir n°1 de français
En quoi le titre rend-il hommage à Ronsard
Exercice 1
- Rien ne sert de courir, il faut partir à point.
Les verbes « sert » et « faut » expriment une vérité générale
- Ce soir, près de ce lac, je me rappelle nos moments passés.
Le verbe « rappelle » exprime un présent d’énonciation
- Je sors chez le docteur
Le verbe sors exprime un présent d’énonciation
- Il était minuit. Méphistophélès entre chez Faust, s’entretient avec lui et le convainc de lui vendre son âme.
Les verbes « entre », « s’entretient » et « convainc » sont du présent de narration
- Chaque soir, un étranger vêtu de noir s’assoit à côté du poète.
Le verbe «s’assoit » exprime un présent d’habitude.
Exercice 2 :
Forme verbale | Mode | Infinitif |
Débattu | Participe passé | Débattre |
En voyant | Gérondif | Voir |
Que je voie | Subjonctif présent | Voir |
Je vois | Indicatif présent | Voir |
Faites | Impératif | Faire |
Convainquant | Participe présent | Convaincre |
Je pourrais | Conditionnel présent | Pouvoir |
Nous saurons | Indicatif futur | Savoir |
Avoir parlé | Infinitif passé | Parler |
Qu’il ait fini | Subjonctif | Finir |
Venus | Participe passé | Venir |
- Ils ont débattu toute la journée pour trouver la solution
- En voyant le soleil, nous sommes sortis.
- Il faut que je voie ce film avant de partir en vacances
- Je vois mon ami tout à l’heure
- Faites vos devoirs !
- En convainquant sa mère, il a réussi à sortir hier.
- Je pourrais t’aider si j’avais plus de temps.
- Nous saurons bientôt qui a gagné.
- Je suis content de t’avoir parlé
- Je suis content qu’il ait fini mon livre.
- Ils sont venus à ma soirée.
Exercice 3 :
Bon, « l’oncle » ouvrit le cahier à la première page… les lettres à l’encre rouge étaient très gauchement tracées, les lignes montaient et descendaient… il les parcourut rapidement, feuilleta plus loin, s’arrêtait de temps en temps… il avait l’air étonné… il avait l’air mécontent… Il referma le cahier, me le rendit et me dit « Avant de se mettre à écrire un roman, il faut apprendre l’orthographe… »
2 :
Exercice 1 :
La poétesse s’adresse, aux lecteurs, et plus précisément « pleureuses de ce monde ».
« Ouvrez, lisez » : verbes à l’impératif
« Comptez les jours que j’ai soufferts » :
« Pleureuses de ce monde où je passe inconnue »
« rêvez sur cette cendre et trempez-y vos fers »
2) La poétesse s’adresse à sa Muse, la Poésie
« qui m’appelle à cette heure, et par le temps qu’il fait ? »
« C’est une douce voix, c’est la voix d’une fille »
« Ah ! Je te reconnais ! C’est toi, Muse gentille » utilisation du pronom « te ‘indiquant qu’elle parle directement à sa muse.
« Je ne t’attendais plus, aimable poésie, Je ne t’attendais plus, mais je rêvais de toi » L’utilisation de « t’ » et de « toi » montre clairement qu’elle s’adresse à la poésie.
Exercice 6 :
A :
Le pronom « on » désigne Gabriel et Zazie.
L’adverbe « ici » désigne l’endroit où se ils se trouvent actuellement.
« Là-bas » désigne un endroit différent de celui ils sont actuellement, sûrement un ancien endroit où a vécue Zazie.
B : L’enfant joue avec les marques de l’énonciation pour clarifier et distinguer les différentes personnes comme avec l’utilisation du pronom « on » et les lieux impliqués avec les adverbes « ici » et « là-bas »
3)
3 :
- « Le feu bondissait, joueur ayant perdu la raison » : figure de rapprochement : personnification.
Effet : Visualiser une image vivante et dangereuse du feu mais avec un caractère imprévisible souligné par « ayant perdu la raison » pour susciter de l’angoisse chez le lecteur.
- « Athènes », figure de substitution : métonymie
Effet : Donne à Athènes une présence presque humaine montrant la grandeur de l’ennemi.
- Antithèse entre « bénir » et « exterminer »
Effet : Met en avant l’absurdité des actions humaines mais aussi l’hypocrisie en temps de guerre.
- Personnification, figure de rapprochement
Effet : Personnifie l’horloge pour symboliser le temps qui contrôle la vie humaine, provoquant la peur du temps qui passe. Cela amène donc le lecteur à réfléchir sur la vie et le temps qui passe.
- « ciel rouge » figure de rapprochement, métaphore
Effet : L’auteur utilise des images fortes pour évoquer la détresse et l’errance du migrant, montrant le désespoir. Ceci provoque donc de la compassion chez le lecteur.
Exercice 4 :
- Antithèse entre « Lynx » et « Taupes »
Effet : Souligne l’hypocrisie humaine, et notre facilité à être indulgent envers nous-même mais sévère envers les autres. L’effet vise donc à la critique et veut provoquer une prise de conscience chez le lecteur.
- « Paix sanguinaire » est un oxymore
Effet : met en évidence la présence de la violence même en temps de paix. Cela amène donc à réfléchir sur la nature énigmatique de la paix.
- « Douce violence » est un oxymore
Effet : L’auteur cherche à montrer le pouvoir de la beauté, qui est très puissant, jusqu’à envouté les personnes y étant confrontés.
- Ironie
Effet : Critique l’absurdité des pratiques superstitieuses. Le sentiment provoqué est la dénonciation.
- Chiasme : inversion des termes « entendre » et « fâcher »
Effet : accentue la détermination du personnage à ne pas écouter les autres et à exprimer sa colère. Le sentiment exprimé est la détermination.
Exercice 5 :
- Anaphore
Effet : La répétition de « je » au début des phrases montrent l’intensité des émotions exprimés par Cyrano, créant un effet de désespoir pour le personnage éponyme.
- Anaphore : La répétition du mot « Seul » exprime l’isolement du personnage et accentue donc un sentiment de solitude et le poids des épreuves passés comme la guerre.
Accumulation : accumulation de la liste des détails comme les « épaules voûtées », « barbe blanchissante » ce qui accentue la fatigue du personnage après tous ces combats menés.
- Antiphrase : L’antiphrase montre l’ironie de leur situation difficile malgré la description positive.
- Hyperbole : « Environ neuf à dix mille coquins » exagère le nombre de personnes éliminées, ce qui met en avant l’absurdité de ce prétendu « meilleur des mondes »
Ironie : L’utilisation de l’expression « meilleur des mondes » rentre en contradiction avec la description violente de l’extermination des coquins, prouvant le côté ironique du propos.
- Hyperbole : L’exagération « jamais cour n’a eu tant » met en avant la supériorité physique des personnes présentes à la cour, montrant l’aspect démesuré et prétentieux de cette affirmation.
Question sur le sonnet
- Le titre « Rodomontade amoureuse » de Guillaume Colletet peut être interprété comme un hommage à Ronsard qui est un poète de la pléiade connu pour ses sonnets et ses odes. Ronsard était également connu pour ses poèmes d’amour, riches en émotions et en gestes romantiques, utilisant souvent des formes abondantes pour exprimes ses sentiments. En utilisant le terme « rodomontade », Colletet rend hommage à ce style passionné d’écriture. Le titre peut donc être interprété comme un hommage à la manière dont Ronsard exprime l’amour avec une telle intensité, montant parfois dans l’excessivité.
- Ce poème montre l’opposition entre le présent et le futur à travers la beauté de Claudine. Au présent le vocabulaire décrit Claudine avec des mots en lien avec la beauté et sa jeunesse actuelle (v.1) « tes grasses », (v.2) « ton jeune teint », (v.4) « tes beaux yeux », (v.14) « ton visage ». Au futur le vocabulaire décrit la dégradation inévitable de la beauté de Claudine par la vieillesse (v.1) « perdront », (v.2) « perdra », (v.4) « languiront », (v.5) « persécuteront » , (v.8) « mourras ». Pour montrer cette opposition le poète utilise aussi les verbes. Avec le présent le poète exprime ses sentiments, plus précisément sa souffrance actuelle (v.4) « languis ». Les verbes conjugués au futur expriment la certitude du changement de Claudine avec le temps (v.1) « passeront », (v.2) « perdra », (v.3) « verra ». Enfin l’auteur utilise les rimes pour exprimer l’opposition entre le présent et le futur. Il utilise les rimes pour démontrer le contraste entre le présent et le futur en opposant l’état actuel de Claudine à son état futur comme on peut le constater avec la rime embrassée (v.1 à 4) « passeront/ languiront », (v.2 à 3) « ivoire/ noire ». En conclusion cette opposition nous explique que Claudine est actuellement belle et fière, mais qu’elle perdra cette beauté "tes grâces passeront", "ton jeune teint perdra sa pourpre et son ivoire".
- Le pronom « ils » dans le poème désigne les personnes que Claudine à ignorer ou qu’elle n’a pas respecter. Le poète évoque ces personnes pour plusieurs raisons. Dans un premier temps le poète évoque ces personnes dans une idée de justice, Claudine qui a été indifférente envers des personnes qui l’aimaient se retrouvera elle-même délaissé dans le futur en raison de sa laideur. Il peut aussi évoquer ces personnes comme une mise en garde pour Claudine. Colletet avertit Claudine des conséquences de son orgueil et sa cruauté. Il veut qu’elle prenne conscience que ses actes dans le présent auront des répercussions dans le futur. Enfin en évoquant ces personnes l’auteur accentue l’un des thèmes centraux de ce poème : la beauté est éphémère.
- Le vers 8 du poème, "Tu mourras, et mes vers jamais ne périront", utilise à la fois le rythme et une figure de style pour mettre en valeur le travail du poète. Le vers est un alexandrin, donc composé de douze syllabes, avec une césure à l’hémistiche (6/6) « Tu mourras, / et mes vers jamais ne périront ». La césure effectuée après « mourras » créer une pose qui sépare les deux idées opposées de ce vers. Les principaux toniques toment sur « mourras » et « périront » mettant l’accent sur les verbes marquant du vers. L’auteur utilise une antithèse au vers 8 « tu mourras » avec « mes vers jamais ne périront », l’antithèse montre donc la courte durée de la vie humaine par rapport à la permanence des vers de la poésie. L’antithèse et le rythme combiné dans ce vers exprime l’immortalité de la poésie face à la courte vie humaine.
- Le premier tercet éclaire l’intention des quatrains en renforçant l’idée centrale du poème qui est, la fugacité de la vie humaine par rapport à l’immortalité de la poésie. L’auteur utilise des questions rhétoriques aux vers 10 à 11 « veux-tu forcer des ans la puissance suprême » « et te survivre encore au-delà du tombeau ». Ces questions n’attendent donc pas de réponses ce qui sert au poète à renforcer son argumentation, soulignant l’absurdité de vouloir défier le temps et donc, la mort. Les jeux d’opposition servent également l’argumentation de l’auteur comme on peut le constater au vers 9 « O cruelle à mes vœux ou plutôt à toi-même » Claudine est décrite comme cruelle envers les vœux du poète mais surtout envers elle-même. Il y a donc une opposition entre ces actions actuelles et les conséquences futures. Des vers 10 à 11 nous pouvons relever une autre opposition, entre l’immortalité et la beauté éphémère. Ces deux questions rhétoriques vers 10 à 11 expriment l’opposition entre l’idée de vouloir défier le temps (v.10) « forces des ans la puissance suprême » et la mortalité humaine. Le premier tercet sert à éclairer l’intention des quatrains, il y a donc plusieurs liens comme le renforcement du thème de l’éphémère. Dans les quatrains l’auteur évoque la dégradation inévitable de la beauté de Claudine et l’immortalité des vers de sa poésie. Dans le premier tercet l’auteur continue à explorer cette thématique en soulignant l’impossibilité de défier le temps. Enfin le premier tercet éclaire l’intention des quatrains avec l’accentuation de l’argumentation. Les questions rhétoriques et les oppositions du tercet servent d’outils à l’argumentation du poète, en confrontant Claudine à la réalité de sa condition humaine et l’immortalité des vers poétique.
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