Réfléchir Peut-Il Nous Rendre Heureux ?

té d’épanouissement personnel et tant que cela n’atteint pas l’extrême. Il est indispensable de vivre en communauté et d’agir pour soi mais aussi pour la collectivité. L’homme qui est seul n’est rien, il a besoin d’autrui pour exister, et il en a toujours été ainsi. Les premiers hommes n’auraient sans doute pas découvert tant de choses si chacun était parti explorer de son côté, seul face aux belles découvertes, mais également seul face aux dangers. Depuis toujours les individus ont eu besoin d’autre personne pour devenir « quelqu’un», pour grandir, évoluer, exister.

Ensuite, nous rencontrons de nombreux problèmes d’intégration d’immigrants étrangers. En effet ceux-ci se confrontent à notre culture pour le moins assez différente d’un continent à un autre voire même d’un pays à un autre. Pour s’intégrer au mieux l’immigrant n’a d’autre choix que de se fondre dans se nouveau décor plus ou moins hasardeux et tenter de s’y habituer au jour le jour en apprenant la langue du pays par exemple ou encore en trouvant un emploi ce qui est loin d’être évident. Mais la plupart du temps les étrangers ne sont pas des mieux accueillis par cette nouvelle société qui fait preuve d’ignorance, de rejet de ce nouvel individu. Ce qui amène parfois au racisme et a la xénophobie qui peuvent avoir de graves conséquences comme l’extermination des juifs durant la 2 ème guerre mondiale. Mais que nous soyons blanc ou noir nous sommes identiques à l’intérieur et de plus ce mélange de couleur , cette diversité culturelle apporte à chaque personne qui l’a côtoie un enrichissement avant tout humain et morale.

Et enfin, notre société ne s’est autant interrogée sur le vivre ensemble des âges. Le vieillissement de la population interpelle et fait apparaître des inégalités voire pressentir des tensions. Face au vieillissement de la population et aux problèmes sociaux comme le chômage, le décrochage scolaire ou la pauvreté, la société connaît de nombreuses complications comme par exemple le problème de ghettoïsation des personnes âgées qui se répand de plus en plus dans notre société actuelle. Cette ghettoïsation, liée à d'autres phénomènes, comme celui de l'éclatement de la famille traditionnelle fait en sorte que les contacts des personnes âgées avec les plus jeunes sont de plus en plus rares et difficiles. Avec le temps, cela ne peut qu'entraîner chez la personne âgée, un sentiment d'inutilité, de rejet.

Pour mieux gérer cette intergénération, il faut avant tout avoir une image positive du vieillissement, favoriser une écoute active et préserver la dignité des uns et des autres. Il faut aussi prendre conscience que si un problème touche une génération en particulier, c'est toute la société qui en est affecté. De plus développer les solidarités entre générations permet de trouver des solutions nouvelles aux difficultés rencontrées par chaque individus. De plus cela atténue le sentiment d’isolement de certains et augmente son sentiment d’utilité.