Act Iv, Scéne 2

de nombreux organisme marins se sont déposés au fonds des océans . Avec le temps ils se sont accumulés et mélangers a la boue et au limon pour former des couches sédimentaires riche en matiere organiques : le kérogène .



Le kérigène provient de la décomposition de matières organiques par de bactéries . Il est disséminé dans une masse minérale (la roche mère) sous forme de petits filets .

Les sédiments s’enfoncent lentement dans le sol, sous l’effet de la tectonique des plaques . Sous l’effet de la compression due au forte profondeurs, ces couches de sédiments se sont transformer en roches . Avec l’augmentation de l’epaisseur de ces couches sédimentaires et de l’apport de chaleur géothermique, la temperature s’est elevé et a entraine une decomposition aux matières organique en substances plus simples : les hydrocarbures . Cette decomposition d’origine thermique est nommé la « pyrolyse » . Le petrole brut est donc formé .

Relativement leger le petrole brut est remonter naturellement vers la surface de la terre . Il migre lentement a travers des couches géologiques poreuses . Lorsqu’il rencontr des roches imperméables, une accumulation se forme . Dans les poches de pétrole ainsi constituées, du gaz naturel (plus leger) s’accumule dans les parties superieur . Les roches des parties inferieur d’un gisements sont remplis d’eau .

La formation d’un gisements necessite :

- la formation d’un bassin et un positionnement geographique favorable au depot de matiere organique et à la concervation .

- une tectonique en cour de depot pour l’enfouissement rapide

- et un piège geologique

Il existe des condition favorables a la mise en place de ces gisements . Les migrants de la roche mère doivent etre piégés dans une roche reservoir . Le pigeage des hydrocarbures dans les roches réservoirs necessites :

-des pieges resultant le plus souvent de la tectonique en compression

- de « roches ouvertures » empêchant la migration des hydrocarbure en surface .



(2 eme schema de la formation du petrole)

Pour conserver la matiére organique, il faut une apaisseur des sédiments importante et un enfouissement rapide (vue précédemment) . Ces deux conditions existent lors d’une subsidence rapide et importante .

Comme exemple precis de gisement d’hydrocarbures nous avons choisis celui de SAINT GAUDENS .

Le gisement a été reconnue des le mois de juillet 1939. Son exploitation a commencé en 1942 et apporte un appoint notable a nos ressource en energie . Et est suceptible de stimulé, voir de transformer l’industrie du sud-ouest .

La suite des recherches qui se poursuivent dans le bassin aquitain montrera si le gisement actuel exploité est isolé ou constitue un simple élément dans un ensemble suceptible d’influencer l’economie entiere de notre pays .

Ce bassin présente les caractères des regions petrolieres inscrites parmis les plus riche du monde (Caucase, carpathes orientales, californies, andes orientales, irak ..) . Adossé au pirénes et limites au massif centrale, il a été comblé a plusieurs reprises par des sédiments provenant de l’usure de ces massifs montagneux. La formation des pyrènes a provoqué, dans ces series stratigraphiques, des rides dont l’amplitudes décroit avec l’eloignement. Finalement, la plus grande partie du bassin, plus ou moin erodée, a été profondément enfouis sous des alluvions, ne laissant voir que par endroit son allures plissée.

Si, dans cet ensemble, s’etalent des formation génératrices d’hydrocarbures, ainsi que des roches poreuses suceptible de les emmagasinés, les couches marneuses ou argileuses imperméables des couche convexes, dites anticlinal, peuvent couvrir d’enorme réservoirs pétrolifères. Les bitumes et les suintements d’huile, depuis longtemps connue dans la Chalosse et le Béarn, ce placent précisément, dans la zone la plus usée du bassin, la ou les anticlinaux, tres decapés, ne sont plus etanches, et ces manifestations indiquent a la fois l’existance de gisements et leur disparitions progressives . L’insucces de campagne de sondages entreprise dans cette zode de 1920 a 1930 peut trouver la son explication et , lorsqu’en 1937, sur l’initiative de Mr Ramadier, alors au ministéres des travaux publics, fut décidée