Bonduelle
Mémoire : Bonduelle. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoirespar le fait que le charbon est un produit facilement transportable par voie maritime à des coûts relativement bas et sans infrastructure spécifique lourde (à la différence du gaz qui demande des terminaux spécialisés et des bateaux conçus pour son transport).
Le transport du charbon ne comporte de plus aucun risque majeur d'atteinte à l'environnement. Le charbon est un matériau physiquement stable. Il ne présente pas les problèmes de fuites ou d'écoulements associés aux autres combustibles fossiles. Dans le monde entier, le charbon est transporté au moyen de minéraliers de tailles diverses. Les naufrages de ce type de bateaux sont extrêmement rares et n'entraînent pas de pollution maritime. Sur terre, le charbon est transporté par rail, par route ou par bande transporteuse, tous moyens de transport sûrs et sans risques environnementaux pour un combustible solide.
Et dans le monde changeant d'aujourd'hui, un minéralier ou un terminal charbonnier n'est pas une cible privilégiée pour des groupes terroristes : pas de risque d'explosion ou de dissémination nucléaire.
2. Parce que son prix est compétitif :
Le charbon est disponible dans le monde entier. Plus de 85 % du charbon extrait est aujourd'hui consommé dans le pays de production et seulement environ 600 Millions de tonnes font l'objet d'un commerce international.
Avec une distribution géographique équilibrée, le charbon peut être importé à un prix compétitif partout dans le monde.
Comparé au gaz et au pétrole, le prix du charbon a été relativement stable au cours de ces trente dernières années. Alors que les prix du pétrole et du gaz ont fait l'objet de grandes variations et d'une instabilité permanente due notamment à la puissance de l'OPEP, le prix du charbon est resté très constant.
Si récemment le prix du charbon a sensiblement augmenté, c'est vraisemblablement un épiphénomène du essentiellement à une augmentation momentanée des coûts de transports. Les prévisions à moyen terme mentionnent seulement une légère croissance des prix pour les années à venir.
En effet, les coûts d'exploitation devraient poursuivre leur décroissance grâce à des augmentations de productivité dans les principales régions productrices (Chine, Indonésie, Colombie, etc..) et à une diminution du nombre d'exploitations souterraines.
Cela ne sera pas le cas pour le pétrole ou le gaz, dont les coûts d'exploitation augmenteront suite à l'épuisement des gisements les plus rentables.
Dans le domaine de la production d'électricité, qui est avec 62 % de son utilisation son principal marché, le charbon est le combustible fossile le moins cher : Le coût total de production d'électricité d'une centrale au charbon est aujourd'hui comparable ou inférieur (suivant que la centrale est neuve ou ancienne) à celui d'une centrale à cycle combiné au gaz, mais avec moins d'incertitudes sur le prix futur du combustible.
3. Parce qu'il peut être utilisé sans dommage pour l'environnement.
En termes économiques, sa sécurité d'approvisionnement et son prix sont de puissants arguments en faveur du charbon. Ces avantages ont été bien compris par de nombreux pays d'Asie qui ont un important programme de construction de centrales au charbon.
D'un autre coté, le charbon est souvent l'objet de critiques et a pour le commun des mortels, une image négative due à son impact environnemental passé.
La seconde critique sur les énergies fossiles résulte de leur taux d'émissions de gaz à effet de serre. Si, à la différence du gaz, l'énergie charbon n'est pas à l'origine de fuites de méthane, gaz à effet de serre très préjudiciable pour l'environnement, elle est par contre productrice de gaz carbonique en quantités plus importantes que ses concurrents pétrole et gaz.
La consommation totale de gaz s’établit à 515 TWh en 2008 (+ 3,6 %). Le résidentiel tertiaire en consomme plus de la moitié mais sa part reste quasi-stable depuis 2006. Le gaz naturel est l’énergie de chauffage de 41 % des résidences principales mais de seulement 29 % des maisons neuves. Il subit le contrecoup de l’engouement pour l’électricité et les pompes à chaleur dans les maisons individuelles. La production nationale de gaz continue de baisser (– 11,4 %) et n’est plus que de 10,5 kWh, soit 2 % des ressources. Les importations progressent de 5,8 % et retrouvent un niveau équivalent à celui de 2006. La Norvège est notre premier fournisseur avec près du tiers des importations nettes totales.
II) International
Depuis le séisme qui est survenue au Japon, les opérateurs continuent d’évaluer l’impact sur les marchés du pétrole. Car la perturbation voir dans les raffineries du pays vont clairement diminuer les importations brut du pays et cela aura comme répercussion l’augmentation des importations des produits pétroliers.
De plus Le Japon, est après les Etats-Unis et la Chine, le troisième consommateur de pétrole avec une consommation de 4,25 millions de barils par jour en 2011 selon l’Agence Internationale de l’Energie(AIE).
Il faudra s’attendre à un recul de la consommation(en brut) mais par la suite à un accroissement massif de la demande japonaise en matière de pétrole.
Depuis les affrontements dans les pays comme la Tunisie, L’Egypte ou la Lybie le pétrole est en fluctuation.
La situation très tendue qui règne en Libye, quatrième producteur de pétrole en Afrique, affole donc les marchés et les entreprises qui exploitent ces gisements. La compagnie britannique BP a ainsi annoncé qu'elle allait évacuer ses 140 salariés présents en Libye.
Le Moyen Orient représente 30% de l’offre mondiale du pétrole, l’Afrique représente 10%. On touche donc au cœur du système pétrolier. Les marchés
Les marchés croisent les doigts pour que l’agitation ne gagne pas l’Arabie Saoudite (20 % des réserves totales), l’Iran (10 %), l’Iraq (9 %), le Koweït (8 %) ou les Emirats Arabes Unis (7 %).
croisent les doigts pour que l’agitation ne gagne pas l’Arabie
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