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Dissertation sur la petite fille qui aimait trop les alumettes

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r dans le roman La petite fille qui aimait trop les allumettes, l’aliénation qui empêche Alice d’être affectée par ce qui l’entoure ce qui cause par le même temps qu’elle ne connait même pas son identité, elle a une identité quasi-inexistante comme le démontre l’extrait qui suit : « [C]omme était en costume d’Ève c’était comme si nous étions à tu et à toi avec ses couilles. Elles étaient toutes molles et joufflues, beaucoup plus grosses que celles de mon frère ou que les miennes à l’époque où j’en avais encore […]. » (Page 31) Alors, nous pouvons voir qu’Alice en plus de ne pas avoir connaissance de son nom, elle croit qu’elle est un homme, mais qu’on lui a coupé les couilles. Donc, elle ne connait rien de son identité que se soit son nom, son sexe ou même son âge. Pour conclure, la narratrice (Alice) n’est pas affectée par quelque se soit l’évènement qui l’entoure à cause qu’elle a subit de l’aliénation venant de son père ce qui engendre son ignorance totale de la réalité ainsi que sa perte d’identité qui mène au fait qu’elle ne sait même pas qui elle est.

Par la suite, dans le roman de Gaétan Soucy La petite fille qui aimait trop les allumettes, la narratrice est affectée par les évènements qui l’entourent après la mort de son père, car elle est maintenant confrontée seul avec son frère à la réalité. En effet, la narratrice soit (Alice) est affectée par ce qui l’entoure à cause qu’elle est maintenant confrontée à la réalité ce qui lui fait prendre beaucoup de connaissances autant générales que de son passé (souvenirs) comme le démontre l’extrait qui va suivre : « Il y avait une angelote à mes côtés, qui n’était pas moi mais qui me ressemblait comme une goutte d’eau, […], et papa avait une loupe dans les mains, […], et à l’aide de cette loupe il captait par vertu magique les rayons du soleil qui, frappant sur une planchette de bois, […]. » (Page 125) Donc, nous pouvons voir dans l’extrait que grâce à ses souvenirs Alice prend connaissance d’une autre personne que l’on surnomme tout le long du livre « le juste châtiment » qui est en fait sa sœur et le fait que ses souvenirs lui rappelle tout cela ça lui permet de prendre des connaissances sur sa vie étant jeune et la fait aussi avancer en tant que personne. De plus, dans le roman La petite fille qui aimait trop les allumettes, Alice est affectée par ce qui l’entoure, car elle est confrontée à la réalité et grâce à ça elle peut découvrir son identité comme le démontre l’extrait qui suit : « Oui je dis elle car ce sera une angelote à qui je serai une goutte d’eau, j’en veux pour preuve la conviction que je sens mon ventre. Elle grandira sans horizon aucun, comme les fleurs qui n’ont pas besoin qu’on les maltraite pour pousser toutes couleurs dehors. » (Page 178) Alors, nous pouvons voir, ici, qu’elle ne parle plus d’elle comme un garçon, mais en plus elle se découvre, car elle est enceinte et Alice croit que se sera une fille et elle explique comment elle va l’élever pour faire tout le contraire de comment elle le fut. Bref, nous pouvons voir que la narratrice, à l’occurrence Alice, est affectée par ce qui l’entoure car elle est confrontée à la réalité ce qui la fera apprendre de nouvelles connaissances et lui fera comprendre son identité en tant que femme.

Malgré que dans le roman de Gaétan Soucy La petite fille qui aimait trop les allumettes, la narratrice est affectée par ce qui l’entoure à cause qu’elle est confrontée à la réalité, mais elle reste plutôt dans l’aliénation et dans l’imaginaire ce qui l’empêche d’être affectée par ce qui l’entoure. En effet, la narratrice (Alice) s’empêche d’être affectée par ce qui l’entoure, car elle se renferme dans ses rêves comme les démontre l’extrait qui suit : « [J]e n’avais jamais fait de lien avec le résonnement qui nous parvenaient de temps à autre quand le vent soufflait dans la direction de la maison depuis la pinède, j’avais toujours cru que ce bruit là venait des nuages, quelque chose comme la musique qu’ils font en se mêlant les uns aux autres, ou en se percutant doucement comme des ventres rebondis, […]. » (Page 46) Donc, ici nous avons une comparaison, soit Alice qui compare des nuages qui ce percutent à des ventres rebondis. En plus, nous voyons clairement qu’Alice (narratrice) se cache dans ses rêves (fabulation) pour ne pas être affectée par ce qu’elle voit et vit. Pour conclure, nous pouvons voir que grâce à l’imaginaire, Alice peut rêver et ne peut pas être affectée par tout ce qui se passe à l’entour

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