L'Invitation Au Voyage

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|richesse. |I |

| |R |

|1.2 Le PIB comptabilise des activités productrices de richesse mais |N |

|néfastes à la société. |J |

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|Transition |Q |

|II. Le PIB est un indicateur à compléter. | |

|Introduction partielle | |

|2.1 Par des estimations de l’économie souterraine et du travail |D |

|domestique. |P |

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|2.2 Par d’autres indicateurs |M |

| |B |

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|Conclusion partielle | |

|Conclusion | |

|Bilan |E |

|Ouverture |K |

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F. Malgré les plans de soutien au système bancaire, la tendance des cours boursiers est toujours à la baisse du fait notamment du ralentissement de l’activité économique. Les prévisions de croissance d’un pays sont, en effet, largement attendues par les économistes, les analystes financiers ce qui atteste de l’importance accordé dans nos économies à l’agrégat PIB.

H. Le PIB, dont la fonction principale est de mesurer les richesses produites au sein d’une économie présente des faiblesses. D’une part, il omet de comptabiliser certaines activités productrices de richesses et d’autre part, il tient compte de certaines activités néfastes à l’environnement.

A. Les lacunes du PIB étant mises en évidence, il faut tenter d’y remédier. Des travaux économiques sont menés dans ce sens, afin de proposer une estimation plus précise de l’économie souterraine et d’autres indicateurs sont créés.

B. Enfin, le PIB vert complète le PIB car il tient compte de l’écologie. Il intègre dans son calcul la diminution des ressources naturelles et les dégâts écologiques engendrés par la production. Les atteintes à l’environnement sont donc chiffrées et soustraites du PIB.

C. Cela nous conduit à étudier les imperfections du PIB pour montrer ensuite la nécessité de le compléter.

D. L’évaluation de la richesse d’une société peut être complétée par des estimations de l’économie souterraine. Cela est possible en tenant compte des délits enregistrés. Mais ces derniers ne reflètent pas l’intégralité d’un phénomène.

E. Le PIB présente des limites pour mesurer la richesse produite d’un pays car il n’évalue que les richesses monétaires. Certaines activités ne sont pas prises en compte et d’autres sont comptabilisées mais néfastes pour la société. Le PIB ne mesure que l’aspect quantitatif (la croissance) au détriment du qualitatif (le développement). Il est donc nécessaire de le compléter par des estimations régulières de certaines activités et par d’autres indicateurs.

G. Le PIB ne peut comptabiliser précisément l’économie souterraine puisqu’il s’agit par définition d’une économie informelle échappant au regard de l’Etat. Elle comprend des activités productrices de richesses mais illégales (proxénétisme) ou légales mais pas déclarées (travail au noir) ou partiellement (fraude fiscale). L’économie souterraine fait l’objet d’une estimation. Cependant, l’INSEE ne fait pas une enquête chaque année et estime que sa part dans l’activité totale demeure stable (4% du PIB dont 1% pour le travail au noir). Cette stabilité est contestable notamment en période de hausse des prélèvements obligatoires.

I. De plus, le PIB exclut toutes les activités exercées gratuitement comme le travail domestique, le bénévolat, l’entraide sociale. Une même activité selon le cadre dans lequel elle est exercée, peut être comptabilisée ou pas dans le PIB. Un employeur épousant sa femme de ménage contribue à la baisse du PIB puisque l’on passe d’un emploi salarié rémunéré à un travail domestique. De même, le recours croissant à des services marchands pour satisfaire des besoins auparavant assurés par le travail domestique fait augmenter le PIB.

J. De plus, pour calculer le PIB, est retranché aux productions les consommations intermédiaires car elles ont un prix et représente un coût pour l’entreprise. Or, ces dernières n’intègrent pas la consommation des ressources naturelles, souvent non renouvelables, qui sont indispensables à la vie humaine.

K. Associer des critères quantitatifs et qualitatifs semble primordial car ces deux aspects s’entremêlent. La croissance est une condition nécessaire au développement d’une société. Réciproquement, les transformations qui constituent le développement rendent la société apte à assurer la continuité de la croissance.

L. Il mesure la richesse produite au sein de l’économie nationale par les agents économiques y résidents depuis au moins un an. C’est un outil traditionnel de mesure de la croissance qui s’obtient en additionnant les valeurs ajoutées des secteurs institutionnels contribuant