Le taux de la mobilité résidentielle

Question n°6
Le taux de la mobilité résidentielle est équivalent à un changement de résidence principale. Pour calculer le taux il faut calculer en fonction des locataires entrants et sortants en rapportant ses chiffres à la population.
La formule est la suivante : Locataires entrants + Locataires sortants / Population moyenne.

Depuis 2007, d’après le site Clameur, le taux de mobilité a connu une baisse de 2.2% jusqu’en 2009. Ensuite, on note qu’entre 2008 et 2014, le taux de la mobilité résidentielle augmente de 3.9%. Il faut d’ailleurs souligner qu’en 2014-2015 le taux de mobilité résidentielle atteint 30.2%.

Question n°7
Une telle mobilité se fonde sur des conditions de crédit favorable (dû au renforcement des dispositifs d’aides publiques). L’amélioration des conditions de logement a également joué un rôle majeur.
En revanche la mobilité peut être freinée par la hausse des loyers, la distance du lieu de travail, le chômage, l’instabilité qui touche l’emploi.  

Question n°8
Pour accéder à un logement social il y a deux conditions :
—> Être de nationalité française (ou détenir une carte de séjour).
—> Disposer d’un revenu qui ne dépasse pas les plafonds défini par voie réglementaire.

Question n°9 :
D’après les chiffres de l’union sociale pour l’habitat, il y a un peu moins de 2 millions de demande de logements (1.8 Millions). Il est clair que la totalité des demandes à l’accès d’un HLM ne sont pas satisfaites. En effet, entre 2009 et 2014 seulement un tiers des demandes ont aboutis.

Question n°10 :
L’évolution du nombre d’emménagements dans les HLM est de 6%.
La formule : 483 - 455 / 455 x 100 = 6. De ce fait, le nombre d’accès à un HLM a augmenté de 6% en 5 ans entre 2009 et 2014.

Question n°11 :
La formule : 483 / 4.7 x 100 = 10.30% Le taux de mobilité est donc de 10.3%.