Philosophie

ux qui pensent en société » disait Alain, philosophe du début du XXème siècle. D’après lui, ceux qui pensent, en d’autres termes les philosophes, seraient « chargés » de séparer la vérité de l’erreur. Serait-ce le rôle du philosophe ? A-t-on besoin de séparer la vérité de l’erreur ? Nous sommes donc amenés à nous questionner sur la nature du rôle du philosophe.

La société a-t-elle besoin des philosophes ? Le groupement d’individus dépendant les uns des autres et ayant les mêmes usages que forme la société a-t-il réellement besoin de ces hommes de savoir et de raison qui sont à la perpétuelle recherche de la vérité ? Pourtant, étymologiquement, les philosophes ne sont que des amoureux du savoir et de la sagesse. Alors pourquoi seraient ils nécessaires ? Ne pourrait-on pas s’en passer ? En quoi sont-ils indispensables ?

Nous nous demanderons si ils ont eu une réelle influence sur leur société ou sur des sociétés futures. Qu’ont-ils apporté ? Quelle place y a-t-il eu alors pour la philosophie ? Mais il n’est pas dit que le philosophe soit réellement utile et bénéfique à une société donné. A quoi ressemble une société sans philosophes ? N’ont-ils pas parfois fait plus de mal que de bien à leur société ? Ont-ils réellement influé sur leur propre société ?

Le philosophe est pour le moins un personnage de la société qu’on ne peut négliger. Et lui-même se pense très important, il a raison, il est source de savoir.

Depuis Platon, la vision en terme de sens est considérée comme la métaphore de la connaissance. Cette vision qui permet de recherche la vérité, de philosopher est considéré comme vitale au même titre que le sens de la vue d’après les philosophes. « C’est avoir les yeux fermés sans tacher de les ouvrir que de vivre sans philosopher » dixit Descartes. On ne peut être plus clair; la philosophie serait indispensable à la vie. De plus les philosophes se...« Séparer la vérité de l’erreur, c’est l’affaire de ceux qui pensent en société » disait Alain, philosophe du début du XXème siècle. D’après lui, ceux qui pensent, en d’autres termes les philosophes, seraient « chargés » de séparer la vérité de l’erreur. Serait-ce le rôle du philosophe ? A-t-on besoin de séparer la vérité de l’erreur ? Nous sommes donc amenés à nous questionner sur la nature du rôle du philosophe.

La société a-t-elle besoin des philosophes ? Le groupement d’individus dépendant les uns des autres et ayant les mêmes usages que forme la société a-t-il réellement besoin de ces hommes de savoir et de raison qui sont à la perpétuelle recherche de la vérité ? Pourtant, étymologiquement, les philosophes ne sont que des amoureux du savoir et de la sagesse. Alors pourquoi seraient ils nécessaires ? Ne pourrait-on pas s’en passer ? En quoi sont-ils indispensables ?

Nous nous demanderons si ils ont eu une réelle influence sur leur société ou sur des sociétés futures. Qu’ont-ils apporté ? Quelle place y a-t-il eu alors pour la philosophie ? Mais il n’est pas dit que le philosophe soit réellement utile et bénéfique à une société donné. A quoi ressemble une société sans philosophes ? N’ont-ils pas parfois fait plus de mal que de bien à leur société ? Ont-ils réellement influé sur leur propre société ?

Le philosophe est pour le moins un personnage de la société qu’on ne peut négliger. Et lui-même se pense très important, il a raison, il est source de savoir.

Depuis Platon, la vision en terme de sens est considérée comme la métaphore de la connaissance.