Une Bonne Histoire a t'Elle Besoin d'Une Fin Innattendue

plan ; on distingue : la finalité externe qui a pour fin un être autre que celui dont il est question ; la finalité interne à un être dont les parties sont considérées réciproquement comme moyen et fin (cf. un organisme) ; la finalité immanente qui résulte de la nature et du développement de l'être même (adaptation du vivant à son milieu) ; la finalité transcendante qui est réalisée dans un être par l'action qu'exerce sur lui un autre être. b) Principe de finalité : la nature ne fait rien en vain, c.-à-d. tout être a une fin ; d'où, à l'inverse, l'idée d'une preuve de l'existence de Dieu à partir de l'existence de la finalité dans la nature ; cf. téléologique (argument ). 8. Finalisme : a) Caractère de ce qui dépend d'une fin. b) Toute doctrine qui affirme l'existence d'une cause finale de l'univers, ou (par ext.) qui utilise les causes finales comme principes explicatifs ; opposé à mécanisme.

Extrait du corrigé : dans l'Étranger de Camus => Les choix langagiers de Camus au début de l'Étranger peignent un Meursault « étranger » (phrases simples, vocabulaire pratique, etc.) VS la clausule, excipit où avant de mourir Meursault utilise des phrases bien plus amples => prend conscience du monde qui l'entoure. Mais : va mourir... • Cf. les clausules (souvent pessimistes) des romans d'apprentissage. Ex L'excipit amère et accablante, dans l'Éducation sentimentale de Flaubert : « C'est là ce que nous avons eu de meilleur ! ». C- La réflexion philosophique • La fin du roman peut pousser à la réflexion. Cf. le fameux : « il faut cultiver notre jardin » de Candide => pour Voltaire, la fin des maux, le bonheur se trouvent dans le travail. Cf. la fin de Rhinocéros => Bérenger est le seul à dire « non ».