DissertationsEnLigne.com - Dissertations gratuites, mémoires, discours et notes de recherche
Recherche

Adm1400 Théories de l’organisation

Dissertation : Adm1400 Théories de l’organisation. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoires

Par   •  16 Octobre 2022  •  Dissertation  •  2 705 Mots (11 Pages)  •  340 Vues

Page 1 sur 11

ADM 1400

TRAVAIL NOTÉ 2

Théories de l’organisation

ADM 1400

[pic 1]

Théories de l’organisation

travail noté 2

L’étude diagnostique (deuxième volet) (30 points)

  • Rédigez votre travail noté 2 en commençant à la page suivante.
  • Prenez soin de remplacer tout le texte qui apparaît en surligné jaune.
  • Votre texte doit être rédigé à interligne 1,5, avec la police Arial, 12 points.
  • Votre texte doit comporter environ 2750 mots.
  • Sauvegardez votre travail de cette façon : Code étudiant_TN2.
  • Déposez votre travail noté dans votre portail étudiant MaTÉLUQ.

                        (2018.10)

L’étude diagnostique (deuxième volet)

Par :
Sirine Sbai

Travail présenté à :
Nathalie Dyke
En marge du cours :
ADM 1400,
Théories de l’organisation

Certificat en management
Université TÉLUQ
09 septembre 2022

TABLE DES MATIÈRES

Introduction        3

Étude diagnostique (deuxième volet)        3

A.        Étude diagnostique à l’aide de la métaphore de la culture        4

B.        Étude diagnostique à l’aide de la métaphore de la prison du psychisme        6

C.        Étude diagnostique à l’aide de la métaphore du système politique        7

Conclusion        7

Références bibliographiques        10

Introduction

Dans la continuité du premier travail, nous allons continuer l’étude du diagnostic de l’entreprise choisie dans le premier travail sous forme de nouvelles métaphores décrites par Morgan. L’analyse de la compagnie Beneva, se fera plus spécifiquement sous forme d’une culture, d’une prison de psychisme et d’un système informatique.

 

Enfin l’image de l’entreprise sera définie avec des aspects clairs et permettant le lecteur de bien saisir les métaphores de ce deuxième volet d’étude. Nous supporterons notre analyse à l’aide des exemples afin de bien démontrer que la lecture des chapitres du livre, image de l’organisation, a été bien saisie. Nous ferons une conclusion à la fin pour résumer le contenu rédigé.

Étude diagnostique (deuxième volet)

  1. Étude diagnostique à l’aide de la métaphore de la culture

Les valeurs de Beneva, qui je rappelle, c’est le regroupement de deux groupes financiers aux racines mutualistes : La Capitale et SSQ Assurance vont : La prise en charge, une approche humaine, la responsabilité personnelle et mutuelle, la démocratie, l’égalité, l’équité et la solidarité.

Desjardins est une institution financière comme bien d’autres. Elle se distingue par une gamme complète de produits et services d’assurance de qualité supérieure répondant aux besoins variables de ses membres et clients. Il ne faut pas oublier que Beneva se situe parmi les 4 premières grandes compagnies d’assurance au Canada, surtout par le fait que le regroupement entre grandes entités qui permet à Beneva d’avoir une gamme de service diversifié et complète pour sa clientèle.

Concevoir une organisation sous la forme d’une culture revient à l’étudier sous l’aspect des valeurs, des idées, des croyances, des rites et autres modèles de signification commune qui persistent et identifient les systèmes auxquels l’on fait référence. Concevoir l'organisation comme une culture, c'est offrir une alternative aux modes de représentations individuelles ou collectives. Changez les façons de voir, les visions et les images, les croyances et les significations communes qui servent de soutien aux réalités de l'organisation relèvent d'un défi majeur.

Dans le cas de SSQ, divers éléments, parmi lesquels la situation économique difficile d'un[1] grand nombre de Canadiens français, une politique de non-intervention de l'État québécois et le large consensus qui régnait autour de l'idéologie cléricale et nationaliste expliquent qu'autant d'initiatives privées veuillent, à compter d'un certain moment, pallier les nombreux problèmes des ouvriers, des agriculteurs et de la petite bourgeoisie. Jusque-là, en effet, dans le cas des services sociaux et des assurances contre les aléas de l'existence (maladie, chômage, vieillesse...), les programmes gouvernementaux étaient rares et relevaient pour la plupart du gouvernement fédéral.

SSQ Assurances fut fondée en 1944[2] au Québec. Au début des années 1940, le médecin chirurgien Jacques Tremblay dénonce le fait que la population ouvrière de la Ville de Québec ne peut se payer de soins médicaux adéquats; il n’y a pas de régime public. Le 9 mai 1944, le docteur Tremblay fonde la Coopérative de santé du Québec (SSQ), qui procure aux membres adhérents les services médicaux requis par leur état. La coopérative adopte en 1945 le nom Les Services de Santé du Québec, qui inspirera plus tard le sigle SSQ.

En ce qui concerne La Capitale qui fut tout d’abord un fonds commun formé en 1940 par des fonctionnaires de la colline parlementaire du Québec qui souhaitaient instituer un moyen plus sûr de payer leurs funérailles. Le nom officiel de ce groupe était La Mutuelle des employés civils.

La capitale est SSQ comme produite sont bien encré dans la vie des Québécois, et les deux organisations visent le marché anglophone pour agrandir leur clientèle et pouvoir offrir des services a tous les Canadiens.

Un autre aspect de cette vision culturelle de l'entreprise met en évidence que toute organisation repose sur des valeurs et des systèmes de significations communes, et par conséquent, une fois identifiée, peut être à la source d'innovations et de changements organisationnels.

Lorsque   nous   parlons   de   culture, nous   pouvons   faire   allusion   au   modèle   de développement qui reflètent, dans une société, son système de connaissance, son idéologie, ses valeurs, ses lois et le rituel de tous les jours

on   peut  apercevoir  que  la culture  est constamment en évolution. Elle se décrit aussi comme étant auto-organisant. Ce mode de fonctionnement   permet   à   l’ensemble   des   gens   de   comprendre   ce   qu’il   se   passe extérieurement dans la culture. On ne pourra jamais mesurer la culture puisque ce mot se décrit comme des expériences de vie[3].


  1. Étude diagnostique à l’aide de la métaphore de la prison du psychisme

La métaphore de la prison du psychisme vient de l'idée que des phénomènes conscients et inconscients créent les organisations et les maintiennent en l'état. La notion de la prison souligne le fait que les individus peuvent se voir confinés, enfermés dans la vision et les images qui leur sont propres.

Cette notion de prison du psychisme développée par Platon et reprise par Socrate, mets en évidence la transformation de la réalité que les individus opèrent à partir de la perception qu'ils ont de situations particulières.

Il en va de même pour les entreprises qui génèrent des images fortes et qui d'une certaine manière emprisonnent leurs employés dans des schémas et des visions qui ne sont que le reflet d'une certaine réalité.

En fin de compte, la manière dont les organisations modèlent le monde ne leur permet pas d'envisager d'autres modélisations. Elles se trouvent du même coup prisonnières de leur vision unique sans avoir la possibilité de prendre en compte d'autres réalités et d'être par conséquent suffisamment réactives aux nouvelles orientations. Nous pourrions dire   que   nous   sommes   une   de   ces   organisations   qui «   de   bien   des   façons, deviennent des « univers masculins »[4] où les hommes et les femmes qui se lancent dans l’arène se battent pour les postes de direction comme des cerfs se battent pour savoir qui sera le chef de la harde. ». Cet exemple est excellent pour décrire la situation dans une grande organisation comme Beneva. L’organisation nous impose certains règlements et de ces règlements, la vision de voir certaines choses est influencée par le cours de ceux-ci.

Il existe aussi un   phénomène  où  nous   sommes  dans   l’obligation  de travailler selon une personne en particulier du a son statut dans l’organisation ou bien du a son ancienneté . Cependant, chaque personne est différente et la méthode de travail d’un varie de l’autre. Le fait de s’imposer une méthode de travail que l’on n’aime pas particulièrement est représentatif de se sentir emprisonné dans le travail que l’on fait. Nous ne nous dénions pas le droit de travailler de notre façon par peur d’être mis à la porte, et ce, jusqu’à tant que nous comprenions cette métaphore.

...

Télécharger au format  txt (18 Kb)   pdf (160.2 Kb)   docx (37.9 Kb)  
Voir 10 pages de plus »
Uniquement disponible sur DissertationsEnLigne.com