Caca

u vers 6 " et fait de cens miliers d'homme un tas fumant , qui se relie au vers 4 c'est a dire un "carnage" cpar transition une "Déshumanisation" par l'horreur de la guerre les hommes ne sont plus des hommes mais des machines pour but de tuer et etre tuer il y a ensuite une Oppositionen entre la guerre qui détruit les hommes et la Nature qui les engendre (verbe faire : « qui fis ces hommes » ). Opposition entre la Nature et Dieu : l'une qui se conduit « saintement », que le poète invoque comme une véritable divinité vers 8 (« ô toi qui fis ces hommes» ), qui est désignée comme celle qui crée les hommes - l'autre qui « rit » vers 9 " il est un dieu qui rit aux nappes damassees" pendant que les hommes meurent les dieux ne s'intéressent qu'à leur argent on peux dire "les dieux" car le poete enploie "il est UN dieux" on peux donc choisir le dieux cela montre son anti christianisme. On conclu dans ces quatrains essensilement que le poete denonce la guerre et ses horreurs , une "deshumanisation" il fait egalement l'eloge de la nature contrairement aux dieux

2 eme axe b) La dénonciation de la religion ou indifférence de Dieu aux souffrances des hommes

C’est dans les tercets que cette mise en accusation de la religion se développe, tout d'abord on remarque tout de suite l'antithese entre l'horreur de la guerre et L'église catholique qui est lui un lieu luxueux enrichi par la pauvreté du peuple, fermé à l'espoir on pourrait aussi dire que Au rouge du sang, Rimbaud oppose l'or des églises dans le vers 1 "tandis que les crachats rouges de la mitrailles" au vers 10 "des autels a lencens aux grandes calices d'or" il denonce par cet antithese le profit de la religion par rapport au hommes. on retrouve egalement le champ lexical du luxe est destiné à suggérer l’idée de la cupidité : « vers 9 il est un dieu aux nappes damassées » « vers 10 des autels a l' encens » aux grandes calices d’or " Le champ lexical du sommeil ajoute l’idée du non interessement voir meme de l'indifrence de la religion a l'egar des hommes par : «vers 11 "qui dans le bercement des hosannah s' s’endort," et ensuite au vers 12 le" et se réveille quand des meres ramasses». qui designent les meres impuissante fasses a l'horreur de la guerre qui implore des revoirs leur fils ou leur maris entre vivant on pourra en retenir que l'eglise est riches et belles et la guerre horrible et sanglante

conclusion

Ainsi dans ce poème, Rimbaud dénonce de manière très virulente le mal de la guerre et de la religion. C'est un sonnet très révélateur de cette période de sa vie . Il montre que la religion est indiferrente fasse a la guerre et le deshumanisation tandis que la guerre est sanglante meurtiere et sans pitier, il montre egalement le mepris et l'inpuissance des femmes . il fait l'eloge de la nature qui est douce et bercante personnelement j'ai aimer ce poeme car il denonce des choses importantes , que l'on doit savoir , il nous apprend ce qu'il vivait a l'epoque de cet geurre ce poeme a donc eu un grand interet c'es pour sa d'ailleur que maintenant nous l'etudion