Décentralisation ou centralisation

hevaliers de la table ronde. Il y a eu plusieurs consultations de faite au près de la population, des différentes associations (docteur, spécialistes etc…) pour aider M. Robichaud à prendre les bonnes décisions avant de présenter sont plan de santé pour la région du NB. Pour sont effort, le bureau du premier Ministre aurait reçu un A+ pour avoir vraiment suivie les principles du système de décentralisation de pouvoir.

« Les réseaux provinciaux et territoriaux pourraient, entre autres, établir des stratégies d'amélioration des services de santé en français; favoriser l'engagement des communautés; définir les besoins locaux; faire de la promotion et de la prévention; promouvoir les carrières en santé; et favoriser le regroupement des professionnels de la santé. Le réseautage conduirait à la création de liens concrets et durables entre les divers intervenants. Il permettrait une plus grande prise en charge communautaire et mettrait en rapport des individus et des établissements dans le but de planifier, de développer, de renforcer ou de maintenir des initiatives favorisant un meilleur accès à des services de santé en français. »[i] 2

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Mais quand la croisade s’est terminé et qu’il était retourné dans son château fort qu’est les bureaux du parlement à Fredericton, on ne pouvait plus vraiment faire la différence entre la décentralisation et la centralisation. Le rapport de santé de M. le ministre est tombé sur les communautées rurales du NB comme un grand coup de vent dont ils ne s’attendaient pas. Malgré toutes ces consultations et recommandations, la personne qui a vraiment pris la décision était le ministre et son équipe.

Donc, une des questions que je me pose est celle-ci : Qu’est-ce vraiment la définition de décentralisation de service ? Est-ce seulement une belle théorie qui malgré toutes les bonnes choses qu’elle apporte, elle n’est pas réaliste et dans le fond couterait trop cher ? Il est vrai qu’il serait merveilleux d’avoir, dans chaque région rurale, des services de premières qualités avec toutes les nouvelles technologies mais la réalités des choses c’est que les divers décisions politiques des 10-20 dernières années en soin santé on laissé le système dans un bien piteux état. C’est pourquoi M. le ministre Robichaud a pris les décisions qu’il a prises. Mais, d’après moi le fait d’enlever des services essentiel aux régions au détriment d’une autre est une grave erreur.

Maintenant regardons de plus près, les effets de la centralisation des services sur les communautés rurales du Canada.

Augmentation de la centralisation des services

Rural hospital closures and centralisation of many health services in larger cities mean that rural residents have more difficulties accessing services. The lack of community services in many smaller centres means that patients discharged early from hospitals often lack community-based care. Not to minimise urban difficulties, but residents in rural areas, small towns and remote locations face many more obstacles to care and those obstacles tend to be much more formidable. 3

Même si les hôpitaux des grands centres procurent les soins de santé à la fine pointe de la technologie, cela n’est pas toujours la meilleure solution pour les personnes qui vivent dans les régions rurales. Une personne de la région de Miscou qui doit se rendre à Moncton pour recevoir des traitements qui l’aiderait grandement, dans bien des cas, ne se déplace pas, car les problèmes qu’apporterait le voyage sont parfois plus grands que les résultats des traitements.

Voici un exemple apporter par M. Walter Rosser :

"The geographical context in which health care is delivered in a country such as Canada, with widely scattered small communities far from major medical centres, creates unique problems for the application of medical evidence. Although there may be good evidence that the quality of life of elderly people can be improved by palliative radiotherapy, the practicality of a frail 85-year-old travelling several hundred kilometres to the nearest radiotherapy centre must also be considered.... Thus, the geographical context of the situation affects decisions about treatment, even though good quality evidence may be available to support a specific course of action." 4

Mais le problème n’est pas seulement relié aux personnes agées. Il affecte tous les groupes d’âges. La centralisation des services affecte aussi la santé des femmes. Au cours des dernières années, il est de plus en plus difficile de remplir des positions de spécialistes dans les régions rurales. Donc si vous êtes une femme vivant dans une région rurales et que vous êtes enceinte et que vous n’avez pas de spécialiste dans votre région, vous devez parcourir de plus grandes distances pour avoir des consultations. Ce phénomène apporte de plus en plus de femme à ne pas voir de spécialistes ce qui peut avoir des résultats très néfastes sur le développement du bébé ainsi que sur la santé de la future mère. Comme les coupures se font par ordre de priorité dans bien des cas ce sont les soins de maternité qui se fait centraliser le premier. Dans le nord de l’Ontario on a remarqué qu’il y a 5 fois plus d’unités de soin de maternité de fermée quand 1981. (5) De ce fait, les femmes ont à parcourir de plus grandes distances pour recevoir des soins comparables à ce qu’elle recevait plus de 20 ans passé.

C’est vrai que les technologies ont bien changé depuis 1981 mais est-ce que nous pouvons vraiment compter sur cette technologie?

"Telehealth is the delivery of health services at a distance. It has considerable potential to have either positive or negative impacts on access to and delivery of rural health services." 6

Même si la technologie aide à la consultation des médecins en région, il n’en reste qu’elle ne peut pas faire le travail pour eux. Au début, la télé-santé était suposée régler tous les problème du manque de spécialiste en région. La personne n’aurait plus à voyager de très grandes distances pour consulter des médecins qualifiés. C’est vrai que les nouvelles techologies ont été d’une grande aide pour les médecins en région rurale, car ils avaient accès à une banque de données ainsi qu’à des conseils de confrères éloigner. Mais il ne reste que malgré sa grande utilité, il ne faut pas seulement se concentrer sur les technologies. Comment de projet pilotes sur les télé-soins ont été mis sur pied et maintenant tout cet équipement ramasse la poussière car personne ne l’utilise. Cet argent aurait pu embaucher un spécialiste qui aurait procuré des services en personnes. L’argent ce fait si rare dans les municipalités rurales que tout argent gaspillé