Ecole

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Le Syndrome de Renfield continue par la zoophagie, qui est le fait d’ingérer du sang animal. Après l’auto-vampirisme, les personnes sujettes vont chercher du sang animal dans les boucheries, les marchés, ou même chez leurs animaux de compagnie. Cette pratique peut elle aussi être accompagnée d’activités sexuelles.

Le véritable vampirisme, ou le vampirisme clinique, est l’étape ultime du Syndrome de Renfield. Cela consiste à boire du sang humain venant d’autres personnes. On le consomme en tuant, lors de la pratique sexuelle avec un partenaire consentant, ou même à partir de sang volé en hôpital ou en laboratoire.

Certains vampires se nourrissaient de sang animal au lieu de sang humain car il ne souhaitait pas tous tué de pauvres innocents.

Il existe pratiquement aucun moyen de tuer un vampire sauf en lui rentrant un pieu en bois droit dans le cœur car ils sont « immortels » tant que leur soif de sang est comblée. Par ailleurs il existe d’autres moyens de les affaiblir ou même de les repousser en utilisant des objets apotropaïque[1] comme par exemple l’ail, crucifix, miroir … L’ail car elle permet un bon écoulement de sang et donc si un vampire mord une personne qui vient de consommer de l’ail, celle ci perdrait beaucoup trop de sang pour pouvoir survivre et va donc mourir d’une hémorragie interne. Or, un vampire ne souhaite pas les tués directement après avoir bu leur sang mais bien de profiter de la victime et de se délecter de leur mort.

Des objets cultes comme un crucifix, des rosaires ou même de l’eau bénite est capable de les repousser mais de les blesser également celon les croyances chrétiennes. Tout objet, endroit appartenant au milieu religion (église, temple) sont repoussant pour les vampires. D’après le roman « Le conte de Dracula », les miroirs sont également un moyen de les repousser. Ils ne possèdent pas de reflet, mais cette méthode n’est pas toujours efficace.

Les vampires ne peuvent pas rentrer dans les maisons lorsqu’ils le souhaitent. En effet, il faut l’accord du propriétaire pour pouvoir rentrer dans une maison. Sans avoir été invité par le propriétaire, le vampire ne peut pas rentrer lorsqu’il le souhaite. Ce n’est qu’une fois déjà inviter dans une habitation qu’il peut entrer lorsqu’il le souhaite dans la maison.

Les vampires sont des créatures très actives la nuit. Ils se mettent à l’abri de la lumière du soleil. Les rayons ultra-violets les blesseraient gravement mais sont impuissant pour les exterminer. Dans chaque film de vampires, nous remarquons que les loups-garous sont les ennemis numéros un des vampires. La transformation d’un humain en loup-garou est quasiment la même que pour un vampire. Les loups-garous ne se transforment que les nuits de pleines lunes (13 nuits de pleine lune en 2012). Selon les légendes, les morsures de loups-garous peuvent être mortelles pour les vampires.

Les chauves-souris sont les animaux qui ressemblent le plus aux vampires car ils ne vivent que la nuit, se nourrisse de sang également mais eux d’animaux. Selon le roman de Bram Stoker[2], Dracula pouvait se déplacer en volant car il avait la particularité d’être « métamorphe ».

Il pouvait donc se transformer en ce qui lui convenait le mieux mais aussi de prendre l’apparence d’autres personnes si le besoin s’en faisait sentir pour appâter une victime. Dracula étant le premier des vampire, il est donc le vampire « parfait », il résiste au soleil, peut se métamorphoser, etc. La transformation de Dracula est mystérieuse mais la théorie la plus « plausible » reste la suivante : Sa mère, dans sa jeunesse, subit un viol, et suite à cela eu une dépression, malheureusement pour elle la psychologie n’était pas ce qu’elle est aujourd’hui, et ses parents la prenait pour folle, et même possédée, ils décidèrent donc de faire appel à un prêtre, notre petit Vlad (Dracula) se trouvait déjà dans le ventre de sa mère, et le prêtre, en faisant un exorcisme sur une personne n’étant pas possédée, n’a non pas fait un rite bénéfique, mais a bel et bien maudit l’enfant en pleine évolution, et a créé le premier vampire de l’histoire de l’humanité.

Le château du comte est toujours présent aujourd’hui en deux exemplaires : Le premier, le vrai, en ruines sur les flancs des collines de Transylvanie, le deuxième construit de toute pièce par les habitants sur base du roman de Stoker pour attirer les touristes et les deux sont tout à fait visitable de nos jours.

De nombreux films sur les vampires ont été réalisés. La majorité des films concernant les vampires intègre toujours leurs plus grands ennemis les loups-garous. Nous avons souvent droit à un énorme combat entre c’est deux espèce légendaire plus au moins semblable, car leur mutation, leur morsure, sont quasiment semblable, la seul différence entre ces deux monstres est juste que les loups-garous sont actifs seulement que les jours de pleine lune.

Suite la représentation théâtre du roman Dracula du célèbre auteur Irlandais Bram Stoker de nombreux films a été réalisée dont « Nosferatu le vampire » qui est le premier à intégrer des vampires dans un film (film datant de 1922). Les six films les mieux notés par les internautes sont Dracula de Tod Browning(1931), Dracula de Francis Ford Coppola (1992), le bal des vampires de Roman Polanski (1967), Entretien avec un vampire de Neil Jordan (1994), Morse de Thomas Alfredson (4 février 2009) et Vampire vous avez dit vampire ? De Tom Holland (1985).

A partir des années 2000, les films de vampires ont connus un énorme succès comme par exemple les films comme la saga Twilight (adaptation des romans de Stéphanie Meyer)[3], Underwold, Blade, 30 jours de nuits … Des séries avec des vampires ont également été réalisés comme Vampire Diaries, True Blood, Buffy contre les vampires, Angel …

Passage biblique : [4]

En Occident, c’est dans l’Ancien Testament que l’on évoque le vampire pour la première fois. Lilith, sanguinaire, jalouse, luxurieuse et impudique est la première femme d’Adam avant la création d’Eve. Répudiée ou enfuie pour épouser Samaël, l’Ange de la Mort, elle devient, dans la tradition rabbinique, la Reine des démons, des succubes et des mauvais esprits. Elle suce le sang des nourrissons et dépouille les jeunes hommes de leur vitalité et de leur puissance virile pendant leur sommeil. Cent quatre-vingt mille servantes sont à ses ordres, toujours prêtes à envahir notre univers, vivant dans les maisons en ruine et les latrines, sortant la nuit et se nourrissant de pus et de vermine. Incarnation du mal, Lilith est la terreur des femmes en couche car on la soupçonne de voler les nouveau-nés pour les dévorer à l’instar d’une goule. Aussi place-t-on cette inscription sur le mur de la chambre des parturientes : « Adam et Eve, ici ; Lilith dehors ! ». Aux yeux des Hébreux, elle est avant tout coupable de transgresser le tabou absolu de la Loi Mosaïque qui interdit de consommer le sang des êtres vivants. Les Hébreux ont toujours entretenu une relation complexe avec le sang, considéré comme symbole de vie et d’impureté. Le sang a un caractère sacré puisqu’il est l’âme du corps et que Dieu seul est maître de la vie et de la mort. Le sang est même temps lié à la malédiction qui a frappé l’humanité lorsque la compagne d’Adam, en cédant à la tentation du démon, a provoqué la chute de l’Homme. La perte du sang menstruel est perçue comme une blessure immonde, punition infligée par Dieu à toutes les descendantes d’Eve. Dans la tradition hébraïque, le sang menstruel est à l’origine de plusieurs malédictions. Pendant ses règles, une femme doit s’abstenir de paraître en public car sa présence peut déclencher des catastrophes et elle ne doit en aucun cas avoir des rapports sexuels car elle est impure. Le sang a donc pour les Hébreux une connotation funeste et la notion du péché y est répandue. Par ailleurs, Moïse défendait d’invoquer les esprits par crainte de voir les morts revenir à la vie et le Roi David « reprenait des forces » en absorbant la chaleur de ses jeunes esclaves pendant leur sommeil.

Le Nouveau Testament enseigne que le Christ a sauvé l’Homme en versant son sang. Avant de subir le martyr de la croix, Jésus de Nazareth a tacitement exprimé la valeur rédemptrice de son sang précieux sous la symbolique du vin partagé avec ses disciples. L’évangile de Saint-Jean insiste sur les vertus génératrices du sang. Les premiers Pères de l’Eglise doivent lutter contre une interprétation trop littérale de ce repas car elle risque d’encourager le retour à des pratiques païennes comme le sacrifice humain ou le cannibalisme rituel. Dans les sociétés archaïques, la crainte révérencielle des morts fonde la croyance aux vampires. Dans la mentalité traditionnelle, les morts ne le sont pas : ils vivent parmi nous. Ils nous entourent et ils rôdent. Les ancêtres défunts se transforment en génies domestiques, en « mânes » attachés au foyer des vivants, esprits tantôt tutélaires, tantôt malveillants dès qu’ils se croient négligés. Ils cherchent qui a provoqué la mort car cette dernière n’est jamais naturelle. Aussi, pour