Essai Savoir Vivre

uelles formes se régie t-il.

Ce nouveau savoir-vivre à la qualité de rassembler et unifier les gens. En effet dès le XIXème siècle, les aristocrates devenus vertueux côtoient des bourgeois, devenus gentilshommes. Même si ce n’est qu’un début, ces rapprochements sont tout nouveau par rapport au XVIIIème siècle. Puis jusqu’à la fin du XXème, le respect s’est greffé petit à petit entre les gens de différents milieux sociaux.

La simplicité est également mis en avant, avec un côté plus chaleureux. La communication est purifiée par plus de sincérité. Il ne s’adresse plus qu’a une seule classe sociale, il est unificateur et est fait pour apporter quelque chose d’agréable.

La Bruyère disait « les hommes ayant renoncé à bien s’entendre, ils ont créé l’apparence », même si il exagère, une vérité est dénoncé. Le nouveau savoir-vivre vise à respecter les différences. Celles-ci sont nombreuses, il ya les différences religieuses, économiques, politiques, ethnique, physiques et bien d’autres.

En ayant vue les caractères de ce nouveau savoir-vivre, nous allons nous demander comment le faire entrer dans les mœurs.

Le savoir-vivre est nécessaire pour unifier, pour sortir d’une ghettoïsation, d’un repli communautaire, car celui-ci à des règles naturels universelle, dont tout le monde peut avoir ces règles en lui.

Les rapports humains ne peut s’en tenir aux lois car celles-ci sont impersonnel, trop dur, les rapports humains doivent rester humain. Le brassage de la population nécessite un effort pour comprendre certains rites ou coutumes où à première vue on refuse de comprendre mais on voit ensuite un intérêt.

Notre pays est formé de nombreux sous-ensembles, de sous- groupes, âge, ethnie, culture, origine, niveau de vie différente, il faut pour éviter le morcellement, le repli sur son clan, un code de politesse commun qui cimente, qui assure l'unité de l'ensemble. Cela suppose qu'on fasse un effort pour accepter ses différences et pour se comprendre.

Finalement, nous avons pu voir que le savoir-vivre n’est pas un problème secondaire car si notre vie sociale éclate, on éclate avec. Ce n’est pas un luxe, c’est un challenge.