Examen : Thèmes psychosociaux

Examen : Thèmes psychosociaux

1. Qu’est-ce que la médecine préventive ?

La médecine préventive est une façon de prévenir la maladie avant qu’elle ne s’installe. Les vaccins sont un moyen de faire de la prévention pour éviter de contracter certaines maladies. C’est mettre en action pour réduire l’apparition de cas. La médecine préventive permet per des choses du quotidien comme l’alimentation, l’activité physique et l’hygiène de vie en générale, de réduire des comportements à risque qui peuvent causer certaines maladies. Nous pouvons aussi faire du dépistage afin de surveiller une maladie sans symptôme. La médecine préventive se place avant que la maladie soit installée et elle veille à éduquer pour avoir de bons comportements avec nous-même et notre santé. Il existe plusieurs centres de prévention et d’établissement qui proposent des accompagnements pour anticiper les facteurs de risque.

1. Citez quelques mesures qui vont dans le sens de « l’humanisation de l’hôpital ».

Nous remarquons qu’il y a une humanisation de l’hospitalisation quand les lieux communs sont plus accueillants, et que les heures de visite sont plus longues pour les familles et les malades. Dans certains hôpitaux, on laisse plus de temps aux médecins de parler avec la famille et le malade afin d’établir des liens de confiance et de ne pas les laisser sans nouvelle. Il y a également une amélioration des services d’accueil et une embauche du personnel dans de meilleures conditions. On trouve aussi plus de TV dans les chambres pour améliorer le confort, et une augmentation des petites chambres pour éviter que les patients soient entassés dans un grand dortoir sans intimité.

1. Quelles sont les conditions pour que l’hospitalisation à domicile soit acceptée ?

Pour qu’une hospitalisation à domicile soit acceptée il faut que son logement le permette et que le médecin hospitalier donne son accord ainsi que le malade et sa famille. L’HAD se fait aussi pour les personnes en fin de vie qui souhaite mourir auprès de leur proche dans une cadre rassurant. L’HAD est une solution quand les soins à donner sont trop compliquer à réaliser en ville et pour des personnes qui ont besoin de soin en continue.

1. Qu’appelle-t-on l’hôpital de jour ? Pour quelles personnes est-il particulièrement recommandé ?

L’hôpital de jour est un service qui permet au malade de venir de faire soigner du matin jusqu’à l’après midi et de circuler librement. Il s’agit généralement de lieux qui accueille les patients atteints de maladies psychiatriques ou chroniques. Il permet d’y passer la journée dans y rester la nuit. On y trouve principalement des jeunes de moins de 18 ans et des personnes âgées. Il y a des jeunes ayant des troubles neuropsychologiques et des personnes âgées qui ont une hospitalisation permanente non obligatoire. Elle est également possible pour les personnes ayant besoin de soins très spécifiques et de rééducation.

1. A quelle condition peut-on proposer des soins à domicile ?

Les soins à domicile s'adressent aux personnes âgées de plus de 60 ans malades, en perte d'autonomie, handicapées, ou atteintes d'une maladie chronique et de cancer. Ce sont généralement des infirmiers qui effectuent ces soins à domiciles sous l’avis du médecin.

1. Pourquoi les jeunes enfants élevés en pouponnières, loin de leurs parents, présentent parfois des faiblesses dans leur développement ?

Les jeunes enfants élevés en pouponnière peuvent parfois présenter des faiblesses dans leur développement car nous savons que pour se construire psychiquement l’enfant à besoin de l’autre. Ils manquent donc d’affection et de stimulation, ce qui peut entrainer un manque d’affection et du retard au niveau du développement cognitif. L’absence de la mère peut être une épreuve très traumatisante pour l’enfant.

1. Qu’appelle-t-on l’infirmière « inaffective par défense ? »

C’est un soignant qui ne montre pas de signe d’affection par peur de trop s’attacher au malade ou a l’enfant. Il ne montre donc aucun signe de tendresse et se créer un espace de sécurité affective entre lui et le patient. C’est une façon de se protéger d’une possible tristesse si l’enfant à un risque de décéder suite à sa maladie.

1. Comment l’enfant de 3 à 6 ans réagit-il face à sa maladie et à son éventuelle hospitalisation ?

Tout dépend des circonstances mais généralement l’enfant va réagir de façon agressive et se mettre en colère tout en voulant de l’attention. Il va aussi être violent envers lui-même et se punir en se mordant ou se ronger les ongles. La maladie va créer un climat anxiogène et l’enfant ne sera jamais tranquille, il sait que quelque chose ne va pas et le stress est toujours présent. Il peut aussi refuser de manger et de parler, et rentrer dans une bulle pour éviter le contact avec les autres et de se confronter à sa maladie. C’est un moment où l’enfant est sensé se construire et son développement est très important pour l’adulte qu’il sera plus tard. Mais à cause de la maladie l’enfant a du mal a se construit une image de lui-même et va avoir une vision de sa vie différente. Il y a aussi le fait que l’enfant n’est pas indépendant et qu’il a besoin de soin régulièrement. Toutes ces raisons mettent en difficulté l’enfant qui est en plein apprentissage de la vie.