Farce Normande
Note de Recherches : Farce Normande. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoiresur par contre dans ce texte, n’est pas représenté comme l’amour que tout le monde attend car la femme souhaite passer une nuit de noces parfaite mais son mari trouve toujours un prétexte pour détourner l’acte entre les deux amoureux.
Dans chaque texte, l’évocation de la sexualité varie en fonction du genre, le théâtre, les lettres et la nouvelle mais aussi en fonction des milieux sociaux comme la bourgeoisie, l’aristocratie ou le peuple riche.
Question 2 :
On peut dire que dans la représentation des mœurs conjugales d’Honoré Daumier est une vision satirique car il fait une caricature de l’homme dans son lit en lisant un livre et de la femme qui attend que son mari s’occupe d’elle un peu. L’homme est presque ignorant face à sa femme.
Dans le texte 1 les deux femmes décrivent les relations entre deux mariés, enfin ce qu’elles pensent que doit être la vis de couple. Le texte 2 dévoile les sentiments de la marquise auprès de son amant, mais bien sûr c’est la femme qui se dévoile tandis que l’homme attend de savoir ce que l’aristocrate ressent. Le texte 3 est celui qui illustre le mieux la vision satirique de Daumier puisque, dans ce texte, l’homme préfère s’intéresser à bruit de l’extérieur qu’il ne reconnaît pas au lieu de profiter de sa nuit de noces avec sa femme. On a l’impression que la femme est soumise à l’homme puisqu’elle attend qu’il arrive.
La caricature de Daumier est très représentative de ce que pense les hommes au XIXème siècle, comme quoi la femme doit rester à la maison pour s’occuper des enfants et ne rien faire d’autres. Elles doivent aussi être là seulement quand leur mari souhaite passer du temps avec elles. Elles ne peuvent pas faire ce qu’elles ont envi de faire sans l’avis de leur mari ou sans le consentement de leur époux.
Daumier dans sa gravure a donc voulu montrer l’égoïsme des hommes face à leur femme.
Commentaire de texte sur la nouvelle de Maupassant, Farce normande.
Farce Normande est une nouvelle parmi le recueil de Guy de Maupassant, Les contes de la bécasse, qui appartenait au mouvement littéraire du naturalisme. Maupassant est un des premiers auteurs à parler dans ces nouvelles de la sexualité et du sordide, ce qui auparavant était défendu. Ce texte parle d’un couple qui passe leur nuit de noces. Mais au fur à mesure, l’homme est de plus en plus distrait par un bruit qui à la fin fait finir brutalement leur première nuit en tant que mari et femme. Le registre de ce texte est satirique car l’auteur se moque de la mentalité des hommes du XIXe siècle.
Dans mon analyse, je vais traiter l’agressivité d’un homme sur sa femme et une femme au désir de son mari.
En étudiant la nouvelle de Maupassant, on voit qu’il veut dénoncer l’agressivité autant morale que physique des hommes sur leur femme. Les adverbes de temps comme « aussitôt » (l.11) ou « au moment où » (l.22), décrivent une situation soudaine dans la scène qui est accentuée par les passés simples « arriva » (l.11), « plia » (l.22) et « se chaussa » (l.26). L’accumulation et aussi le rythme ternaire « se retourna, la saisit, l’étreignit » (l.20) rend l’action beaucoup plus rapide et la violence de l’homme se fait ressentir dans les actions du mari. On ressent qu’au fil du texte, l’homme change de caractère. Au début on sent qu’il est très amoureux de sa femme et attend avec impatience de passer à l’acte pour leur nuit de noces « ils jouaient d’une façon amoureuse et gaie, sans pudeur apprise et sans gêne » (l.5/6). Mais dès que le bruit de coup de feu a retentit, il était plus préoccupé par ce bruit que par sa femme qui l’attendait « il se redressa, inquiet, le cœur crispé, et, courant à la fenêtre, il décrocha l’auvent » (l.14). Lorsque sa femme lui dit de revenir, il revient certes, mais il est plus violent et agressif auprès de sa femme « la saisit » (l.20), « l’enlevant dans ses bras robustes » (l.20/21) et « l’emporta vers leur couche » (l.21). Enfin au moment du dernier coup de feu, l’homme n’était intéressé que par ce qui se passait à l’extérieur, « il se chaussa, décrocha son fusil » (l.26) et écarta sa femme brusquement « se dégagea vivement » (l.27). Il n’a aussi aucunement l’intention de faire d’efforts pour rester avec elle « à cause de toi ? » (l.25). L’homme au fil du texte change de réactions pour un rien et ne respect point sa femme même pendant leur nuit de noces tandis que pendant ce temps-là, sa femme se prête entièrement à lui.
La femme de l’homme est totalement dévouée à son mari pendant que lui-ci ne lui prête presque aucune attention. Elle se déshabille en première « Elle avait défait ses bottines, et maintenant elle retirait ses bas » (l.1) comme si elle attendait ce moment depuis longtemps, mais en même temps on sent qu’elle est comme
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