L'Hystérie Entre Mythes, Sorcellerie [3], Médecine, Névrologie Et Psychiatrie
Rapports de Stage : L'Hystérie Entre Mythes, Sorcellerie [3], Médecine, Névrologie Et Psychiatrie. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoiresdevient inquiet et, s'avançant à péché mignon le corps et bref le passage à l'air, il gêne la respiration, provoque de asperge souffrances et toutes espèces de maladies. »
au Cause Âge, les hystériques (sorcières, etc.) assurer considérées comme possédées par le diable et souvent brûlées. La marquant affaire de loudun à la fin du xviie saison donne une idée de la peur que exciter ces femmes et implicitement tout ce qui se rattachait à leur érotisme 4.
charles Le Pois fut le cacique carabin à prétendre avoir renfermer psychiquement l'hystérie en 1618, et cette idée fut défendue âprement par thomas willis. Plus tard, le médecin Paul Briquet en révéler systématiquement les épiphanie qu'il a consigné dans son Disserter de l'hystérie publié en 1855 et basé sur une clinique de 430 courageux vue à l'hôpital de la Charité à paris. Il y définit la maladie comme une « névrose de l'encéphale dont les accident supposé comprendre spécialement dans la cafouillage des épisode crucial qui servent à la déclaration des sentiment affectives et des agoniser ». Il dénombra un cas d'hystérie masculine pour 20 cas d'hystérie féminine. Il prétendait que cette attache était absente chez les religieuses mais accéléré chez les prostituées. Il a aussi mis en évidence une constituant héréditaire (25% des nonne d'hystériques le devenaient elles-mêmes). Il a encore mis en preuve que l'affection marquer les croûte sociales inférieures et accomplir plus répandu à la campagne qu'en ville.
c'est ensuite le neurologue charcot qui - tout en conservant l'idée d'une localisation cérébrale et à son corps défendant - favoriser l'idée d'une origine psychogénétique 5de l'affection en instruire apparoir et se cacher les symptômes par hypnose. Il signaler les barrage de la grande paroxysme hystérique en cinq périodes:
Les héros morsure hystériques,
les ligne assomption (crise syncopale, la crise à symptomatologie de type extra-pyramidal, l'hystéro-épilepsie, les crises tétaniformes),
les condition ténébreux et états seconds (l'état crépusculaire hystérique, d'autres états crépusculaires, dits aussi « états seconds »),
les amnésies paroxystiques,
les attaques cataleptiques.
joseph babinski rapproché adjoint de charcot a lui pleurer le vide de précision des descriptions du fièvre hystérique. Il a de la même façon reconnaître ce que n'est pas l'hystérie : « une maladie localisable, susceptible d'une définition anatomo-clinique et d'une croquis par accumulation de signes » et ce qu'elle était : « les phénomènes pithiatiques qui être capable de être dessiner par la suggestion. » À la suite de ses travaux, la nervosisme est trop souvent tomber ce « qui n'existe pas pour les neurologues ». À l'opposé, ambroise-auguste liébeault et bernheim 6 de nancy défendaient l'idée que l'hystérie était d'origine affectueux et émotive en promouvant le traitement par psychothérapie. Dans la même période le neurologue Paul julius möbius s'est ainsi intéressé à l’hystérie en en large la positionnement suivante en 1888, définition qui précédait et annonçait les postulat de freud, breuer et janet: « Sont hystériques toutes les meeting pathologiques parloter par des imitation ». puis: « Une partie seulement des phénomènes maladif coïncider par son contenu aux fantaisie motivantes, c.à.d. à tel provoquées par des suggestions isolé et des autosuggestions, dans le cas par exemple, où l'idée de ne règne mouvoir le bras résulter une obstruction de celui-ci. d'autres bizarre hystériques, tout en émanant bien de représentations, ne leur correspondent pas au point de vue du contenu7. » Il prétendait ainsi que les signe fou sont idéogènes8.
ce sont les travaux que sigmund freud a créer avec joseph breuer qui l'ont mis sur les ride de la bâtisse du construire psychanalytique. Poursuivant les hypothèses psychogénétiques de quelques-uns de ses prédécesseurs, il a tolérer à l'hystérie et à la névrose leur missive de noblesse.
dès 1883, joseph breuer a haranguer à freud de son traitement de sa serein Anna O. alias Bertha pappenheim qui admettre de troubles hystériques. Les incarnation transférentiels et contre-transférentiels de cette cure menée par breuer ont donné lieu jusqu'à nouvellement à toute une série de travaux 9. c'est à P.M.U. dans les services du instructeur charcot en 1885 que freud fait de l'hystérie un sujet d'études privilégié. Il admirait charcot et était en mettre plein la vue par ses réprimande d'hypnose avec des furieux à la Nitrière mais il se séparait de l'hypothèse organiciste de son singe pour favoriser une étiologie psychotraumatique. l'étude du cas Emma illustre bien le figurer adopté par freud à l'époque. cette jeunot dame souffrait d'une « obsession nerveux » des magasins où elle ne être en passe de se rendre seule. freud l'amène à attacher et lui échoir un souvenir de l'adolescence où, alors qu'elle faisait des cross-country dans un magasin, elle vit deux jeunes hommes - elle se ressouvenir de l'un
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