La Croissance De La Chine
Note de Recherches : La Croissance De La Chine. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoiresa production pour laquelle il dispose de la productivité la plus forte ou la moins faible, comparativement à ses partenaires, accroîtra sa richesse nationale. L’objectif en matière de commerce extérieur était l’obtention de la technologie et de l’équipement nécessaire au développement et à la modernisation du pays. La politique industrielle visait le développement d’industries légères, à forte intensité en main-d’œuvre et créatrice d’emplois. La période de l’essor de l’industrie du textile et de la chaussure en Chine née. Les secteurs de l’industrie et de l’agriculture s’ouvrent alors à l’économie de marché notamment par la privatisation du secteur primaire, l’agriculture notamment, qui se privatise et s’exile même en zone urbaine qui est en pleine industrialisation. L'économie de marché désigne un système économique où les décisions de produire, d'échanger et d'allouer des biens et services rares sont déterminées majoritairement à l'aide d'informations résultant de la libre confrontation de l'offre et de la demande établie par le jeu du marché. La Chine explique alors ce rapide décollage de par sa croissance extensive. Cette notion se traduit par la part de la croissance économique qui découle d’une augmentation des facteurs de production au sein de l’économie : travail, capital et terre. Ce type de croissance extensive a eu pour effet d'accroître la productivité chinoise en apportant au pays le savoir-faire occidental. Cependant, les autorités chinoises devront répondre à des défis pour poursuivre le développement économique du pays.
Le gaspillage écologique et le nombre d’habitants ne cessant de croître pose problème. La Chine en dégage une externalité négative. Les ressources naturelles sont utilisées de manière abusive. La Chine doit alors penser au développement durable c’est-à-dire « répondre aux besoins présents sans compromettre la capacité des générations futures à satisfaire les leurs » (rapport de l’ONU en 1984). Elle utilise encore des méthodes dites archaïques, des conditions de travail médiocres, qui puisent directement et abondamment dans les ressources naturelles. La Chine possède la médaille d’or pour le désastre qu’elle crée sur l’environnement devant les Etats-Unis et le Canada. Il faut par ailleurs savoir que le nombre d’habitants en Chine augmente constamment et que le nombre de personne entrant dans la vie active se compte en millions. Seulement, la Chine est aussi touchée par la crise financière mondiale. Par conséquent, son premier impact a été le ralentissement des exportations chinoises et des investissements plus faibles dans le secteur immobilier. Le ralentissement se traduit aussi par la baisse de la production industrielle. C’est pourquoi les prix de l’immobilier et les ventes de voitures baissent. Le chômage se fait de plus en plus ressortir. Depuis 1997, trente millions de personnes ont été licenciées des grandes entreprises d’Etat. La création d’emploi précaire est de plus en plus existante. Malgré, l’effort du gouvernement qui a permis une baisse du chômage, un clivage salarial se creuse de plus en plus. Le coefficient de Gini est la mesure des inégalités de revenus la plus utilisée. Elle nous permet donc de distinguer la disparité riche-pauvre créant alors des sources de conflit. Par exemple, la Malaise et la Chine ont un ratio de plus de 20%, ce qui est un taux très élevé, contre l’Inde 8%, la Corée 7% et le Vietnam 6%. Il en résulte alors une mauvaise répartition des richesses en favorisant le portefeuille des plus fortunés. Il semble bien qu’il y ait un arbitrage des autorités chinoises entre la croissance et le développement, et que celui‐ci se fasse en faveur de la croissance. La Chine doit alors mettre en place une nomenclature de répartition des richesses.
Ainsi la Chine a vu sa croissance
...