La Grèce, Élèment Pertubateur De L'Europe

e des mesures ‘courageuses‘ , pour réduire son déficit budgétaire et sa dette. Le gouvernement, mets immédiatement en place un plan de rigueur et de réduction des dépenses publiques, pour cela il diminue de 10% les dépenses de l’Etat ainsi que des primes du secteur public. Il recule également l’âge de la retraite. Il supprime notamment des bonus dans le secteur bancaire public. Le gouvernement mais aussi fin aux embauches dans le secteur public, mais aussi d’autre mesures draconiens. Malgré ces mesures, la Grèce se dirige vers la chute. Au début de la crise, l’Union Européenne ne pouvait venir en aide à la Grèce car en théorie il n’en a pas le pouvoir. En effet, les traités européens interdisent le sauvetage d’un pays membre de la zone euro par ses pairs. De plus la BCE (Banque Centrale Européenne) ne peut accorder de prêts aux Etats. Or selon l’Union Européenne, la Grèce ne doit en aucun cas faire faillite car dans ce cas elle entrainerait l’ensemble de l’union monétaire dans sa chute. La question qui s’est posé, est ; le FMI peut-il intervenir? Dans la norme, oui, le FMI pourrait apporter un soutien financier à la Grèce, mais dans la pratique non. Car si le Fond Monétaire internationale apportait une aide directe à la Grèce, il s’agirait d’un signal alarmant pour les marchés. Car le FMI a en général pour habitude de secourir les pays du « tiers monde ». Mais la situation de la Grèce devient de plus en plus critique. C’est pourquoi au printemps 2010 un premier plan de sauvetage est mis en place. Le FMI est dans l’obligation d’intervenir accompagné de l’UEM (Union Economique Monétaire) soit la Zone Euro. Le 2 Avril 2010, ces deux organisations, accordent à Athènes un crédit de 110 milliard d’euros sur trois ans. (80 milliard d’euro prêté par les pays de la zone euro et 30 milliard d’euro accordé par le FMI ). En échange de cette aide, la Grèce doit prendre de plus ample mesure dont la mise en pratique sera rigoureusement surveillé par le FMI et les pays de la Zone Euro. L’une de ces mesures est l’augmentation de la TVA qui doit être portée à 23%.

Après ce premier plan de sauvetage, la Grèce ne réussit toujours pas à se relever et ne pourra donc pas revenir sur le marché en 2012. Les payes Européens et le FMI, par crainte que la situation ne se propage d’avantage en Europe, sont prêt à venir en aide, de nouveau, à la Grèce. Pour cela plusieurs solutions sont possible, soit un rééchelonnement de la dette (solution préférable par les pays du Nord) soit un nouveau prêt européen (solution préféré de la France, de la BCE et des banques). Après négociation, les européens et le Fond Monétaire Internationale, mets en pratique un second plan de sauvetage en Juillet 2011.

De plus le pays impose de plus en plus des plan d’austérité. Elle privatise depuis mai 2011 certaines entreprises ce qui va à l’encontre de la population. Elle en vient également à vendre ses iles.

A présent, on ne sait si la Grèce doit rester dans la zone Euro ou non ? Si elle venait en s’en retirer elle devra avoir recours à une forte dévaluation de sa monnaie pour équilibrer ses comptes. Une dépréciation de 55% selon la banque Natixis.

Enfin nous devons savoir, que cette crise dont la Grèce est touché, fait chuter l’Euro, plus particulièrement la parité Euro-Dollar. Cela est du à la propagation de la situation dans la Zone. D’autre pays membres se débattent avec des déficits budgétaires énormes, et les investisseurs estiment que la Zone Euro s’affaiblit dans son ensemble. Personne ne veut donc acheter l’Euro