Les Mosos Dans Le But D'Une Prise En Charge Infirmière

tte génération réunis les jeunes filles qui ont entre treize et quarante an.

A l’Age de treize ans les jeunes filles participerons à la cérémonie d’initation,e lles sont alors considérées comme membres apparts entière du clan et obtienne la clef de leur chambre.

Les femmes faisant partie de cette génération effectue le travail de champs et jardin, un travail de du haleine qu’elles assument et effectuent avec persévérance, elles sont également assignée au rôle de mère en connaissant les différentes étapes tel que l’amour , la grossesse, la maternité. Chaque femmes choisis comme elles le souhaitent ses amants, leurs relations amoureuses sont aisément entamée et sont sans problème pour la jeune femme et ses enfants interrompue, car elles sont toutes hébergée dans la maison de la grand-mère.

Une cérémonie pour célébrer la déesse de l’amour « Gan Mu » est également organisée.

Lors de celle-ci toutes les jeunes femmes et jeunes hommes se réunissent en tenue traditionnelles et se choisissent un nouvel amoureux parmi les jeunes hommes.

Précisons que les femmes font leur choix eux-mêmes et non les hommes.

Les femmes de 2em génération :

Ces femmes ont entre quarante et soixante ans, Une femme par clan est désignée par les autres membres pour être la matriarche. Elle s’occupera des affaire économiques et sociales ainsi que toutes les possession du clan : la maison, les terres, les cheveaux,les champs, la nourriture.

Toute marchandises récoltées ou achetée passe par ses mains (récoltes,ceuilette,peche,chasse) il en est de même pour l’argent récolté lors du commerce.

La matriarche s’inquiète du bien etre de chaque membre et distribue ces vivres a chaqu’un d’entres eux. Elle est également responsable de l’organisation des récoltes , agit en tant qu’hôte pour les invités et est la prêtresse du clan lors de cérémonies comme la fête d’initiation, les cérémonies funèbres, etc//

Le frère de la matriarche est généralement choisis pour l’organisation des affaires qui impliques la communication avec les voisins.

Les femmes de 1ere génération :

Ce sont les femmes les plus âgées elle sont vêtues sobrement pour incarner ainsi la dignité et la puissance communautaire. Agées de soixante a quatre-vingt ans elle incarnent les plus puissante femme delà communauté. Elles sont plus retirée mais reste dans la maison familiale, elle communique avec les ancêtres leur sert de la nourriture pour ainsi bénéficié d’une bénédiction sur le clan. La vieillesse est donc signe de puissance et de savoir dans la communauté Mosos.

Médecine traditionnelle

Les mosos ont été jadis conquis par les Tibétains, ils ont donc été forcer d’adopter le Lamaïsme qui est la variation tibétaine du Bouddhisme bouddhisme Tibétain.

Ceci a aussi eu une répercussion certaine sur la médecine ce qui met en avant un lien étroit entre médecine et croyance. médecine Tibétaine.

Cette influence tibétaine adoptée dés le 15em siècle na jamais été une menace pour les moso, ni pour leurs manière de vivre, ni sur la façon de concevoir la famille.

La médecine Tibétaine ne se fonde pas sur une analyse des symptomes mais sur une compréhension de la nature et des déséquilibres énergétiques qui compose l’être vivant et complexe.

Cette médecine ne se contente pas de soulager les souffrances physiques causées par les déséquilibres pouvant se manifesté dans les constituants du corps « physique »

(système digestif,muscles,graisses,sang,os,moelle,liquide reproductifs,..).

Contrairement donc à la médecine occidentale qui s’intéresse exclusivement aux symptômes physiques. Bien qu’une évolution à été clairement marquée depuis la théorie de Freud sur l’existence de la force de l’inconscient. (fin 19èm siècle )

Je vais constituer les principales notions de cette médecine Tibétaine tout en décrivant la croyance des Mosos.

* Le karma la maladie

Le karma ou « loi des actes et conséquences » est basé sur la réincarnation et l’évolution de sont etre par rapport a des actes bénéfique ou non. Tout en acceptant les conséquences de ses actes proscrits ou actuels.se répercutant sur les vies à venir.

Dans la médecine tibétaine le Karma à une place importante en tant que « reducteur de stress » car les personnes en mauvaise santé acceptent et combattent par des actes bénéfiques , même celle de la communauté. Ainsi le fardeau repose sur des liens plus mystiques et plus « gérable » aux yeux des patients.

La maladie ne serait alors selon des croyance lamaistes des dettes karmique, c’est-à-dire des lecons permettant de comprendre les fautes comises tout au cours d’une vie antérieure ou, ce qui contribuerait également a une diminution de langoisse physique.

La Méditation semblerait permettre d’observer sa propre souffrance au lieu de se battre contre elle, pour peut etre arriver à la depasser.

* Autre que le Karma ?

La médecine Tibétaine à intègré certaines croyances selon lesquelles les démons peuvent causé des maladies. Dance ce cas ci, le remède est d’ordre magico-religieux : Prières, sacrifices et exorcismes.

* Pharmacopée

La pharmacopée tibétaine est fondée sur les cinq éléments, le mélange des éléments produisent six combinaisons paires qui sont perçues en tant que saveur (acide,sucre,salé,amer,piquant,astringuent)

Le remède ne vise pas à effacer un symptôme spécifique mais a corrigé un état général avec des substances :

- D’origine minérale qui comprennent des métaux, des gemmes et pierres précieuses.

-D’origine Végétale : Les plantes médicinales constituent l’essentiel de la matière médicale Tibétaine, ces plantes robustes poussent à des altitudes très élevée et dans des conditions climatiques peu confortable. Ces plantes sont recherchées pour leurs propriétés en comparaisons avec les plantes montagnardes suisses utilisée par les occidentaux.

- Les matières d’origine animale (cornes de cervidés, etc..) sont abolis par le Bouddhisme qui interdits de les tuer.

Le Bouddhisme Tibétain

A son origine le bouddhisme est athée et s’appuie sur l’expérience plutôt que sur une théorie.

Historiquement le Bouddha a rejeté la doctrine védique et Hindouiste selon lesquelles l’amé humaine serait une partie d’un être tout puissant.

Bouddha affirme que chacun peut découvrir par une expérience et une réflexion personnelles, le caractère tragique de la vie humaine soumis aux quatre grandes causes de souffrance :

La naissance - La maladie - La vieillesse – La mort.

Le bouddhisme propose d’abréger la voie conduisant au nirvana et de s’échapper ainsi du cycle infini de naissances et renaissances des êtres vivants qui sont conditionné par leur karma.

Pour se faire il est attendu d’effectuer un travail sur soi-même et de se libérer des passions, causes du désir dont les effets sont sources de souffrance.

L’évolution du bouddhisme a abouti à un type « grand véhicule » qui apparut a la fin du 1er siècle après Jesus Christ. Contrairement a l’ancien modèle (petit véhicule) celui offre une interprétation plus large et généreuse et non une préoccupation égoïste de son propre nirvana et futur pour devenir un arhat (saint)

L’idéal de ce modèle consiste à être capable de renoncer par pure compassion à atteindre son propre nirvana pour se consacrer entièrement à aider ceux qui se débattent encore dans le monde des illusions .

Cérémonie funèbre

Dans la culture mosos les funérailles d’une matriarche représente un évènement considérable, de nombreuses personnes viennent de loin pour assisté à la cérémonie.

Lors de la cérémonie les convives laisse transparaitre leur souffrance allant parfois a l’exagération, ils effectuent des rites corporel (a genou les uns derrières les autres) sous les sons produit par les instruments et prières des moines présents à cette occasion.

Cette cérémonie prépare le départ du cortège qui démarre avant le lever du soleil, ce cortège consiste a transporter le cercueil (de forme étonnamment petite et cubique décoré de peinture et signe sacré ) jusqu’au lieu de crémation.

Le voyage démarre du village ou le cercueil est transporté et passe par-dessus l’habitant s présent recroquevillé sur eux même. Le guide portant le flambeau ouvre la marche et est suivis par le cercueil porté par 6 hommes, les moines continue la marche en continuant à effectué les sons la famille et les invités ferme la marche en extériorisant leur douleur et en récitant avec les lamas plusieurs fois et à voix haute une incantation destinée à aider la défunte à accomplir son voyage