Psychologie Général : définition introspection & conjecture + souvenirs
Dissertation : Psychologie Général : définition introspection & conjecture + souvenirs. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar Aurore Leclerc • 4 Avril 2022 • Dissertation • 752 Mots (4 Pages) • 1 591 Vues
1- Après avoir défini l'introspection, vous exposerez son principal
inconvénient.
L'introspection signifie « se regarder soi-même »
C'est reconnaître nos propres émotions, nos souvenirs, nos perceptions, notre
soi intérieur.
Son principal inconvénient comme le cite Bergson est qu'on ne peut pas se
regarder vivre. Il est difficile de s'observer et de s'analyser en même temps.
2- Définissez la conjecture
La conjecture est une supposition fondée sur une hypothèse dont on ne connaît
pas encore de démonstrations.
3- Pourquoi dit-on que le souvenir est à la fois plus pauvre et plus
riche que ce qui a été vécu?
Le souvenir, suivant comment nous le nourrissons ou l'oublions peux
effectivement devenir plus riche ou plus pauvre dans nos pensées une fois vécu
selon nos expériences. Par exemple une personne qui tiens un journal intime va
donner beaucoup plus d'importance à ses souvenirs et de faite va continuer à
nourrir, à ressentir.
Une personne qui au contraire oublie ses souvenirs, aura une perception de plus
en plus flou dans son esprit et dans son ressenti. L'exemple du journal est
donné dans le cours pour l'introspection mais je pense qu'il peux être aussi
juste pour les souvenirs.
4- Après avoir défini l'analogie, expliquez, en donnant des exemples
concrets, la méthode analogique de la psychologie en deuxième personne.
L'analogie est la psychologie en deuxième personne. C'est la ressemblance
d'une chose à une autre. Nous pouvons analyser les autres grâce à notre propre
expérience.
Exemples:
Si je vois une personne sourire, mon esprit comprend qu'elle est heureuse car
quand moi je souris je suis heureuse.
De même si je vois une personne faire une grimace en mangeant, mon esprit va
comprendre qu'elle n'aime pas car quand moi je fais cela c'est que je n'aime
pas la nourriture que je mange.
5- Quelle est la conception de Scheler sur la vrai pitié?
Pour Max Scheler la vrai pitié c'est comprendre la souffrance ou le joie de
l'autre mais sans ressentir la même chose pour soi même. C'est comprendre, se
mettre à la place d'autrui mais sans être dans la même situation et sans
ressentir les mêmes émotions.
Être dans la même situation que la personne dont on a pitié, nous emmène à
être également un objet de pitié et donc plus dans la compassion.
6- Partagez-vous ce point de vue? (Justifiez votre réponse, 10 lignes)
Oui je suis assez d'accord avec ce point de vue. Pour moi la pitié est liée à la
sympathie et à l'amour que je porte à autrui mais aussi pour une personne
étrangère en souffrance. Je ressens de l'empathie, de la compassion quand je
vois de la souffrance chez une personne en face de moi ou à la télévision.
Je ne peux pas ressentir les mêmes peurs, les mêmes angoisses d'une personne
habitant dans un pays en guerre bombardé, mais je peux comprendre ses
émotions, ressentir de la compassion mais aussi de l'injustice et de la colère.
Je me mets à sa place mais je ne peux pas éprouver ce qu'il ressent au fond de
lui même. Pour cela il faudrait que je le vive vraiment avec lui.
Ayant un parcours médical difficile, j'ai souvent vu ce regard de pitié dans les
yeux de mes proches mais aussi dans les yeux du corps médical. Ils ne
pouvaient pas éprouver mes douleurs et mon mal être mais ils me comprenaient.
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