Quelle est l'influence de la vitalité sur l'état de bonne ou de mauvaise santé ?
Dissertation : Quelle est l'influence de la vitalité sur l'état de bonne ou de mauvaise santé ?. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar Philippe CLIMENT • 23 Septembre 2020 • Dissertation • 1 545 Mots (7 Pages) • 6 885 Vues
1. Quelleestl’influencedelavitalitésurl’étatdebonneoudemauvaise santé ?
La vitalité a pour but de maintenir le corps humain en bonne santé et donc de maintenir un bien-être et une joie de vivre.
Chaque humain naît avec une force vitale et chaque personne hérite d’un terrain (gènes) qui est inégal, c’est pourquoi certaines personnes ont plus d’énergie que d’autres. C’est donc une énergie qui est différente pour chacun et qui peut diminuer comme augmenter en parallèle de l’activité physique ou de l’état émotionnel.
Si l’énergie vitale diminue, cela peut engendrer des problèmes de fatigue, de motivation, de réflexes et plein d’autres. Cette baisse de l’énergie vitale entraînerait en outre des défaillances dans le corps humain.
C’est pour cela que pour entretenir notre force vitale, un des premiers fondements est une bonne hygiène alimentaire. Le deuxième fondement est une hygiène émonctorielle ce qui permettra la réduction de la toxémie qui passe par l’ouverture des émonctoires, ce qui permettra d’augmenter l’énergie vitale, à condition que celle-ci soit présente et bien utilisée.
Le troisième fondement est physique et nerveux. En dernier lieu, il est important d’avoir une bonne hygiène psycho-émotionnelle.
Pour illustrer mes propos, il convient de donner quelques exemples d’influences de vitalité. Par exemple, avoir une bonne énergie vitale permet l’auto-guérison et l’auto-réparation. Le corps, lorsqu’il est en bonne santé, a la capacité de se guérir lui-même.
C’est le cas notamment du vomissement qui permet au corps de se défendre contre une agression extérieure ou bactérie.
Il y a une multitude d’exemples, comme la transpiration qui régule et contrôle la température du corps, la cicatrisation qui fait appel aux processus de réparation d’une lésion.
Et bien d’autres
2. Quel est le but d’une bonne hygiène alimentaire ?
Comme je l’ai dit dans la première question, l’hygiène alimentaire et un des premiers fondements pour avoir une bonne santé et entretenir une bonne force vitale.
Selon la citation d’Hippocrate, père de la médecine « Que ton aliment soit ton premier médicament ». Bien se nourrir est donc essentiel pour garder et assurer l’énergie dont nous avons besoin tout au long de la journée comme certaine vitamines, oligo-éléments et des minéraux.
L’alimentation assure également une bonne croissance pour ceux qui en ont besoin (notamment les jeunes).
En effet, l’hygiène alimentaire est le fondement le plus important et constitue l’élément essentiel au fonctionnement correct de l’organisme (comme l’énonce le Dr Catherine Kousmine « nous sommes faits de ce que nous mangeons »).
Pour cela le plus judicieux est de consommer une alimentation spécifique et vivante, le moins transformé possible et le plus naturel possible (bio) et surtout varié.
Aussi, il est important de souligner qu’il existe des incompatibilités alimentaires. Par exemple, une alimentation qui mélange des protéines fortes (contenues dans la viande, le poisson, etc) avec des amidons forts (pâtes, riz, blé, etc) n’est pas idéale car ces aliments étant digérés dans le même système digestif, ce dernier est fortement sollicité (cf. autre exemple dans la question 4).
3. En quoi le grignotage est-il néfaste ?
Le grignotage détériore la déficience immunitaire et peut engendrer des troubles de santé.
En effet le système digestif est la fonction qui est la plus utilisée de l’organisme : c’est donc lui qui utilise le plus d’énergie vitale. Par conséquent, le fait de le suralimenter par le grignotage peut générer une baisse immunitaire, ce qui entraine des troubles de santé, de la fatigue, des difficultés de concentration, etc. Aussi, le grignotage est néfaste pour la relaxation et pour bien dormir.
La cause du grignotage peut se traduire par du stress, de la souffrance émotionnelle, l’ennuie mais aussi le manque de sucre lents.
Le naturopathe pourra utiliser différentes techniques comme le réglage alimentaire, l’aromathérapie, la sophrologie pour calmer le stress. Par exemple, en utilisant les fleurs de Bach et les huiles essentielles pour réduire ou éliminer les causes du grignotage.
4. Ce repas est-il correct ? Expliquez.
Steak + poêlée de légumes verts + orange + café
Comme vu précédemment, tous les aliments ne sont pas tous compatible ensemble pour le système digestif.
Pour commencer, les légumes sont nécessaires à chaque repas !
Le steak (protéines fortes), est compatible avec la poêlée de légumes verts. En revanche, il ne serait pas correct de proposer du riz ou des pates (amidons forts) à la place des légumes verts.
En effet, comme expliqué précédemment, les protéines fortes et les amidons forts étant digérés de la même manière, le système digestif serait énormément sollicité.
Le mieux pour accompagner un steak est donc de proposer des légumes ou des amidons faibles comme les pommes de terre, céréales sans gluten, etc.
Les oranges (et les fruits en général) ne sont pas conseillées lors d’un repas. Il est conseillé de les manger entre les repas ou après le repas. Effectivement, les fruits arrivent directement dans les intestins pour être dégradés. Ils sont digérés en quelques minutes dans l’intestin, c’est pour cela que s’ils sont consommés pendant les repas, ils ‘’attendent leurs tours’’ (que les aliments précédents soient digérés) et fermentent, ce qui peut entrainer des gaz et ballonnements.
Pour terminer le café est conseillé en fin de repas, mais avec modération.
Ce menu est donc plutôt correct, mais nécessite quelques corrections et mise en garde sur les associations d’aliments.
5. En quoi l’anamnèse lors de la consultation vous semble-t-elle importante ?
Le but de l’anamnèse est de connaître son patient (son terrain) et de rassembler le plus de détails et d’informations sur sa vie (activité physique, situation professionnelle, amoureuse antécédants personnels, familiaux, etc), mais aussi sur les différentes sphères de l’organisme qui sont au nombre de neuf (urinaire, cardiovasculaire, sphère de la peau, etc) afin de savoir quel organe faut-il travailler.
L’anamnèse permet aussi de connaître le degré de toxémie (déchets toxiques) et d’évaluer le niveau de la force vitale, les ressources disponibles du patient, pour pouvoir réagir ensuite à ce que le thérapeute met en place pour le patient.
Tout l’intérêt de l’anamnèse est (en l’associant au bilan alimentaire, irridologique, morphologique et à l’arbre de vie) de réaliser un bilan
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