Synthèse du système immunitaire

Tout d’abord, le système immunitaire est un peu le bouclier de notre corps il est conçu pour protéger l’organisme des attaques extérieures grâce à son dispositif il peut mobiliser plusieurs types de cellules afin de défendre notre organisme.

Lors d’une attaque le système immunitaire a deux réponses qui travaillent ensemble pour s’assurer du bon fonctionnement de l’organisme.

La première réponse est la réponse non spécifique ; c’est ce qu’on pourrait appeler l’immunité innée puisqu’elle existe dès la naissance, cette réponse n’a pas de mémoire donc elle réagit en ne tenant pas compte de la nature de l’attaque qu’elle va subir.

La réponse non spécifique pour la définir c’est d’abord des barrières physiques comme la peau ou les muqueuses, ces barrières peuvent être fragilisées en cas de plaies ou de coupures par exemple, car celles-ci peuvent effectivement laisser comme une brèche ouverte aux microbes.

Ensuite il faut introduire l’inflammation, c’est la première barrière à laquelle va faire face l’assaillant, l’inflammation se traduit physiquement par 4 critères ; la rougeur, la chaleur, la douleur et la tuméfaction.

La rougeur est provoquée par la vasodilatation et la perméabilité des capillaires dans la zone attaquée ce qui va être responsable de l’afflux sanguin et donc de la rougeur.

Il existe également un processus de phagocytose qui est mis en place pour détruire des pathogènes grâce aux phagocytes.

Tout d’abord un phagocyte c’est un globule blanc qui par sa fonction est capable d’englober des micro-organismes pathogènes ou des cellules malades, après son processus d’englobement il va les détruire.

Et pour conclure le processus de l’inflammation il existe le système du complément qui a à son actif une armée composée d’une vingtaine de protéines qui agissent et permettent la destruction des microbes présent dans l’organisme. Ce système peut être activé par les microbes ou par l’autre partie du système nommé réponse immunitaire spécifique que l’on va découvrir ci-dessous.

Pour finir avec la réponse immunitaire non spécifique, il y a les interférons se sont des glycoprotéines qui agissent en cas d’infection virale.

La deuxième réponse est la réponse immunitaire spécifique, celle-ci est acquise contrairement à la première c’est à dire que son système de défense se perfectionne est devient de plus en plus spécifique avec le temps afin de donner la meilleure défense possible selon l’agresseur. La première fois qu’un agent pathogène va entrer en action pour attaquer l’organisme, la réponse immunitaire spécifique, va réagir lentement et ne va pas être vraiment efficace puisqu’elle découvre l’agression et le type d’agresseur ; mais une fois l’attaque passée le système va enregistrer des informations sur l’agent pathogène afin de perfectionner sa défense et va donc mémoriser aussi l’agresseur pour être plus efficace lors d’une possible prochaine attaque. C’est pour cette raison que l’on se fait vacciner, pour donner au système les moyens de se défendre en amont en donnant des informations sur des possibles agresseurs, c’est aussi pour ça que le virus contre lequel on se bat cette année est difficile à combattre puisque notre corps n’y a jamais fais face et que l’on sait pas si notre système sera en mesure de le battre, c’est ce qui fait de ce virus un virus très dangereux et instable selon les individus.

Pour se battre contre les agents pathogènes la réponse immunitaire va faire intervenir des cellules spécialisées que l’on appelle lymphocytes ; il en existe deux classes.

Les lymphocytes B pour commencer, ils sont responsable de la production d’anticorps, ce qui les rend efficace c’est que la production de ses anticorps sont spécifiques à l’agent infectieux. Les anticorps vont alors avoir la capacité de se