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es ententes Bousquet-Oberg, la milice travaille aux cotés des police allemandes.

Après le 11 novembre 1942, la poursuite des résistants est identique sur tout le territoire français.

Les intentions Allemandes :

Dans un premier temps, les résistants capturés sont condamnés soit à mort soit à des peines de prison purgées en Allemagne. Mais les condamnés à mort deviennent des souffre douleurs er l’effet de dissuasion escompté est faible.

Au cours de l’été et de l’automne 1941,en France, les « espions » gaullistes et les communistes sont jugés , condamnés et exécutés dans la semaine qui suit leur arrestation.

Le décret NN « Nacht Und Nebel Erlass » modifie les procédures. Les prisonniers NN doivent être exterminés par le travail « Vernichtung durch Arbeit »

Les moyens Allemands :

Le MBF :

Avant le 1er 1942, la répression est du ressort du MBF. Son bureau est divisé en deux états-majors. Le premier est chargé des questions militaires (remises en état pour les besoins militaires, entretien, voies de communication, garde des prisonniers, sécurité de la troupe, justice).

Elle est dirigée par Hans Speidel et l’écrivain Ernst Jünger. Le second est responsable des questions administratives avec comme chef Werner Best (ce dernier s’est distingué dans l’organisation de la Gestapo en Allemagne).

Pour le maintien de l’ordre le MBF dispose de la GFP (police allemande située en Belgique) et de l’Abwehr (service de renseignement Allemand) Toutes ces polices réunissent au total 100000 hommes en 1941,40000 en mars1942 et 200000 en 1943.

La SS :

La SS dispose de forces de sécurité regroupées dans le RSHA. Sa section principale de police est le SIPO-SD constitué du SD proprement dit ou Amt 3,

du SIPO lui-même divisé en deux branches : la KRIPO (police criminelle d’état) ou Amt 5, la Gestapo (police secrète d’état) ou Amt 4. Il existe aussi une autre police : L’Ordunpolizei (police d’ordre).

La répression française

Dès juillet 1940 le début de la répression s’exerce. Des structures de répression sont mises en place contre d’abord toute forme d’opposition intérieur. Celons l’idéologie de vichy « Chaque individus pour la défense nationale ou pour la sécurité publique »

Suite au décret du régime les tous premiers tribunaux sont mis en place ses tribunaux visent la « dissidence » donc tous les résistants visées comme de « fâcheux gaullistes » avec la mise en place d’une cour martiale le 20 septembre 1940 après Dakar) complétée en 1941 par une cour de Gannat.

Après de multiples tentative des résistants dite « résistance individuelle » (distribution de tracts, sabotages…) s’organisent, devient menaçante d’où le discours de Pétain du 12 août 1941.Après cela une nouvel outil de répression français fait son apparition : La Milice qui va se greffé a l’appareil de répression allemand.

Les moyens de répressions se renforcent au fur à mesure (police et justice).

Les polices municipales sont incorporées dans la police nationale, la gendarmerie mobile (interdite en zone nord) est renouvelée par un corps unique de Groupes mobiles de police qui deviennent très rapidement les GMR (Groupes Mobiles de Réserve, futurs CRS après la guerre).

Des services spécialisés sont aussi mis sur pied : le SPAC (Service de police anticommuniste) qui fut, en juin 1942 le SRMAN (Service de répression des menées antinationales), la PQJ (Police aux questions juives) fondée en juillet 1942 la section d’enquête et de contrôle, la police des sociétés secrètes. Toutes ces polices dépendent toutes de l’Intérieur et d’un Secrétaire général surtout affecté à cette mission.

Les fusillés

Avec un total de plus de 3.800 personnes fusillés, soit par suite d’une condamnation à mort par les tribunaux militaires allemands, soit comme otages, le plus généralement issus de prisonniers condamnés à des peines de prison ou de travaux forcés. Mais il était précisé que ce total restait a confirmer et qu’il ne comprenait ni les fusillés sans jugement exécutés comme « francs tireurs » par la Wehrmacht, aidée de la « Sipo-SD » et de la milice, ni les exécutés sommairement par pure sauvagerie et représailles lors d’opérations menées contre la Résistance.

Mais pour mieux comprendre le mot fusillé pour mieux expliquer il se divise en 4 catégories :

Les fusillés :

Toutes personnes qui ayant été manifestement

Coupable d’actes a l’atteinte a la vie a des officiers du Reich ou de personnes sous le régime de vichy.

A être condamnés à mort soit par un tribunal militaire allemand ou sous une juridiction française (tribunal d’état

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