Dossier d'histoire sur les risque nucleaire en france
Documents Gratuits : Dossier d'histoire sur les risque nucleaire en france. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoiresion ont été les plus touchés par les retombées radioactives :
Outre les autres types de cancers dont l’OMS estime qu’ils pourraient concerner 4 000 à 5 000 personnes supplémentaires, de nombreuses études signalent des pathologies non cancéreuses : maladies cardio-vasculaires, cataractes, notamment chez les enfants contaminés in utero, déficits du système immunitaire, anomalies chromosomiques, effets sur la reproduction, effets psychologiques.
C’est la difficulté d’identifier la part de l’irradiation dans des pathologies qui peuvent être favorisées par de multiples facteurs (pauvreté, mauvaise hygiène de vie, alcoolisme et tabagisme, accès limité aux soins etc.), qui a permis aux organisations internationales de minorer l’incidence de l’accident. En effet n’ont été pris en compte que les décès directement imputables à la radioactivité.
C’est un texte. Son titre est « impact sanitaire » extrait des dossiers de la documentation française, en 2006, http://www.ladocumentationfrançaise.fr/heritage-sovietique/tchernobyl.shtml
Ce document me montre le nombre de décès, les multiples maladies et problèmes de santé comme des cancers, des maladies cardio-vasculaire, des cataractes et encore beaucoup d’autres survenu après cette explosion nucléaire en 1986. Mais seul les décès directement imputables à la radioactivité du à l’explosion du 26 avril 1986 ont été pris en compte car l’identification de la part d’irradiation dans des pathologies est difficile. Les conséquences sont que le nombre de décès est très élevé à cause des dépôts de césium 137 (entre 9000 et 90 000 décès).
Source : les dossiers de la documentation française, http://www.ladocumentationfrançaise.fr/dossiers/heritage-sovietique/tchernobyl.shtml, 2006
Document 3 :
Conséquences sur l’environnement
Au terme des dix jours d’incendie au cours desquels se sont produites l’essentiel des retombées radioactives, environ 200 000 km2 ont été fortement contaminés, dont 65 % dans les trois pays les plus touchés. La contamination des produits de la forêt (champignons, baies et gibier) en particulier, ne diminue que lentement et excède encore pour longtemps les niveaux tolérés pour la consommation.
Parmi les effets constatés sur les plantes et les animaux, on a noté une mortalité accrue des animaux invertébrés ainsi que des mammifères, mais aussi un dépérissement des conifères. Dans la zone d’exclusion de 30 kilomètres autour de la centrale, on a pu observer des malformations génétiques et des troubles de la reproduction chez les animaux.
Les eaux de surface ont été fortement contaminées rendant les poissons de certains lacs impropres à la consommation, y compris en Scandinavie et en Allemagne et ce pour plusieurs décennies.
Source : les dossiers de la documentation française, http://www.ladocumentationfrançaise.fr/dossiers/heritage-sovietique/tchernobyl.shtml, 2006
C’est un texte. Son titre est « conséquences sur l’environnement » extrait des dossiers de la documentation française,
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http://www.ladocumentationfrançaise.fr/dossiers/heritage-sovietique/tchernobyl.shtml, en 2006.
Ce document me montre les dégâts environnementaux des dix jours qui suivirent l’explosion nucléaire, les pays les plus touchés et le nombre de kilomètres contaminés (environ 200 000 kilomètre carré). Les conséquences sont les problèmes de santé des animaux (comme des mortalités accrus ou encore des déformations génétiques) et la contamination de la nature comme les champignons, les baies, les gibiers et également l’eau qui rend les poissons de certains lacs impropres à la consommation dans plusieurs pays.
Synthèse générale :
Grâce à l’étude de ces documents, j’au pu prouver que l’explosion de la centrale nucléaire Lénine à Tchernobyl en Ukraine le 26 avril 1986 était une catastrophe technologique. C'est-à-dire un risque causé par les activités de l’Homme. Cette explosion à été la plus grande catastrophe industriel à ce jour, faisant des dégâts humains et environnementales très importants.
Cet accident a touché une grande partie de l’Europe à cause des dépôts de césium 137 qui se sont étendus. Cela va de 0 (non concerné) à 1 400 000 Becquerels par mètre carré. Ce risque nucléaire est lié au travail de l’Homme, qui par une mauvaise manipulation, a entraîner cette explosion.
Le nombre de décès directement imputable à la radioactivité varie entre 9 000 selon le rapport élaboré par des agences de l’ONU, sous la houlette de l’AIEA, en 2006 et 90 000 selon Greenpeace. Il y’aurait entre 4 000 et 5 000 personnes atteintes de cancers selon l’OMS, de nombreuses études signalent des pathologies non cancéreuses comme des maladies cardio-vasculaires, des cataractes notamment chez l’enfant contaminé in utéro (dans l’utérus), des déficits du système immunitaire, anomalies chromosomiques, effets sur la reproduction, effets psychologiques. Mais il est difficile de pouvoir identifier ces pathologies car elles peuvent être favorisé par un manque d’hygiène, alcoolisme et tabac, pauvreté, accès
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