Le second traité du gouvernement civil
Commentaire de texte : Le second traité du gouvernement civil. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar coini3 • 7 Novembre 2022 • Commentaire de texte • 294 Mots (2 Pages) • 280 Vues
Les lois de l’État semble etre produit par le pouvoir législatif, alors les lois se fonde sur la légitimité,sur ce qui est juste.
Mais si tel était le cas, alors toute loi serait juste par définition. Or, cela paraît absurde.
Par conséquent, Les lois sont-t-elle fondé sur la raison ou bien le droit a-t-il un autre fondement que la raison ?
En étudiant le texte jusqu’à « dans une société », nous montrerons que les lois se fonde sur la . Puis, en étudiant le reste du texte, nous expliquerons pourquoi le droit naturel est l’ensemble des lois de la raison.
2)le droit naturel est l’ensemble des lois de la raison : « si les législateurs(….)sa propre conservation »
ce qui rend les hommes heureux est qu’ils soient libre et propriétaires des biens qu’ils ont construit.
Mais si le gouvernement supprime les droits et les libertés du peuple « ravir et détruire (...)réduire dans l’esclavage » Alors cela pourrait déclencher des guerres civiles ou détruire la paix dans le monde. « l’état de guerre avec le peuple »
Or l’expérience montre que si le gouvernement supprime
1) Il n’existe pas de vérités innées : « il n’y a (…) produire nécessairement ».
Certaines vérités semblent connues de tous les hommes : « il n’y a (…) conviennent généralement ». L’exemple le plus fort est celui des vérités de la logique : « deux de (…) même temps ».
Or, si ces vérités étaient connues de manière innée, alors le fait qu’elles soient connues de tous s’ex-pliquerait facilement, car, si les hommes n’ont pas tous la même expérience, ils ont tous la même na-ture : « d’où l’on (…) avec elle ».
Mais, en réalité, aucune vérité n’est connue universellement : « la raison (…) hommes s’accordent ». Les enfants et les idiots ne connaissent même pas les principes de la logique, qui sont pourtant faci-les et élémentaires : « il est (…) produire nécessairement ».
Par conséquent, il n’existe pas de vérités innées.
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