Les garçons et l'école
Commentaire d'oeuvre : Les garçons et l'école. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar BAO8579 • 29 Mai 2019 • Commentaire d'oeuvre • 738 Mots (3 Pages) • 500 Vues
Résumé
L’auteur nous parle dans ce texte, intitulé (Les garçons et l'école) le niveau de scolarité des garçons québécois. Qui prétend être victime d’un système scolaire féminisé et discriminatoire. Selon les données internationales et québécoises, Jean-Claude St-Amant analyse la situation des garçons en le comparant à la fois à celle des filles du Québec et à celle de groupes de garçons et de filles du Canada et d’autres pays.
En effet, selon les analyses on constate que les garçons québécois n’affichent aucun retard particulier par rapport aux filles (excepté lecture et écriture). L’auteur nous fait savoir que ce phénomène n’est pas méconnu. Ces dernières années dans les pays industrialisés. Il faut savoir que ce n’est pas tous les garçons qui ont des difficultés ni toutes les filles.
Le texte nous fait savoir que les garçons québécois occupent un rang avantageux dans le taux d’obtention d’un diplôme d’études secondaire contrairement à ceux du Canada et des autres pays. Mais on constate que les filles québécoises se démarquent largement des garçons québécois, mais aussi par rapport aux filles et garçons du reste du Canada ou d’autres pays.
Ensuite, l’auteur parle d’une politique de la réussite, comment faire pour aider plus de garçons québécois à mieux réussir à l’école. Le chercheur propose une politique de la réussite scolaire à trois volets complémentaires : intervenir systématiquement contre les stéréotypes sexuels masculins et féminins ; développer des pratiques de lecture stimulantes et constituant un véritable défi intellectuel; enfin, éduquer à la prise en charge de sa propre scolarisation.
Ainsi, l’auteur est un historien et il a enseigné pendant plusieurs années à l’Université du Québec à Rimouski. Il s’oriente vers la sociopolitique de l’éducation. Ils mènent des recherches sur les écarts de réussite selon le sexe et les milieux sociaux et tant d’autres aspects qui influent sur la réussite scolaire des jeunes. En dépit, au Québec, depuis une quinzaine d’années, le taux de décrochage scolaire des garçons, plus élevé que celui des filles, a servi de discrimination à l’égard des femmes dans notre société (sur le plan économique, et sur tant d’autres aspects).
L’auteur insiste sur le système d’éducation, il nous fait savoir que le ministre de l’Éducation du Québec a aussi subi des pressions intenses pour venir à la rescousse des garçons.
Pour cela, l’auteur indique que deux conditions sont nécessaires pour y arriver. Primo, éviter la généralisation à tous les garçons de phénomène qui ne concerne qu’une partie d’entre eux. L’auteur insiste sur le fait que ce ne sont pas tous les garçons qui connaissent des difficultés à l’école, au contraire, une bonne part y réussit. Il faut savoir précisément quels sont ces garçons.
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