Nouvelles

atigue les jambes et le dos, ensuite atelier écriture avec Mme Antona de 13h30 à 15h30, ça fais travailler les neurones, et casse même parfois les oreilles (à prendre avec humour), et ensuite deux heures de maths, juste histoire de détruire le peu d’énergie qui reste. Mais bon, il y a George, le regarder dans son bocal faire des tours, se faufiler entre les éléments de décoration, c’est tellement reposant. En bref, la vie m’use, et George me ressource.

George, jeune militaire de l’URSS, était un proche de Staline. Ils s’entendaient bien, malgré leur différence d’âge, il s’amusait bien. Parfois ils jouaient aux échecs, parfois George passait le balai chez lui, par ce qu’avec l’âge, Staline se laissait un peu aller, et c’était parfois un peu trop poussiéreux. Lors des réunions de la partie, George était convié. Il arrivait même que George lui chuchote des conseils à l’oreille

Un soir d’hiver, il fait froid, trop froid pour dormir dehors. Macdouglass a bientôt 37 ans, très bientôt, demain c’est son anniversaire, mais il n’aura pas de cadeau cette année comme ces 19 dernière années. Macdouglass vagabonde, ici et là. Il mène son petit train train jusqu’à ce qu’il rencontre cette banane doté de la parole ! Il n’en croit pas ses yeux, il se les frotte à plusieurs reprises, jusqu’à ce que le brouillard de son esprit laisse place à la clarté. Il réalise que c’est son copain Billy, qui s’était réfugié dans une couverture jaune, il s’est totalement enroulé dedans, ce qui à confus Macdouglass. Il continu son chemin seul, et comme d’habitude, il ère dans les rues à la quête d’un peu plus de confort. Il fini par trouver une maison éclairé, où est écrit entrée libre à l’entrée. Par curiosité, il s’y invite. Cette maison est bien étrange, il y a des néons bleu comme éclairage principale, plein de télévision en marche, mais il fait chaud, alors il décide de rester un peu. Puis il regarde de plus près le programme que diffusent les télévisions. Tiens, ce dit il, c’est bien curieux ça. Macdouglass sent une chaleur méconnu monter en lui. Il se sent à l’étroit dans son pantalon, qui était bien large d’habitude. Le vide laisse place à une généreuse bosse entre ses jambes. L’employé qui travaille dans cette maison vu le pauvre homme, pris de compassion, elle cherche quelque chose à lui proposer. Et c’est avec un grand sourire qu’elle lui propose des sous vêtement alimentaire en lui expliquant qu’elle n’a que ça à lui offrir. Il est minuit passé, Macdouglass reçu son premier cadeau depuis bien des années, et il le déguste avec un plaisir fou. Il avait même oublié se goût sucré si léger ! Mais il n’oubliera jamais ce cadeau, de cette drôle de femme quasi dénudé, de ce magasins portant le nom de « sex dream ».

Presque un an est passé, nous sommes en automne, la chaleur est toujours aussi importante. Pikachu se balade à la frontière des USA. Il cherche toujours son frère Raïchu, qui a essayé de passer aux Etats unis. C’était le rêve américain qui l’avait poussé à rentrer clandestinement aux USA. Mais Pikachu est pessimiste, tout ces Dracofeus qui survole la région, et ces Florizars qui patrouillent, forment une trop bonne garde pour passer cette frontière indemne (Dracofeu et Florizar sont des Pokémon de haut niveau contrairement à Pikachu et Raïchu). Malgré son désespoir, Pikachu sait que Raïchu est connu comme l’un des meilleurs sprinteurs de Mexico. Il espère qu’un jour les frontière seront ouverte aux mexicains, pour pouvoir retrouver les traces de son frère. En attendant, il s’entraine comme arrache pied son attaque ultime « Fatal foudre » le jour où il aura à faire face à plus puissant que lui… Et peu être pour se donner une chance de passer à travers de cette garde américaine.

Commentaire de l’artiste :

De l’autre coté de la frontière, à Washington, Macdouglass vagabonde toujours. Il a bientôt fait le tour de l’Amérique à pied avec son appareil photo. Son objectif est de se prendre en photo à coté de chaque monument célèbre qu’il croise. Arrivé à proximité de la Maison Blanche, il se rend compte qu’il y a un monde fou devant l’édifice, à un tel point qu’il ne peut pas prendre de photo. Effectivement, il y a un grand discourt de Obama aujourd’hui, et les partisans comme les opposants sont présents en masse. Il décide de se faufiler entre les gens, pour se crée un chemin jusqu'à son objectif. Sauf que, une fois libéré de la foule, il est tellement proche qu’on ne voit qu’un mur blanc derrière lui sur la photo. Enervé il décide de monter sur toit pour être plus tranquille, et prendre sa photo sans être dérangé par ces enquiquineurs ! C’est une fois après avoir escaladé si bien que mal le monument qu’il se rend compte que c’est totalement stupide d’avoir faire ça. Certes, la vue est dégagée, mais on ne voit plus rien de la Maison Blanche une fois dessus.

A quelque kilomètre plus à l’est, dans l’océan Atlantique, Bob l’éponge, Patric et Gary cherche à s’amuser. Ils décident de construire une machine à faire des bulles, tout en produisant de la musique. Aussi bizarre qu’improbable, Patric a trouvé un plan détaillé pour la construction de l’engin dans un Kinder surprise. Ils empruntent le moteur, indispensable pour leur projet, du super 4x4 du Capitaine Krabs, sans même lui demander. Ils se mettent au travail, et une fois la réalisation finie, ils testent. BIM BAM POUF ! Une explosion surgit ! Bob, Patric, Gary sont propulsé loin ! Ils sortent de l’océan, monte haut ! Très haut, tellement haut qu’ils traversent les nuages. L’explosion était d’une telle violence, qu’ils finissent par se trouver au Paradis. Ils se demandent alors si ils ont étaient tué par l’accident, mais aussi tôt Saint Pierre les repère, et les gronde pour être venu par infraction au jardin divin ! Il décide donc de les ramener sur terre. Et pour ceux, il se fiche bien de leur atterrissage. En effet, Saint Pierre a tout simplement supprimé la portion de nuage sur la quel étaient nos trois amis. Le choc fut terrible ! Mais, grâce à leurs intelligences hors norme, Bob Patric et Gary se sont réfugié dans la coquille de Gary qui est réputé comme la plus solide de l’océan Atlantique. Lorsqu’ils reprennent, ils sortent de la coquille et réalise qu’ils sont totalement perdu, le paysage leur est totalement inconnu, il semblerait qu’ils sont en hauteur, comme si ils étaient sur un toit, mais plat. La maison sur la quel ils ont atterris est totalement blanche. C’est à ce moment que Monsieur Barak Obama monte sur le toit, et leur dit « Vous rendez vous compte que vous êtes sur la maison Blanche ? Vous avez réveillé Madame Obama alors qu’elle faisait la sieste ». Après de long excuse de la part du trio, Patrick cherche à arranger les choses, il fouille dans ses poches et il y retrouve une super flûte. Il l’offre l’instrument à Barak, celui-ci se met à jouer quelque notes, il vu que ce fut bon. Alors il reprend, la mélodie qu’il sortait de la flûte était tellement apaisante que Madame Obama pu se rendormir tranquillement.

Après cette épisode, Gary et Patrick pris le chemin du retour pour retrouver leur foyer, alors que Bob décida de se balader un peu sur ces terres américaine. Jusqu’à ce qu’il arrive à San Francisco. C’est là bas qu’il trouve une étrange maison, ayant des néons comme lumière principal. Il entre par curiosité, et la, il voit son ex à la caisse de ce drôle de magasin. Petit retour en arrière pour mieux comprendre ce pourquoi Bob va réagir par la suite. Juliette est un écureuil, mais elle a toujours était passionné par l’océan. Bob, quand à lui, est une éponge végétale jaune adulte de taille moyenne. Sa famille fut assassinée lors d’une expédition en foret alors qu’il n’était qu’un enfant. Orphelin à 7ans, il fut recueilli par un couple d’étoile de mer, dont Patrick est le fil unique. Juliette a mit plusieurs année à concevoir une tenu lui permettant de récolter le peu d’oxygène de l’eau lorsqu’elle se retrouver dans les fonds marin. Elle put donc vivre librement dans l’océan sans se soucier de remonter à la surface. Elle rencontrât Bob quelque année plus tard, ce fut le coup de foudre des deux cotés, ils s’aimèrent à la folie pendant des années, ils eurent même le projet de se marier. Mais le terrible secret de Juliette les séparât. En effet, la tenue de survie océanique de Juliette était fabriquée à base d’éponge végétale, pour récolter l’oxygène de l’océan. Il s’avère que les éponges qui ont servis de matériel de construction furent ni plus, ni moins la famille de bob. Bob voulu lui faire la peau lorsqu’il apprit cela, mais Juliette vu venir le danger, s’était enfui sur le continuant. Nous revoilà au présent, Bob saisi d’une colère noir, prend le fouet qui était posé là, et fouet Juliette jusqu'à mort s’en suive. Le sang avait giclé sur tous les articles de la boutique, la police est déjà arrivée sur lieu. L’assassin est maitrisé sans opposition. La presse sur les lieux a déjà prévu son titre de 1ère page : Retrouvaille sanglante au sexe shop.

L’avion atterri après 8h de vole. Les passagers descendent et se dirige vers l’aéroport. Macdouglass lui, n’avait pas eu assez d’argent pour prendre se vole, il a du se caché, et grâce à un système astucieux pour ne pas manquer d’oxygène et ne pas se faire découper en rondelle, il a pu