Citation le salut de de gaulle
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| |« mettre en place le pouvoir ; à provoquer autour de moi l’adhésion de toutes les régions et de toutes les catégories ; à fondre en une seule armée les troupes venues de l’Empire et les forces de l’intérieur ; à faire en |
| |sorte que le pays reprenne sa vie et son travail sans glisser aux secousses qui le mèneraient à d’autres malheurs » |
|p.13 |« depuis juin 1940, c’est vers la libération que j’avais conduit la France et c’est la résistance qui en était le moyen. Il s’agit, maintenant, d’entreprendre une étape nouvelle qui, celle-là, implique l’effort de toute la |
| |nation » |
|p.14 |« je me sens tenu, quant à moi, de dire les choses telles qu’elles sont » |
| |« la vague de joie, de fierté, d’espérance » |
| |« point de facilité ni de dispersion qui tiennent ! » |
|p.15 |« ce n’est pas tout de reprendre son rang. Encore faut-il être capable de te tenir » |
|p.16 |« Pour terminer, j’en appelle « aux hommes et aux femmes de la résistance » » |
| |« il nous appartiendra, demain, de l’entraîner vers l’effort et vers la grandeur. C’est alors, et alors seulement, que sera remportée la grande victoire de la France » |
| |« la mystique avait inspiré les élans de la France Libre » |
|p.17 |« il me fallait donc prendre appui dans le peuple plutôt que dans les « élites ». » |
|p.18 |« compromettre la participation de nos armes à la victoire » |
| |« si le parti communiste n’avait pas pris à tâche d’exploiter le tumulte afin de saisir le pouvoir » |
|p.25 |« mais, aussi, il y avait là, à mon égard, la même sorte de plébiscite qui se manifestait partout » |
|p.30 |« la libération du pays devrait être accompagnée d’une profonde transformation sociale. |
|p.34 |« débordant de ferveur » |
|p.35 |« lui servir de guide et de centre de ralliement. Elle s’attachait aujourd’hui à de Gaulle pour échapper à la subversion comme elle l’avait fait, hier, pour être débarrassée de l’ennemi » |
|p.36 |« grâce à vous, tout peut être sauvé » |
|p.44 |« mais, à considérer l’intérêt supérieur de la France – lequel est tout autre chose que l’avantage immédiat des français – je ne le regrettais pas » |
|p.56 |« plus le trouble est grand, plus il faut gouverner » |
|p.58 |« que la justice soit rendue et l’ordre public assuré » |
|p.60 |« un jour, les larmes seront taris, les fureurs étreintes, les tombes effacées. Mais il restera la France » |
|p.63 |« une mystique du renouveau dont s’inspirera notre peuple » |
| |« le 12 octobre, une ordonnance fixe la composition de l’Assemblée consultative nouvelle » |
| |« le terme de l’opposition de la France, mais aussi le dénouement de la dramatique secousse que fut sa libération » |
|p.64 |« entre le peuple et son guide le contact s’est établi » |
| |« surtout, la France reprend conscience d’elle-même et regarde vers l’avenir » |
| |« la France en guerre se retrouve chez elle. Il s’agit, maintenant, qu’elle réapparaisse au dehors » |
CHAPITRE II – Le Rang (p.65 à 132)
|p.65 |« vers la France libérée tous les Etats portaient leurs regards » |
| |« pour qui certains de ses fils n’avaient pas cessé de combattre » |
| |« dans quel état reparaissait-elle, quelle route allait-elle prendre, à quel rang la reverrait-on ? » |
| |« ce chef, que n’avaient investi nul souverain, nul parlement, nul plébiscite » |
|p.67 |« Le Gouvernement français est satisfait qu’on veuille bien l’appeler par son nom » |
|p.68 |« Qu’adviendrait-il de l’Europe après la défaite de l’Allemagne et quel sort serait fait à celle-ci ? C’était le problème capital que les évènements allaient poser d’un jour à l’autre et dont, on peut le croire, je m’occupais |
| |avant tout » |
|p.69 |« elle avait, désormais, la certitude d’être présente à la victoire » |
| |« à moins qu’en cette occasion – la dernière peut être – elle ne refît sa puissance » |
|p.70 |« Plus de Reich centralisé ! »
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