Génération

r dans les moules imaginé pour eux. Dans l’extrait des Misérables, Victor Hugo place le lecteur au coté de l’enfant. Lui aussi imagine sont père d’une certaine manière. Même si cette image est influencée par le jugement de son grand père, Marius ne souhaite pas en apprendre plus sur son père. Celui-ci n’étant pas conforme aux attentes de sa famille.

Marius acceptera malgré tout d’aller voir son père quand celui-ci fut sur son lit de mort. Ce respect des ancêtres a perduré toutes ses années, comme nous le démontre Nicolas Jonas. Dans une société qui prône la jeunesse, nos ancêtres tiennent une place spéciale dans le cœur des individus. Même si la famille est imposé au départ, les individus continu de célébré la mémoire des morts par exemple. Ces rituels permettent de raviver les souvenirs. Des souvenirs souvent nécessaires pour la construction future de l’individu.

Les souvenirs sont propres à chaque famille. Ils permettent de ce créer un intérêt commun. Comme l’explique Nicolas Jonas, les enfants adopter ou de famille recomposé, nos pas accès au souvenir de leur famille. La plupart du temps s’en suit un vide, ou un sentiment désagréable a comblé. Il nous dit aussi que les enfants de parents divorcé conserve une attache avec leur parents biologique, se qui n’empéche pas de développer d’autre relation différente avec le beau parent. Dans le dessin de Philippe Geluck, l’appartenance à un clan est visible. Il met en scène des personnes identique, qui, de ce fait, partage leurs liens physique. Ce sentiment d’appartenance est nécessaire pour construire son avenir.

Pour savoir où l’on va, il faut savoir d’où l’on vient. Les personnes qui ne connaissent pas leur passée, commence le plus souvent à rechercher leurs ancêtres biologique. Comme décrit dans l’ouvrage La famille, cette recherche de mémoire est obligatoire pour mieux se construire. L’auteur donne l’exemple de l’accouchement sous X, qui, selon certain spécialiste, devrai être revue. Il soutien que même si l’enfant à connaissance d’avoir était adopter, la légitimité de ses parents adoptif ne serai pas remis en cause.

Pour les parents, que l’enfant soit adopter ou pas, les craintes et angoisses sont les même. Points étonnant de l’essaie de Christine CASTELAIN- MEUNIER, les parents éprouverai tous un sentiment de jalousie, plus ou moins refoulé, en vers leurs enfants. Ce phénomène de société s’explique par le dicta de la jeunesse de la société actuel. Les parents voient dans leurs enfants des reflets d’eux même plus jeunes. Entrechats illustre parfaitement cette notion de reflet puisque chacun est le reflet de l’autre.

Cette jalousie peut aussi s’expliquer par le fait que l’enfant permet aux parents de s’inscrire dans le te, de laisser une trace de leurs passage, mais aussi lui fait prendre conscience de sa fin de plus en plus proche. Cette image était souvent représenter dans l’antiquité. Le père dévore ces enfants. Métaphore du fait qu’il se projette tellement en eux, qu’il fini par les étouffé.

Cette projection ne s’arrête pas là puisque les enfants veulent eux aussi prendre la place de l’un ou de l’autre de leur parents. Poussé à l’ extrême, le complexe d’Œdipe n’est pas très loin. Les générations s’entrecroise et se mélange et finissent par prendre la place les une des autres. Christine CASTELAIN- MEUNIER nous donne un exemple percutant avec les faire part de naissance. Pour Victor Hugo, c’est le grand père qui prend la place du père. Pour Philippe Geluck chaque membre de cette famille est interchangeable, il suffirait de changer les attribues qui permettent d’identifier le rôle du personnage dans cette grande famille.

Même si les relations entre les différentes générations deviennent de plus en plus compliqué, il est indéniable de dire que l’affiliation tiens encor une place importante dans la vie de chacun. Que se soit pour permettre de se construire,