Les Identités Meurtrières

fait que je ne suis identique à aucune autre personne. Elle peut se définir par le regard des autres ou encore par des blessures marquantes subies pendant l'enfance... Il explique aussi que l'identité est faite de multiple appartenances et qu'une communauté est un groupe de personne qui ont une appartenance en en commun. Et que donc, une personne appartient à plusieurs communauté à la fois.

Dans la seconde partie énoncée si dessus, Amin Maalouf aborde la question

des religions dans les revendications identitaires. Selon lui, c’est l’interprétation que l’on fait des textes religieux

qui modifie la réalité du monde. Il explique comment l'occident s'est imposé et ce qui en a découlé chez les musulmans point de vue identitaire.

Dans la troisième partie, il pose cette question : « Par quoi pourrait-on remplacer aujourd'hui l'appartenance à une communauté de croyants? » à cette question, il répond : « L'humain » . Mais l'appartenance une vision globale, humaniste suscite la méfiance. Il parle également de la mondialisation, des effets positifs et néfastes qu'elle pourrait avoir...

Enfin, dans la 4e partie, il parle principalement des « langues ». Pour lui, tout le monde devrait apprendre l'anglais et une deuxième langue de « coeur » : « toute personne a besoin […] de trois langues. La première, sa langue identitaire; la troisième l'anglais. Entre les deux, il faut obligatoirement promouvoir une deuxième langue, librement choisie. […] La langue de cœur, la langue adoptive, la langue épousée, la langue aimée... »Ceci est un des outils pour que chacun puisse « s'identifier, ne serait-ce qu'un peu, au pays d'où il vint et à notre monde d'aujourd'hui » et avoir le sentiment d'appartenir aussi à l'aventure humaine.

A la fin, dans l'épilogue, Amin maalouf tire sa propre conclusion (synthèse des idées principales des chapitres précédents)