Discours sur les inégalités scolaires

FRANCAIS : discours sur les inégalités scolaire

monsieur le président

Mesdames les sénatrices

Messieurs les sénateurs

Au moyen age, seul les garçons de nobles allait a «l’école»

En 789, quand un certain Charlemagne insista sur l’instruction pour mieux diffuser la foi, c e n’est pas non plus a considérer comme un droit universel a l’accès a l’éducation puisque seulement 1 ou 2 enfants par village sont réellement impacté par cette décision.

L’époque moderne quand a elle voit se développer les petites écoles généralement réservé aux garçons. Le pouvoir royal encourage ses école mais sans pour autant s’y impliquer. Le financement vient donc uniquement des familles ces écoles forment alors principalement la bourgeoisie.

Même durant la révolution française lorsque l’éducation devient un enjeu très important et que de nombreux projet d’enseignement laïque sont proposé la période très troublé et le manque de moyen financier ne permettent pas l’installation réelle d’un système d’instruction élémentaire.

Au fils des siècles que ce soit a cause du sexe, de la religions, de la classe social, du lieu de vie, le système éducatif français n’a jamais vraiment était égal. Il a connu d’importante évolution a travers l’histoire avec pour principale caractéristique un accès de plus en plus large a l’éducation pour tous. Mais bien que l’éducation fut de plus en plus généralisé au fil des ans, il n’en reste pas moins qu’elle n’a jamais été égale. Pas même de nos jours.

D’après l’INSEE, en 2018, en France, le score moyen des élèves de 15ans en compréhension de l’écrit est de 443 pour les élèves provenant de milieux défavorisés contre 550 pour ceux provenant de milieux favorisés.

En 2015, le nombre d’erreur a la dictée varie entre 16 et 21 pour les enfants  d’ agriculteurs, artisans, ouvriers, employés, sans emploi.. contre 13 chez les enfants de «cadres et professions intellectuellement supérieurs»

Le rapport du CNESCO ur les inégalités scolaires rappelle aussi qu’en 2012 les élèves des établissements les plus défavorisés ne maîtrisent que 35% des compétences attendues en français en fin de troisième, contre 60% d’entre eux en 2007. En parallèle, les élèves des établissements les plus favorisés maîtrisent au moins 80 % des compétences requises ou plus. 

Six principales variables de conditions de vie sont retenues dans l’Atlas des risques sociaux d’échec scolaire , réalisé par la Direction de l’évaluation, de la prospective et de la performance (DEPP), en 2016 : 

Le niveau de revenu des parents. Les familles qui se trouvent dans le décile des revenus les plus faibles sont particulièrement touchées.

Le chômage et la précarité en emploi, qui mettent en doute la rentabilité des études et détériorent l’image du marché du travail.