Histoire Des Arts
Mémoire : Histoire Des Arts. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoiresd, le futur gouverneur du Sénégal et sa famille. Après un échouage au large des côtes de la Mauritanie, le commandant monte dans une chaloupe rejoindre le rivage. Ses troupes, 150 hommes, prennent alors place sur un radeau de vingt mètres sur sept. Le plan d’évacuation prévoyait son remorquage par la chaloupe, mais très vite les occupants de cette dernière coupent les cordes et abandonnent le radeau.
Après treize jours de dérive, seule une dizaine de marins survit après avoir affronté la peur, la faim et la mort autour d’eux.
Deux officiers survivants, l’ingénieur géographe Corréard et le chirurgien auxiliaire Savigny racontent toute l’histoire dans un livre publié en 1817. Cet événement provoque le scandale. L’opinion publique est indignée par le fait que le pouvoir laisse un capitaine inexpérimenté diriger le vaisseau (il n’avait pas navigué depuis de très nombreuses années), puis par l'odieux acte d'abandon perpétré par Chaumarey et enfin par les scènes d’anthropophagie qui eurent lieu à bord du radeau. Le ministre de la Marine démissionna. Le commandant fut condamné à trois ans de prison.
Captivé par ce fait divers tragique, Géricault choisit de peindre les survivants apercevant à l’horizon un navire, l'Argus (représenté par un point minuscule sur la ligne d'horizon). Rassemblant leurs dernières forces, ils agitent des linges en espérant que leurs signaux soient aperçus, alors que le vent gonfle la voile et emporte le radeau à l'opposé du bateau. Ils seront en effet sauvés et recueillis à bord de l'Argus. Une grande tension dramatique se dégage de cet instant décisif.
Théodore Géricault se fait raconter la tragédie par deux survivants représentés au pied du mât. Il réalise de très nombreux dessins, croquis et tableaux préparatoires afin de trouver la composition finale et de représenter les détails avec un très grand réalisme. Il étudie, dessine et peint même des morceaux de vrais cadavres qu’il faisait amener en cachette dans son atelier ! Il a aussi fait reproduire le radeau en maquette.
Au Salon de 1819, le génie de Géricault est salué mais l’oeuvre provoque le scandale en raison de son sujet polémique et de la représentation jugée trop réaliste et morbide des corps des naufragés. Le tableau a également été considéré comme une critique du gouvernement jugé incompétent pour son choix d'un homme, certes noble royaliste, mais capitaine inexpérimenté et sa volonté d'étouffer l'affaire
Oceane va vous parler de l’analyse plastique du tableau.
Partie pour Oceane
Je vais donc parler de l’analyse complète de ce tableau.
Le titre de ce tableau est « Le Radeau de le Méduse ». L’époque est la date du tableau est en 1819 du XIX siècle est le mouvement romantisme. Le type de peinture qu’il a utilisé pour peindre le tableau est de l’huile sur toile. La dimension est de 491cm sur 716cm. C’est une peinture d’histoire événement contemporain.
Maintenant je vais parler des approches descriptive et après les approches interprétative.
Le cadre de la scène, ça se passe sur l’eau et le ciel nuageux et sombre.
Les figures reconnaissables ce sont des personnages des hommes et des femmes à différents d’âges. Une partie sont habillés et certains sont dévêtus.
Leurs postures et attitudes : les hommes sont debout, assis ou cochés sur le radeau. Il y en a que l’on voix pas entièrement, en bas à droite. Ils regardent presque tous vers le fond du tableau. Il y en a 2 qui tendent le bras en tenant un tissu dans la main.
Pour l’approche interprétative, on peut déduire que la mère est agitée le temps est très mauvais presque menaçant.
D’après l’état de leurs habille, cela doit faire longtemps qu’ils sont sur le radeau.
Leur bateau à son doute coulé. Certains hommes sont couché est endormie ou peut être mort. Notamment celui de droite qui a la tête dans l’eau.
Ceux qui regardent à l’horizon on peut être aperçu un navire et fond des singes pour que l’on vienne les sauvé.
Le radeau a été fabriqué avec des restes du bateau.
Il y a du vent. Le radeau est entraîné vers la gauche du tableau, à l’opposé du navire aperçu.
Maintenant je vais parler de l’analyse plastique.
La ligne d'horizon séparant la mer du ciel est placée en hauteur : l'océan occupe pratiquement
les deux tiers de la toile.
Le radeau occupe le premier plan. Les survivants forment une pyramide humaine.
A la base, se trouvent les cadavres, au milieu des personnages assis, fatigués, découragés, et
au sommet, à droite, un groupe de survivants qui, dans un dernier élan, soutiennent un homme
agitant un tissu. Le choix d’un homme noir portant les derniers espoirs a choqué à l’époque. Ce
n’est sans doute pas un hasard et on retrouve ici les idées humanistes de Géricault qui avait
d’ailleurs en projet, juste avant sa mort, de réaliser un tableau sur l’émancipation des esclaves.
Les compositions pyramidales :
On distingue en fait plusieurs compositions pyramidales. Tout d'abord la pyramide générale qui
englobe l'ensemble du groupe, puis une autre, à gauche, formée par des hommes morts ou
désespérés et ,enfin, dans la partie droite, celle qui regroupe ceux qui ont aperçu le navire et
retrouvent l'espoir d'être sauvés.
Les lignes de force :
Le tableau est construit sur la règle des tiers qui découpe l'oeuvre en trois parties égales en
hauteur et en largeur. A la rencontre de ces lignes se situent les points forts où sont souvent
placés les éléments principaux. Ce qui est le cas de l'homme âgé qui ne partage pas l'espoir
des autres, et de celui qui, à l'opposé, est porté par ceux qui font signe au navire passant au
loin.
La lumières :
Des percées nuageuses laissent filtrer une lumière crépusculaire qui accentue le côté
dramatique de la scène en éclairant les corps des cadavres
Les couleurs :
Les jeux de lumière et du clair-obscur ainsi que le choix restreint des couleurs accentuent le
côté dramatique de l’instant représenté
Voilà j’ai fini la description du tableau.
Avant que Géricault réalise son tableau final, il a réalisé 49 croquis.
Voici ici quelque tableau de ces œuvres
Course de chevaux libres 1817
Officier de chasseur à cheval de la garde impériale, chargeant.1812
Deuxième interprétation de l’œuvre Der Krieg de Otto Dix
Partie pour Aline
Je vais vous présenter l’œuvre « Der Krieg » de Otto Dix.Otto Dix est né à Untermhaus près de Gera le 2 décembre 1891. C’est donc un peintre allemand de La Nouvelle Objectivité et de l'Expressionnisme. Il est issu d'un milieu ouvrier (son père Franz travaillait dans une mine de fer), mais reçoit une éducation artistique par sa mère, qui s’appelait Pauline Louise Dix, s'intéressait à la musique et à la peinture. Dix prend des cours de peinture et entre à l'École des arts appliqués de Dresde, de 1909 à 1914.Il apprend donc les mouvements Cubisme, Futurisme et dadaïsme. En 1914 il participe volontairement à la Première Guerre Mondiale et il combattra en France et en Russie. Il participe à deux grandes guerre, la guerre des tranchée de L’Artois et de la Champagne de novembre 1915 à décembre 1916.Il a donc participer à 2 grandes batailles sur les bords de la Somme.Les horreur de la guerre la énormément marqué est devient la base de ses œuvres. D’après un entretien en 1961, il disait.
« C'est que la guerre est quelque chose de bestial : la faim, les poux, la boue, tous ces bruits
déments. C'est que c'est tout autre chose. Tenez, avant mes premiers tableaux, j'ai eu l'impression que tout un aspect de la réalité n'avait pas encore été peint : l'aspect hideux. La
Guerre, c'était une chose horrible, et pourtant sublime. Il me fallait y être à tout prix. Il faut avoir vu l'homme dans cet état déchaîné pour le connaître un peu. »
C’est ce qu’il déclara dans l’entretient.
...