L'Enfant
Commentaires Composés : L'Enfant. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoiresit neutre pourtant il conduit le lecteur à désapprouver la mère = objectivité peut-être ironique.
« je n’ai pas été dorloté, tapoté, baisoté ; j’ai beaucoup été fouetté » : rime avec dorloté, tapoté, baisoté et fouetté. Il y a du rythme.
« Mlle Balandreau m’y met du suif » : deux ruptures :
_apparition de Mlle Balandreau qui n’a pas été présentée
_ « y » pour désigner le postérieur (la mère lui interdit de prononcer le mot derrière)
Paragraphes 4 à 6 : intérêt de Mlle Balandreau pour le narrateur.
explication de qui est Mlle Balandreau => présentation et récit rétrospectifs qui explique les conditions dans lesquelles ils sont venus à se fréquenter.
contraste entre entendre et voir la maltraitance : tant qu’elle ne l’avait pas vu Melle B. n’y voyait pas d’objection mais même un coté pratique (elle lui donne l’heure ! = humour noir).
une solution est écartée : révéler le scandale au voisinage => crainte que la mère ne se venge
le petit Chose (lien avec le livre d’Alphonse Daudet qui est lui aussi un enfant maltraité)
Chose : mot dont la mère veut que l’enfant qualifie son derrière. => L’enfant est donc qualifier par son derrière qui est la seule chose à laquelle la mère s’intéresse, et la seule que la voisine remarque chez l’enfant : « elle voulait d’abord le montrer à tout le monde ».
Ce qu’envisage de faire d’abord Melle Balandreau est une parodie des événements révolutionnaires qui ont marqués Jules Vallès (cf. L’insurgé) : les révolutionnaires transportait les corps dans la ville pour les montrer, dénoncer les crimes de l’état)
Paragraphes 7 à 12 :
la voisine est montrée comme étant ingénieuse ce qui rabaisse la mère.
Dialogue entre la mère et la voisine (cette dernière répond à la place de Jacques) : le prénom de l’enfant apparaît ainsi que le nom de sa mère.
Le père est inexistant dans le début du récit, son nom n’est connu que parce que l’on connaît celui de son épouse. On aurait pu supposer que les coups aurait du venir du père et non de la mère.
Le début du roman laisse supposer que battre un enfant est du travail (la voisine se propose pour le faire), un travail est un devoir. Il est bon d’accomplir ses devoirs. Il faut donc battre ses enfants.
Mon premier souvenir date … plein d’étonnement et de larmes.
La première phrase est une sorte de conclusion à ce qui précède, la seconde phrase amène une nouvelle ouverture.
...