L'URSS DE LENINE à STALINE.

L'URSS DE LENINE à STALINE

intro:

Lenine et Staline representent des personnages revolutionnaires à cause de la position critique  économique, et politique dans laquelle la Russie se trouvait entre la fin du XIXe siécle et le début du XXe. Effectiviment, dans cette periode, la Russie se présentait comme une ligue aux prises avec des conflits sociaux et un retard économique. La société russe était traversée par des profondes inégalités sociales. La plupart de la population, les paysans, vivaient dans des conditions misérables, étant  propriétaire foncier et propriétaire de Kulaki, avec un total de 40% du territoire, en dépit de la classe ouvrière qui n'était toujours pas très nombreuse car le développement industriel se déroulait avec un lent respect par rapport aux autres pays européens. A cette critique se trouve une situation dans laquelle les problèmes de politique étrangère ont été posés par le tsar Alexandre III, qui en 1905, occupe la région de Manchuria en Chine sans aucun prétexte avec ensuite la defence de l'envahi par la Chine qui gagne sur la Russie. Cette défaite bruyante, outre que la situation social et économique dans la quelle la l'empire sovietique se trouavit,  a provoqué l'explosion du mécontentement populaire qui s'est manifesté par une grande action révolutionnaire contre la crise actuelle du régime tsariste. Cette nouvelle situation renforce les groupes d'opposition parmi lesquels les plus représentatifs sont les représentants de l'aristocratie libérale et ceux de l'inspiration socialiste. Ce dernier appartenait au POSDR (Parti des travailleurs sociaux-démocrates russes) divisé en la fraction majoritaire (mencheviks) dirigée par Martov et la minorité (bolcheviks) dirigée par Lénine, dont le but était la création d'une élite révolutionnaire capable d'émanciper la classe ouvrière qui était minoritaire en Russie. Celui-ci; c'est un projet de Lenine qui a été developpé depuis ses jeunes voyages en Europe, ses organisqtions de greve en Russie coomme celui de la 'Djavia' jusqu'à son exil en Siberie ou il a été completé, appelé 'La guerrepredatoire imperialiste'. Meme si Lenine prenait parti à un ,ensheviques qui etaient notamment minoritaires entre les fractions du parti des travailleurs, il continuait à presenter ses projets politiques avec persistance comme celui des thèses d'avril, dont l'idée principale etait d'une transformation d'une révolution bourgeoise en une socialiste, et que le Soviet devait avoir tout le pouvoir. Pourtant, ces thèses ont été refusé par le parti des travailleurs. Par conséquent, la dictature du prolétariat aurait dû devenir une dictature du parti dont Lénine était le chef. Staline a exagéré ce concept, et de la dictature du parti il ​​est passé à la dictature d'un seul homme, dans la pratique il y avait un retour au tsar! Ce qui a introduit Staline était la création d'un gigantesque culte de la personnalité et le contrôle obsessionnel de la vie de la population et de l'élite révolutionnaire qui devait être révérente dans la confrontation du chef moustachu. Cependant Lénine était vrai le créateur du régime soviétique, la police secrète, la dictature, les goulags, la terreur (2 millions de morts en quelques années sont un témoignage valable). Staline était un extrémiste de concepts léninistes, le stalinisme était une dégénérescence du léninismeL'histoire de la revolution bolchevique, et  la situation resta bloquée jusqu'en 1917 lorsqu'une révolte de travailleurs et de soldats éclata en mars, entraînant l'abdication du tsar Nicolas II. Par la suite, un gouvernement provisoire a été mis en place pour s'opposer au soviet de Petrograd, le conseil des représentants des travailleurs et des soldats, déterminé à surmonter la phase démocratique bourgeoise (en 1905) pour mettre en œuvre une révolution socialiste.

Pendant cette période, Lénine était en exil en Suisse d'où il retourna en avril et, avec sa thèse, lança le slogan «tout le pouvoir aux Soviets» identifiant en eux le noyau de l'avant-garde révolutionnaire. Au cours des mois suivants, la Russie connut une phase dramatique de désintégration de l'armée et de délégitimation du pouvoir politique. Ainsi, face à la menace d'une dictature militaire et les grandes manifestations ouvrières des dirigeants bolcheviks, qui avait déjà remporté une majorité relative dans les assemblées représentatives, ont pris d'assaut le Palais d'Hiver, le siège du gouvernement provisoire, privant ce corps et le remplacer par les commissaires de la personnes. On se souvient de l'action menée par les bolcheviks avec le nom de la Révolution d'Octobre.

La nature du stalinisme fait encore débat chez les historiens. Nous nous contenterons ici de reprendre les idées émises lors de ces rencontres et de les développer afin de répondre à ce problème plus précisémen

De Lénine à Staline, l'Union des republiques socialistes sovietiques, a-t-elle vécue une suite ou rupture?

I. La philosophie politique stalinienne comme suite au Leninisme

a. comment le stalinisme plonge ses racines dans le léninisme

ils ont le m objectif: asseoir le communisme en URSS

ils prennent tout deux leur appuie sur la pensée marxiste

b. Stalin est un partisan de Lenine

pendant que Lenine est au pouvoir, Staline est proche de Lenine et represent un bras fidele etant adherent au parti. En outre, il s'inscrit comme successeur de Lénine au pouvoir

II. Le stalinisme, en pratique une rupture avec le leninisme

a. point de vue économique

Lenine et Staline ont un different point de vue economique; voyant la crise économique en URSS, Lénine préfère instaurer la NEP pour permettre une prosperité éconoliaue dans le pays en attendant que le prolétariat soit assew éduqué pour mettre en placec une économie communiste

Staline, lui, instaure une économie par la force et la terreur: il oblige les ouvriers à travailler sous la menace du goulag et reorganise le ,o,nde africole en ferles de corporatives ou d'état.

Pour Staline, l’URSS reste dominée sur le plan intérieur, par une économie archaïque et surpassée, sur le plan extérieur, par les puissances capitalistes. Pour résoudre se problème, il souhaite, grâce au socialisme, aboutir à un système économique permettant à l’Etat fédéral d’affirmer sa puissance. Ainsi débute à partir de 1929 une transformation forcée de l’économie, le  grand tournant  selon les propres mots du dirigeant socialiste. Il s’agit, en effet d’instaurer la  dictature du prolétariat . Les personnes considérées comme  petit bourgeois  sont alors privées de leurs droits civiques et sociaux. Quand aux les commerçants, ils sont évincés au profit des magasins coopératifs d’Etat. Deux autres armes sont utilisées dans cette nouvelle politique économique menée par Staline : la planification, la collectivisation.

Affiche du 17e congrès du Parti communiste de l'URSS (1934)

A partir de 1928 sont mis en place des objectifs économiques à atteindre sur période donnée: ce sont les plans quinquennaux. Le premier plan concerne la période 1928-1932 et impose les objectifs suivants : transformer l’URSS en un pays industriel, collectiviser l’économie et en particulier l’agriculture, et développer l’industrie lourde, atteindre 21% de croissance économique annuelle. Nous le disions la collectivisation est la seconde arme pour accroître la puissance de l’URSS. Celle-ci consiste à nationaliser toutes les terres et à créer des fermes collectives appelées Kolkhozes. L’on construit aussi des fermes d’Etat dans lesquelles travaillent des salariés : les Sovkhozes. La création des Kolkhozes et Sovkhozes marque la fin de la paysannerie individuelle. Désormais, tous les paysans doivent travailler ensemble pour le bien de la nation. Mais cette politique implique aussi d’éliminer les  ennemis de classe . Les résistants font principalement partie d’une classe de paysans réputés comme étant aisés et animés d’un esprit bourgeois : les koulaks. A la fin du XIXème siècle, ce terme était utilisé pour qualifier des paysans faisant travailler comme salariés des membres de la communauté villageoise sur des terres rachetées à des noble dans le seul but de s’enrichir. A partir de 1929, le Koulak ne désigne plus seulement les membres d’une bourgeoisie rurale exploiteuse mais aussi tous les paysans refusant de travailler dans les coopératives d’Etat. Pour lutter contre les koulaks, Staline use de la terreur. Au même titre que les Juifs ou les Tziganes en Allemagne nazie, ils sont placés en contre-modèle par la propagande.  Pour les tuer, il fallait déclarer : les koulaks, ce ne sont pas des êtres humains  selon les dires de Vassilii Grossman, jeune juive Russe témoignant de cette époque dans son ouvrage Tout passe, publié en 1984. Près de 5,5 millions de ruraux sont ainsi chassés de chez eux par les détachements d’ouvriers et la Guepeou, la police politique. Beaucoup sont incarcérés dans des camps de travail : les goulags.

Carte des goulags en URSS

Les détenus y sont alors soumis à des lois sanctionnant le moindre vol, et à des conditions de vie difficiles liées au climat et aux travaux à effectuer. Ils sont, en effet, employés dans les mines, aux constructions de routes ou au défrichement des forêts sibériennes. Quant aux autres réticents à la collectivisation, ils sont généralement soit exécutés, soit déportés en Oural ou en Sibérie. La modernisation de l’URSS se fait donc au prix de 5 à 10 millions de disparus. En Mars 1930, Staline stoppe la dékoulakisation du fait de l’ampleur du traumatisme que cette entreprise a engendré et accuse les militants de base d’un  vertige du succès  afin trouver une raison  valable  à cette déportation et à ces exécutions. En 1932, le gouvernement accepte que les excédents des kolkhozes soient commercialisés sur le marché et que chaque famille puisse avoir un lopin de terre à elle. Mais, pour beaucoup de paysans, la collectivisation s’apparente à un nouveau servage. Ils sont effectivement dépossédés de leur bétail, leurs terres, et ne reçoivent qu’un petit salaire pour leur travail dans les kolkhozes. De plus, l’Etat prélève plus de 40% de la production pour l’exportation afin de financer l’industrialisation alors que la dékoulakisation a entraîné un effondrement dans les rendements de l’agriculture, en particulier dans des régions fertiles comme l’Ukraine. En conséquence, une terrible famine s’abat sur l’URSS entre 1932 et 1933 faisant alors près de 6 millions de morts. Pour stopper ce nouveau fléau, Staline se voit dans l’obligation d’interdire l’exode rural. En 1939, le dictateur réussit à achever la collectivisation.